Discuter:Histoire de la pensée économique

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Voici le plan proposé dans la page du projet « Économie ». ~Pyb 17 sep 2004 à 03:31 (CEST)

Sommaire

[modifier] Projet « Histoire de la pensée économique »

C'est un véritable projet à part entière. La pensée économique est polymorphe et ne peut se comprendre qu'en connaissant son évolution au cours du temps. On peut reprndre ici le plan proposé par René Boriès comme base de départ, puisqu'il a l'avantage de ne rien écarter :

  1. Économie Politique (Antiquité) à la Économie Politique (Réforme).
    1. La pensée économique de l'Antiquité orientale et grecque
    2. La pense économique de la scolastique médiévale
    3. La théorie économique de la Réforme
  2. Le Mercantilisme
    1. Ordre économique et social
    2. Mercantilistes, promotion de l'économie nationale et exigences du développement
    3. Mercantilisme et secteur public
    4. Mercantilisme et démographie
    5. Mercantilisme et comportements et motivations économiques
    6. Mercantilisme et théorie monétaire et politique monétaire
    7. La politique commerciale et coloniale internationale du mercantilisme
  3. Les Physiocrates
    1. La problématique des physiocrates
    2. Démarche et construction de la Théorie des physiocrates
    3. Le tableau économique outil d'analyse et évaluation de mesures de politique économique
    4. Systématisation de la théorie du développement
    5. Conclusions en matière de politique économique
    6. Pertinence de la théorie des physiocrates
  4. Les Classiques
    1. Perspective de l'économie politique classique
    2. Adam Smith et le développement économique
    3. Malthus et la démographie
    4. Ricardo, la répartition des revenus et le développement, la valeur travail
    5. J.B. Say la loi des débouchés
    6. Pertinence de la théorie classique
  5. Critiques de la théorie classique
    1. Les premiers critiques de la théorie classique?
    2. Sismondi, les besoins fondamentaux de l'être humain
    3. Richard Jones, de l'économie politique des classiques
    4. L'élargissement de la théorie économique classique
    5. Pertinence des premiers critiques de la théorie classique
  6. La théorie marxiste de l'évolution du capitalisme
    1. Marx, critique des classiques
    2. Marx, problématique du développement
    3. Marx, évolution du capitalisme
    4. Marx, concentration et centralisation
    5. Marx, de l'impérialisme
    6. Pertinence de la théorie marxiste du développement
  7. L'école historique
    1. La critique de l'économie politique classique
    2. F. List théoricien du développement
    3. La problématique générale des stades
    4. Les besoins collectifs et la tendance à la croissance des besoins de l'État
    5. Méthodologie: Schmoller, Wenger et Max Weber
    6. Pertinence de l'école historique
  8. La théorie néo-classique
    1. La rupture avec la théorie classique : le marginalisme
    2. L'équilibre général et l?économie mathématique
    3. Les critères de Pareto et l?économie du bien-être
    4. Pertinence de la théorie néo-classique
  9. La Théorie du développement de l'approche institutionnelle
    1. La critique et le programme de Veblen
    2. La théorie d'Ayres au sujet du développement des régions marginales
    3. La systématisation, par Myrdal, de la théorie institutionnelle des interdépendances circulaires
    4. À propos de la pertinence de la théorie institutionnelle du développement
  10. Keynes et le problème du développement
    1. Keynes sur les perspectives d'avenir de l'économie (1930)
    2. La théorie générale (1936)
    3. De Keynes aux modèles de croissance
    4. Pertinence de la théorie keynésienne face aux problèmes du développement
  11. L'économie du développement après 1945
    1. L'héritage keynésien
    2. La question des stratégies et de la planification du développement
    3. Mobilisation des ressources et modèles dualistes
    4. Modernisation nationale et industrialisation par import-substitution


Tuilindo Oups, j'ai commencé à rajouter des éléments sans reprendre exactement ce plan (que je n'avais pas vu). Ce sera réparé, car ce plan ci est bien plus ambitieux et intéressant. Il faudra cependant en changer certaines parties : on ne peut pas par exemple faire une partie "classiques" tout court en écartant Marx et les autres classiques socialistes. Le terme de classique regroupe en effet tous ces premiers économistes basant leur analyse sur la théorie de la valeur travail. En même temps, la réalisation d'un tel projet rendraient obsolètes les parties séparés que sont Mercantilisme, Physiocrate, etc. Tuilindo 26 sep 2004 à 22:34 (CEST)

