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Président de la
République islamique d’Iran

Mahmoud Ahmadinejad
محمود احمدی نژاد

6e président de la République
Élu le 24 juin 2005
Présidence 3 août 2005 -
Parti politique Société islamique des ingénieurs
Prédécesseur Mohammad Khatami
Successeur en fonction
Naissance 28 octobre 1956
à Garmsar


République islamique d’Iran

Mahmoud Ahmadinejad (en persan : محمود احمدی نژاد), né le 28 octobre 1956 à Garmsar, est un homme politique iranien, maire de Téhéran du 3 mai 2003 au 28 juin 2005, et Président élu de la République islamique d'Iran depuis le 3 août 2005.


Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Origines familiales et éducation

Mahmoud Ahmadinejad est né 28 octobre 1956 à Aradan, un village proche de Garmsar, une bourgade située à 90 kilomètres au sud-est de Téhéran[1]. Issu d'une famille modeste, il est le quatrième enfant d'une fratrie de sept. Son père était forgeron lorsque la famille a déménagé à Téhéran, après avoir exercé les métiers d'épicier et de coiffeur[2],[3]. Le déménagement de la famille à Téhéran coïncide avec le changement de leur nom de famille. Leur nom de famille était à l'origine Saborjhian selon Hussein D. Hassan[2] ou Sabarian selon Vincent Hugueux[4]. Le déménagement de la famille désormais connue sous le nom Ahmadinejad[5] coïncide avec une période d'exode rural important en Iran. La famille Ahmadinejad s'installe, comme des millions de personnes, dans un des quartiers pauvres de Téhéran, emportant avec elle l'islam traditionnel des campagnes iraniennes, et le conservatisme qui l'accompagne[6]. Abbas Milani rapporte que les parents du jeune Ahmadinejad participaient régulièrement aux évènements organisés par les organisations religieuses de quartier, et leur fils mettaient un zèle tout particulier à l'apprentissage du Coran et à l'accomplissement des devoirs religieux.

Il suit sa scolarité primaire et secondaire à Téhéran, et est admis à l'Université de Science et de Technologie (Elm-o Sanaat)en 1976. Des incertitudes subsistent sur on entrée à l'université, qui seront détaillées plus loin. Ahmadinejad obtient un doctorat en ingéniérie des transports publics de cette université en 1987 et devient maître de conférences et membre du conseil scientifique de la faculté d'ingéniérie civile de l'Université de Science et de technologie peu après.

[modifier] Révolution iranienne et Guerre Iran-Irak

La révolution iranienne, et la guerre Iran-Irak qui va suivre, offrent à Ahmadinejad l'opportunité d'entrer en politique[6]. Mahmoud Ahmadinejad est membre de l'association des étudiants islamiques dans l'université de science et de technologie quand la révolution éclate. Après 1979, il s'engage résolument dans l'aile la plus conservatrice du Bureau pour la préservation de l'Unité, une organisation fondée par l'Ayatollah Mohammad Beheshti pour assurer la liaison entre les universités et les séminaires théologiques[1]. C'est par son rôle dans ces organisation étudiantes qu'il participera à la planification de la prise d'otages à l'ambassade américaine à Téhéran. Alireza Haghighi et Victoria Tahmasebi rapportent en effet que lors de la préparation de l'opération, deux délégués de chaque université se sont rencontrés pour planifier l'opération, et Mahmoud Ahmadinejad était un des deux délégués de l'université de science et de technologie[6]. Selon Abbas Milani, il aurait cherché à obtenir une fatwa de l'ayatollah Khomeini pour justifier l'opération, mais les organisateurs voulant laisser Khomeini en dehors de l'affaire pour ne pas le compromettre, Ahmadinejad fut écarté de l'opération. Quelques semaines plus tard, quand il devient clair que Khomeini se sert de cette prise d'otages pour consolider son pouvoir, Ahmadinejad essaie d'intégrer de nouveau le comité des étudiants à l'ambassade, mais n'est pas le bienvenu[6]. Une controverse s'est fait jour après son élection sur son rôle dans l'affaire des otages.

En septembre 1980, Saddam Hussein lance une attaque sur l'Iran, profitant de la situation chaotique du pays après une révolution qui a isolé le pays sur la scène internationale. Mahmoud Ahmadinejad prend part à la guerre, bien que son rôle exact pendant celle-ci reste mystérieux. Khomeini avait fondé dès le début de la révolution iranienne les Gardes de la Révolution (aussi appelés Pasdaran), l'armée idéologique du nouveau régime, ainsi que les Basij, un mouvement de masse dont les jeunes membres avaient été préparé à mourir en martyrs pour le nouveau régime [7]. Ahmadinejad aurait été instructeur au sein de l'organisation des Basij selon Hussein Hassan ou Matthias Küntzel. Selon la biographie officielle du président, il aurait servi pour les Basij au front et dans différentes unités du génie au cours de la guerre Iran-Irak[8].

