German Goo Girls

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German Goo Girls[1], plus connu sous le nom GGG, est le plus connu des quatre studios pornographiques allemands détenus par John Thompson.

Les films X produits sous ce label se focalisent pour la plupart sur des pratiques sexuelles extrêmes telles des gang bangs (souvent entre 1 et 5 femmes et beaucoup d'hommes - plus de 10 en général) qui se finissent quasi-exclusivement par des bukkakes. Bien qu'il y ait plusieurs femmes dans la scène, seulement une ou deux femmes reçoivent les éjaculations.

Alors que les premiers films essayaient habituellement de présenter les rapports sexuels extrêmes au moyen des scénario hards (cependant rarement aussi élaborés que ceux qu'on peut trouver dans d'autres films X), les films récents sont davantage basés sur une actrice (ou plus) qui n'est pas une actrice professionnelle et qui se présente au début du film, parfois sous la forme d'un interview hors-scène.

Par la suite, John Thompson créa deux autres labels, 666 et John Thompson ("JT"). Bien que les films distribués sous ces deux labels soient très similaires à ceux distribués plus tard sous le label GGG, les films produits par le studio 666 sont un peu plus extrêmes notamment de par la présence de bondage et de violence (éloignés cependant du vrai BDSM) ou en depeignant l'ondinisme (qui est filmée de manière analogue au bukkake, i.e. plusieurs hommes urinent sur une seule et même femme).

En 2005, John Thompson créa un nouveau label : SexBox. Il s'agit de satisfaire une demande de films de plus en plus violent. Le principe du bukkake et les acteurs restent les mêmes que dans les autres labels (JT, GGG ou 666), mais les scènes sont beaucoup plus violentes, plus sombres, plus extrêmes, presque gothiques. Les scènes de simulations de viols et de mauvais traitements y sont fréquentes.

Bien que la plupart des femmes ne soient apparues que dans quelques films, notamment comme "figurante", plusieurs d'entre elles ont atteint une notoriété suffisante pour être l'actrice principale de séries de films, qui portent alors leur nom. La plus connue est Betty, qui est apparue dans de nombreuses productions GGG et 666).

GGG, 666 et JT tournent seulement des scènes lesbiennes lors de gang bang. A la différence des autres studios, *la totalités des films produits sous ces labels n'ont jamais été consacré uniquement à des scènes lesbiennes.

Les films dépourvus de scénario sont presque exclusivement tournés dans des salles larges et décorées. Ils sont filmés avec une caméra mobile, ce qui fait des tremblement la marque de fabrique de ces films. Ni un cameraman, ni un commentateur (qui peut occassionellement parler avec les actrices durant le film, notamment après ou entre les éjaculations) n'a jamais participé directement dans ces scènes , par comparaison au gonzo.

Les hommes ne sont pas des acteurs payés mais des amateurs volontaires, souvent sans aucune expérience du X.

[modifier] Références


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