Je comprends la volonté de montrer une parenté entre l'école classique (surtout Ricardo) et Marx, mais il me semble abusif de faire du marxisme une sous-catégorie du classicisme. De même, il serait choquant de faire de Keynes un marginaliste néoclassique... --Gribeco 22 septembre 2005 à 06:05 (CEST)

J'ai, par rapport au plan proposé, élargi ce que j'appellerai les précurseurs de l'économie, puisqu'à mon avis il est tout aussi important de remonter aux sources (même si elles n'ont rien à voir avec l'économie actuelle) que d'expliciter des pensées complètement dépassées comme celle des mercantilistes (auxquelles par exemple il est accordé avec raison une grande place). De plus cela explique pourquoi il faut attendre le XVIIIe siècle pour voir naître une pensée économique véritable (avant l'Eglise écrase tout, en se basant en partie sur la pensée aristotélicienne). Par contre je ne connais absolument rien aux théories économiques de la Réforme ou aux pensées prévalant dans l'Antiquité orientale, je n'y toucherai donc pas, je pense.

Autre chose : le bandeau que j'ai apposé n'est pas très pertinent, mais il fallais bien en mettre un puisque tout est formé de façon très inégale pour l'instant, et que c'est un projet sur le long terme ; or aucun ne convient.

Vu la taille finale de la page (environ vingt fois celle qu'elle fait maintenant, je dirai, peut-être plus car même ce plan passe à côté de certains points marquants) tout ça mettra vraisemblablement un bon bout de temps avant d'être achevé, mais qu'importe ; on peut espérer que ça donnera un bon article de qualité même si pour l'instant ça ne ressemble pas à grand'chose Tuilindo 8 jan 2005 à 16:02 (CET)


Fanchargwened : j'ai ajouté un paragraphe sur l'école des choix public, sur les prolongements de la pensée de Keynes et modifier la dénomination d'un paragraphe en néo-libéraux. Je suis plutôt d'accord avec Gribéco sur le marxisme qui reprend la théorie de la valeur travail ou la baisse du taux de profit (qui découle de la loi des rendements décroissants de Ricardo ou productivité marginale décroissante des facteurs de production). J'ai aussi ajouté Pareto dans les néoclassiques. des avis ? Fanchargwened 30 septembre 2005 à 20:12 (CET)

OK, on pourrait aussi avoir un petit paragraphe sur l'école de Lausanne? =) --Gribeco 30 septembre 2005 à 21:22 (CEST)

[modifier] Théorie ou pensée ?

Je pense qu'il y a ici une confusion. L'article parle surtout de la théorie et non de la pensée des différentes époques d'où des oublis à mon sens gravissime : pensée catholique ? juive ? protestante (abordée trés brievement) ? (des autres religions eventuelement : je ne les connais pas)... les pensées religieuses de l'économie sont bien plus importantes que les écrits de Xénophon. La pensée populaire n'est pas non plus abordée ... je pense à des choses comme la théorie "pop" du commerce internationnale qui serait interessante de confronter à la vraie théorie économique ...--Aliesin 13 novembre 2005 à 14:03 (CET)

« Pensée économique » est couramment utilisé dans le sens que lui donne l'article, cf. Histoire des pensées économiques dans la bibliographie, ou le site anglais History of Economic Thought. Par ailleurs, une description des biais cognitifs en économie serait très intéressante ; j'en ai mis une version ciblée dans libre échange.
--Gribeco 13 novembre 2005 à 16:10 (CET)
je sais que ce que je propose est une hérésie(vis à vis de ce qui est courament fait), mais à mon avis il peut être trés important de montrer qu'il existe une distinction entre la "pensée économique" et la "pensée des économistes" ... Nous pouvons je pense nous écarter de la manière strictement universitaire de voir les choses ... celà donnera une profondeur intéressante à l'article. Il faut comprendre que la pensée économique a ceci de particulier qu'elle n'est pas reservé à une élite (contrairement à la physique quantique ou l'histoire du péloponése et ce genre de domaine), bien que je sois d'accord pour admettre que la pensée économique est souvent un condensé de sotises... le problème c'est que les mentalités des profanes jouent un rôle capital dans le développement économique.--Aliesin 13 novembre 2005 à 16:35 (CET)
Sinon ce que tu as fait à l'article libre-échange est tout à fait ce à quoi je pense.--Aliesin 13 novembre 2005 à 16:38 (CET)

[modifier] La pensée économique de l'Antiquité orientale et grecque

Pour remédier à :

Les plus anciennes traces d’une réflexion économique remontent à la Grèce antique, d’où nous vient d’ailleurs le mot économie (de oikos, la maison, notamment en tant qu’unité sociale et économique, et nomos, l’ordre, la loi).