En 1986, Ahmadinejad se porte volontaire pour faire partie des forces spéciales des gardiens de la révolution. Il a alors un poste d'officier à la garnison de Ramazan, stationnée à proximité de Kermanshah. Cette garnison était en charge des « opérations extra-territoriales » des Gardiens de la révolution, et plusieurs rapports suggèrent qu'Ahmadinejad étaient alors en charge de la suppression de dissidents en Iran et à l'étranger, participant à des opérations secrètes dans la région de Kirkuk (Irak), et à des tortures ou des exécutions à la prison d'Evin à Téhéran. Ahmadinejad devient ensuite un des officiers supérieurs de l'unité d'élite Qods au sein des Pasdaran. Selon certains rapports, il a dirigé plusieurs assassinats politique au Moyen-Orient et en Europe, dont celui du leader kurde Abdurrahman Qassemlou à Vienne en juillet 1989[9].

A la fin de la guerre, les gardes de la révolution et les Basij qui sont démobilisés sont choqués par la corruption de certains leaders, qui se sont enrichis en prenant possession de bien confisqués pendant la révolution ou en jouant un rôle dans le marché noir en temps de guerre. Les plus dévôts des Basij, dont fait partie Ahmadinejad, planifient alors un retour aux valeurs des premiers jours de la révolution[6]. Ahmadinejad ne cache pas son attachement aux valeurs de Basij : il apparait régulièrement vêtu du foulard noir et blanc caractéristique des Basij, et parle souvent en termes positifs de la « culture Basij » et du « pouvoir Basij »[7].

[modifier] Parcours politique

A la fin des années 1980, Mahmoud Ahmadinejad devient gouverneur des villes de Maku et de Khoy, dans la province de l'Azerbaïdjan occidental, pendant quatre ans. Il est également nommé conseiller du gouverneur général de la province du Kurdistan pendant deux ans[9]. En 1993, alors qu'il est conseiller au ministère de la Culture et de l'Orientation islamique, il est nommé gouverneur général de la province d'Ardabil, qui vient d'être créée. Il sera élu trois années de suite meilleur gouverneur d'Iran. Entre 1993 et 1997, alors qu'il est en poste en tant que gouverneur, il s'investit dans l'organisation du Ansar-e Hezbollah, une milice islamique radicale[7]. En 1997, avec l'arrivée au pouvoir de Mohammad Khatami et des réformateurs, il est relevé de ses fonctions et repart enseigner à l'université de science et de technologie.

En 2003, Ahmadinejad profite du mouvement de mécontentement envers le mouvement de réforme initié par Khatami, et se fait élire maire de Téhéran. La participation aux élections du conseil municipal a été très basse (11%), et les alliances nouées par Ahmadinejad lui permettent de se faire élire maire par un conseil municipal dominé par la Coalition des développeurs d'un Iran islamique (Etelāf-e ābādgarān-e Irān-e Eslami), une faction à la ligne politique très conservatrice. Ahmadinejad s'est réclamé de ce parti au cours de plusieurs discours publics. Au cours de la campagne électorale pour la mairie de Téhéran, Mahmoud Ahmadinejad était également membre du comité central de la société des dévôts de la révolution islamique (Jamiyat-e Isargaran-e Inqelāb-e Eslami), qui a pourtant soutenu un autre candidat lors de l'élection présidentielle 2005, Mohammad Bagher Ghalibaf[6],[9].

Après son élection à la mairie de Téhéran, Ahmadinejad se sert de sa position pour développer un réseau fort de fondamentalistes membres de la Coalition des développeurs d'un Iran islamique. C'est au cours de son passage à la mairie de Téhéran qu'il devient connu comme un homme politique à la ligne dure, qui a pour objectif d'opérer un retour en arrière sur les réformes libérales du président Khatami. Selon Matthias Küntzel, Ahmadinejad se positionne à ce moment-là comme le leader d'un seconde révolution islamique, qui vise à éradiquer la corruption et les influences occidentales de la société iranienne[7]. Les mesures qu'il prend en tant que maire vont à l'encontre des mesures prises par les maires réformateurs qui l'ont précédé : il remet l'accent sur les activités religieuses, remet en vigueur des codes vestimentaires pour les employés masculins de la mairie et institue la séparation des sexes dans les ascenseurs des immeubles appartenant à la Mairie[9].

Pendant la campagne électorale pour la mairie puis celle pour la présidence de l'Iran, Ahmadinejad se présente comme un homme simple, vivant une vie frugale dans son appartement des quartiers populaires de Téhéran. Il est marié et a deux fils et une fille[9].