... je propose que ce soit remplacé par :

La réflexion économique apparaît d'abord en Grèce antique et en Chine antique, là ou une production marchande et une économie monétaire semblent avoir été dévelopées en premier.

... qui est plus neutre (au moins, pas tout à fait eurocentré) et qui est dans l'esprit de l'introduction de la Brève histoire de Jacques Valier. Gene.arboit 6 décembre 2005 à 05:44 (CET)

[modifier] À faire

  • Parler de la fable des abeilles
fait. + contribs marginales du même genre--Aliesin 12 avril 2006 à 21:12 (CEST)

~Pyb Talk 21 février 2006 à 00:18 (CET)

parler de Schumpeter (section "théories des cycles" avec Juglar, Schumpeter Kondratief et Kitchin ?), Sraffa, Marshall, Solow (modèles de croissance). ~Pyb Talk 14 avril 2006 à 02:22 (CEST)

[modifier] Image:177px-CodeOfHammurabi.jpg

Bonjour, cette image est soupçonnée de violer un copyright, et pourrait être prochainement supprimée de Commons:. Si votre version de Wikipedia permet une forme de fair use, veuillez en faire une copie locale. Merci. Jastrow| 28 mai 2006 à 14:28 (CEST)

[modifier] Où est l'Ecole Autrichienne ?

Contradiction dans l'article : Menger est présenté tour à tour comme un néoclassique, un marginaliste et un "autrichien". Sachant que l'Ecole Autrichienne est, si j'en crois l'article, en mauvais termes avec toutes les autres, il doit y avoir une erreur. Amha, si l'on veut être puriste, il est de l'Ecole Autrichienne (en étant le fondateur), et de nulle autre.

Autre point : L'Ecole de Chicago est mentionnée dans les néoclassiques, alors qu'il s'agit plutôt de la continuation en d'autres lieux de l'Ecole Autrichienne (la présence nazie en Autriche ayant été "assez défavorable" aux thèses de ladite Ecole, et ayant forcé ses membres à émigrer). En ce qui concerne Friedman, je considère qu'il s'agit d'une confusion similaire.

Je suis prêt à recevoir toute information supplémentaire permettant de clarifier les choses et d'améliorer l'article.

Menger est bien marginaliste, commme tous les "autrichiens". C'est vrai qu'on ne peut pas classer Menger et les autrichiens dans les néoclassiques, mais l'article présente l'école autrichienne dans la section " L'Ecole néoclassiqe et les réponses au néoclassicisme" sans présenter nulle part Menger comme néoclassique et en précisant bien les différences.
L'Ecole de Chicago n'est pas du tout la continuation de l'Ecole Autrichienne. Les autrichiens exilés ont enseigné à New York (Mises) et à Londres (Hayek), pas à Chicago. La conception de l'économie de Chicago et de Milton Friedmann sont celles des néoclassiques, pas celles des autrichiens. Les deux doivent rester parmi les néoclassiques
--Elvin 13 juin 2006 à 09:04 (CEST)
Merci pour cette réponse, voilà encore un fait qui m'incite à en apprendre davantage sur l'histoire de l'économie. Peut-être à bientôt, au détour d'un autre article !
Euh Hayek est vite passé de Londres à Chicago quand même...--Aliesin 15 juin 2006 à 20:04 (CEST)
En effet, Hayek a enseigné plus de 20 ans à Chicago ; qui se charge de modifier l'article en ce sens ?
ne pas confondre localisation géographique et appartenance intellectuelle. Hayek a été refusé au département d'économie de Chicago justement à cause de son adhésion à l'Ecole autrichienne, et appartenait au "committee on social thought". Il serait absolument faux de le rattacher à l'Ecole de Chicago, qui est tout à fait néoclassique et donc honnie par les Autrichiens. Donc l'article n'a pas à être modifié --Elvin 6 septembre 2006 à 19:37 (CEST)
Tout à fait d'accord, je crois que Schumpeter aussi enseignait aux US d'ailleurs.--Aliesin 8 septembre 2006 à 13:21 (CEST)

[modifier] Remanier la partie consacrée à la théorie de Keynes

J'apporte quelques commentaires sur le texte consacré à la théorie Keynesienne. "La crise de 1929 met en évidence une faille de la théorie néoclassique [la portée limitée des enseignements de la théorie néoclassique] : celle-ci est incompatible avec une crise de la demande [ce courant ne peut surtout appréhender et analyser l'existence dans les années 30 d'un phénomène de chômage massif]. John Maynard Keynes développe une « théorie générale » [elle est dénommée générale, car elle permet de rendre compte non seulement des situations d'équilibre de sous-emploi, mais aussi de plein emploi de toutes les forces de travail et de capital (alors que l'existence d'au moins un équilibre général est l'unique résultat démontré par la théorie néoclassique (encore aujourd'hui !)] , considérée comme la première théorie macroéconomique, qui remet en question plusieurs des principes néoclassiques [lesquels ? la monnaie n'est pas un voile des échanges, le montant de l'épargne n'est pas déterminé sur le marché des capitaux, détermination monétaire et non réel du taux d'intérêt ....].

L’analyse de Keynes cherche à montrer la possibilité de déséquilibres [?, attention concept incompréhensible pour un exégète de Keynes, notion néo-keynésienne]dans l’économie ou plutôt d’équilibres non souhaitables tel l’ « équilibre de sous-emploi » [Keynes montre surtout qu'une économie de marché parvient le plus souvent à un équilibre de sous-emploi durable des forces de travail et de capital] . Il rompt [ainsi] avec l’analyse néoclassique qui analysait le chômage comme « frictionnel » ou « volontaire » afin de montrer que l’économie peut durablement souffrir d’un chômage de masse que [les mécanismes du]le marché seul ne peut [peuvent]résoudre. Ainsi Keynes décrit une dynamique du pessimisme [?] qui empêche toute reprise spontanée de l’économie. [Ajustement se fait par les quantités et non par les prix, contrairement aux conceptions néoclassiques => aussi chez les néoclassiques, il ne peut y avoir de licenciements pour parvenir spontanément à une nouvelle situation d'équilibre !] Le déséquilibre initial provoque des —licenciements— ou des baisses de salaires qui en retour permettraient selon les néoclassiques un réajustement des profits et un retour de l’investissement, de la croissance et en définitif de l’emploi. Keynes nie cette analyse, pour lui les entreprises n’investissent que lorsqu’elles anticipent des profits [je vous rassure, c'est le cas également de la théorie néoclassique!], or la montée du chômage signifie la disparition des débouchés. Cette baisse de la demande effective provoque le scepticisme des entrepreneurs qui n’investissent plus ce qui provoque une aggravation de la crise. [Ce n'est qu'une partie de l'analyse : il importe surtout de ne pas oublier le rôle du taux d'intérêt monétaire dans la détermination du niveau de l'activité économique (chapitre 17), Keynes préconise tout de même l'euthanasie des rentiers !]

Pour sortir de cette spirale pessimiste il est essentiel de stimuler la demande, ce qui permettra de redonner confiance aux investisseurs. Pour ce faire, l’État dispose de plus de moyens. Il peut tout d’abord redistribuer les revenus des plus riches (qui ont une plus forte propension à épargner) aux plus pauvres (qui eux ont une forte propension à consommer). L’État peut aussi stimuler la création monétaire via une baisse des taux d’intérêt qui encouragera les gens à emprunter pour consommer. [l'intérêt d'une diminution des taux d'intérêt est surtout de rendre rentable des projets d'investissement dont l'Efficacité Marginale du Capital était inférieur au niveau du taux d'intérêt monétaire]Enfin l’État peut accroître ses propres consommations [ses dépenses publiques induisant une augmentation de la demande globale]en lançant des programmes de grands travaux par exemple. Pour ce faire, il peut même recourir au déficit budgétaire dont il peut espérer qu’il sera à moyen terme comblé par la reprise économique.[Le financement de cette politique interventionniste s'opère soit par des prélevements obligatoires supplémentaires, soit par le recours à une création monétaire, soit une émission de titres sur les marchés des capitaux ] Les méthodes de Keynes qui s’appuient sur l’étude des agrégats économiques (entreprises, ménages, État …) et se distinguent de l’étude néoclassique des comportements individualistes, fondent la macroéconomie [1].