[modifier] Incertitudes sur la Biographie de MA

Plusieurs incertitudes subsistent sur la biographie officielle et le parcours de Mahmoud Ahmadinejad. Son entrée à l'université est sujette à interrogations de la part de plusieurs observateurs. Selon Ahmadinejad lui-même, il serait arrivé 132e au concours national d'entrée à l'université, sur plus de 400 000 étudiants cette année-là. Cependant, Abbas Milani, directeur des études iraniennes à l'université Stanford, estime cette affirmation peu vraisemblable, car l'université qu'il choisit se situe dans le second-tiers des universités iraniennes[6]. Cette affirmation est confirmée par Michel Taubmann qui écrit : « (ce résultat) lui aurait surtout permis d'accéder à la meilleure université scientifique du pays, en l'occurrence Amir Kabir, l'équivalent de Polytechnique. Or, le jeune Ahmadinejad, après le concours d'entrée, s'est inscrit à la modeste université Elm-o Sanaat, classée en cinquième dans les établissement scientifiques. »[10].

En juin-juillet 2005, juste après les élections iraniennes, une controverse se fait jour sur le rôle de Mahmoud Ahmadinejad dans la crise iranienne des otages. Son engagement dans le Bureau pour la préservation de l'Unité et l'association des étudiants islamiques lui ont permis de participer à la planification de cette prise d'otages. Quelques jours après son élection fin juin 2005, d'anciens otages américains disent reconnaître en Mahmoud Ahmadinejad un des participants à la prise d'otages dans l'ambassade des États-Unis à Téhéran entre 1979 et 1980[11]. Les preuves disponibles, ainsi qu'une enquête de la CIA, ont montré que ces allégations étaient fausses et qu'Ahmadinejad n'avait fait que participer à la planification de l'opération, mais pas à son exécution[6].

La participation de Mahmoud Ahmadinejad à la guerre Iran-Irak est, elle aussi, entourée de mystère. Son rôle exact au sein des Basij et des Gardiens de la révolution est inconnu : il aurait été instructeur et aurait eu un rôle au sein d'unités du génie, mais aucun détail n'est disponible sur ses affectations exactes. Selon plusieurs sources, les informations sur la carrière d'Ahmadinejad pendant la guerre Iran-Irak ne sont pas très fiables[12].

[modifier] Ascencion à la présidence

Avec son arrivée à la mairie de Téhéran en 2003, Mahmoud Ahmadinejad commence à se construire une image publique, et une réputation de conservateur sévère afin de se positionner en leader d'une seconde révolution visant à éradiquer la corruption et les valeurs occidentales en Iran. Il cherche assez rapidement à remettre en cause les réformes libérales du président Khatami dans sa municipalité de Téhéran. Les valeurs qu'il défend sont celles des déshérités (Mostazafin). Ces déshérités, qui représentent la portion la plus grande des Basij, soutiennent le régime par une vie simple, par le sacrifice et par leur soutien aux idéaux islamiques de justice et de piété. Ahmadinejad se positionne comme le représentant des déshérités et de tous ceux qui ont perdu leurs illusions à cause du fossé grandissant entre riches et pauvres, de la perte des valeurs islamiques, [13].

[modifier] Soutien des conservateurs

Ahmadinejad s'appuie sur les Basijis, dont il partage les valeurs, pour mener sa campagne à l'élection présidentielle[7]. Selon un des collaborateurs, l'élection d'Ahmadinejad à la présidence de la république islamique d'Iran n'est pas un accident mais « est le résultat de deux ans de planification compliquée et aux facettes multiples » par une coalition qui inclut des Commandants des gardiens de la révolution, des représentants du clergé, des dirigeants du mouvement Basij et les amis et alliés qu'Ahmadinejad s'est fait pendant son mandat à la mairie de Téhéran[6]. Un observateur américain a noté que la « génération d'Ahmadinejad s'est sacrifiée pendant la guerre Iran-Irak, et qu'elle souhaite maintenant obtenir quelque chose en retour »[14]. Selon Matthias Küntzel, des millions de Basijis, présents dans chaque ville, quartier ou mosquée iranienne, ont servi de militants non-officiels à la campagne électorale d'Ahmadinejad à l'élection présidentielle de 2005[7].