--Coquel 14 juillet 2006 à 18:31 (CEST)

Une remarque sur les changements : l'encyclopédie n'a pas a prendre partie en faveur de telle ou telle théorie. La partie actuelle sur Keynes est un peu trop critique des marginaliste, ce qui n'est pas forcément à propos et est de toute façon non neutre. Il faut éviter les paranthèses à point d'exclamation par exemple. Je crois savoir que les néo-classiques ont apporté des explications à la crise de 1929, on s'abstiendra donc de juger la pertinence de leur théorie.--Aliesin 21 juillet 2006 à 15:27 (CEST)
S'efforcer d'appréhender le fonctionnement du système capitaliste impose un parti pris théorique (quelles hypothèses adoptées ? notamment hypothèse d'incertitude radicale versus prévision parfaite). Faire fi des querelles théoriques et des critiques serait rabaisser le niveau d'exigence, d'honnêteté intellectuelle et se contenter de la soupe servie par le Keynésianisme. Faire une synthèse n'a jamais été un projet de manifestation éclairée de la pensée de Keynes. Or Keynes conçoit un projet radical : décrire une économie monétaire de production (cf. Barrère, Cartelier, Minsky etc etc...)qui n'a rien à voir avec l'économie d'échanges réels de l'approche néoclassique. N'est-il pas clair que sa théorie est générale parce que contrairement à la théorie néoclassique elle parle également de l'équilibre de sous-emploi des forces de travail et de capital ! La théorie néoclassique n'a jamais pu expliquer le chômage consécutif à la crise de 29 ! Qu'elle parle de la crise, c'est une chose; mais son explication du ch^mâge en est une autre. d'où historiquement l'ouvrage de keynes. ce n'est pas rien. Soit on argumente en termes keynésiens, soit on édulcore sa pensée et il ne sert plus à rien de prétendre parler de Keynes !!

--Coquel 22 juillet 2006 à 19:23 (CEST)

[modifier] Commentaires sur le néo-keynésianisme

Le courant néo-keynésien est[constitue] une [tentative de ]synthèse des théories keynésiennes [de certains apports de la Théorie générale de Keynes] et [de la théorie néoclassique (dont certaines de ces hypothèses sont pour l'occasion amendées]. [Cette approche émerge avec la parution en 1937 de l'article de Sir John R. Hicks intitulé "Mr. Keynes and the Classics". Hicks introduit dans ce papier le modèle IS-LM, qui connaîtra une notable vulgarisation. Les concepts de diagramme et de "Trappe à la liquidité" y sont particulièrement mis en exergue. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. [il importe de remarquer que cette approche s'inscrit davantage dans la représentation néoclassique de la description et du fonctionnement de la théorie néoclassique] Ce courant a été initié par John Hicks, qui a présenté un modèle succinct en termes néoclassiques, le modèle IS/LM. Ses représentants comportent : Franco Modigliani, Paul Samuelson, Robert Mundell, Robert Solow.

--Coquel 14 juillet 2006 à 18:57 (CEST)

[modifier] Loupes


Tu vas pas nous mettre des {{loupe}}s dans notre bel article d'économie ! Pour la peine je t'enferme dans une boîte déroulante :p ~Pyb Talk 25 septembre 2006 à 21:20 (CEST)

[modifier] Pourquoi pas?

Devons-nous aussi introduire le nouveau keynésianisme? Oasisk 14 juin 2007 19:59'


[modifier] Et la décroissance ?

Il me semble que c'est une "pensée économique" au même titre que les autres, même si elle va a contre-sens de toute les autres :-)

Pourquoi n'y a t'il pas dans cet article un lien vers l'article décroissance soutenable ?

Le courant théorique de la décroissance n'est pas très important. Si l'on cite cette théorie, on devra citer une cinquantaine de théories contemporaines. Ce n'est pas l'objectif de l'article. ~Pyb | 25 juin 2007 à 09:40 (CEST)