L'arrivée au pouvoir d'Ahmadinejad a été facilitée par le soutien apporté par le guide de la révolution, l'Ayatollah Ali Khamenei, l'homme fort du pays, successeur de Rouhollah Khomeini[15]. . Dans les semaines précédents l'élection, Ali Akbar Hachemi Rafsandjani avait promis de limiter le pouvoir de Khamenei. Rafsandjani et les autres candidats ont également dénoncé l'utilisation de l'argent public dans la campagne d'Ahmadinejad. En retour, Khamenei —qui a le contrôle légal sur l'armée, la police, les agences de renseignement, les gardiens de la révolution, les Basijis, le pouvoir judiciaire et les médias publics— a « suggeré » aux commandants des gardiens de la révolution et aux dirigeants des Basijis de voter pour Ahmadinejad, et d'enjoindre leurs familles à faire de même[6].

[modifier] Le populisme d'Ahmadinejad

Lors de sa campagne, Ahmadinejad s'est servi d'une forme de populisme qui joue sur les peurs des électeurs, particulièrement parmi les pauvres. Selon Abbas Milani, c'est la capacité de Mahmoud Ahmadinejad à comprendre et à se connecter aux aspirations des classes défavorisées qui explique en partie son élection au poste de président[6]. En effet, la majeure partie de ses promesses de campagne étaient destinées aux classes populaires : il a fait référence à la corruption de ses prédecesseurs, s'est présenté comme un homme du peuple, a promis de « mettre l'argent du pétrole sur la table de tous les iraniens » et s'est constamment déplacé dans les provinces iraniennes[16].

Ahmadinejad s'est appuyé sur ce discours populiste pour mobiliser une partie de la population iranienne pendant les élections, et s'est ainsi placé en opposition à son principal concurrent, Rafsandjani, qu'il présentait comme le seul responsable des échecs de la révolution islamique[17].

Le comportement de Mahmoud Ahmadinejad pendant sa campagne, et les expressions utilisées dans ses discours servent à mettre en avant sa proximité avec le peuple. Il utilise des expressions populaires et se présente toujours vêtu de la même façon : une veste trop grande et un pantalon large toujours de couleur claire, et jamais de cravate[18]. Il porte également en permanence une barbe, puisque l'Islam rigoriste dont il se réclame interdit également de se raser le visage. L'apparence du candidat, puis du président Ahmadinejad vise à signaler la différence existant entre les modernistes et les traditionnalistes[6].

[modifier] Élection

M. Ahmadinejad se présente à l'élection présidentielle du 17 juin 2005 et arrive, de manière inattendue, en deuxième position avec 19,5 % des voix derrière l'ancien président Ali Akbar Hachemi Rafsandjani qui obtient 21 % des voix. Le candidat conservateur Mohammed Qalibaf, donné second d'après les sondages, se plaint de fraudes massives. Lors du second tour du 24 juin, M. Ahmadinejad affronte M. Rafsandjani et l'emporte largement avec 62,2 % des voix contre 35,3 % à Rafsandjani. Son accession à la présidence est ratifiée par le guide de la révolution iranienne et chef d'état iranien Ali Khamenei le 3 août 2005. Le 6 août 2005, Mahmoud Ahmadinejad devient le 6e président de la république islamique d'Iran. Son mandat doit se terminer en août 2009.

[modifier] Politique intérieure

[modifier] Mesures concernant l'économie et pouvoir d'achat

(économie, logement, inflation, absence de politique coordonnée, rationnement de l'essence... ça reste à préciser)

[modifier] Un retour aux "fondamentaux" de la révolution

[modifier] re-islamisation de la société iranienne

("purge" des professeurs d'universités, droit des femmes, reprise plus soutenue des exécutions publiques, situation des homosexuels qui se détériore)

[modifier] populisme

[modifier] un président contesté

[modifier] Politique internationale

[modifier] Rhétorique anti-américaine et anti-israélienne

(rappeler cette constante en RII (République islamique d'Iran), développer sur les prises de position sur la Shoah, sur la légitimité de l'état d'Israel, etc.)

[modifier] Rôle dans la crise du nucléaire iranien

[modifier] Alliances avec les non-alignés

(le terme est à revoir, mais l'idée est de développer les rapprochements avec le Venezuela, la Biélorussie, les appels du pied à la Chine)

[modifier] Notes et références

  1. ab (en) Mahmoud Ahmadinejad sur iranchamber.com
  2. ab (en) Hussein D. Hassan, Iran : Profile and statements of President Mahmoud Ahmadinejad, CRS Report for Congress, 16/01/2007
  3. Yossi Melman et Meir Javendanfar, The Nuclear Sphinx of Tehran, éditions Caroll and Graff, 2007. page ?
  4. (fr) Vincent Hugueux (avec George Dupuy, Dominique Lagarde, et Christia Makarian, « Mahmoud Ahmadinejad, l'homme qui fait trembler le monde », L'Express, 20 avril 2006
  5. Michel Taubmann dit à ce sujet : « En accolant le suffixe nejad qui signifie "race" à son prénom Ahmad, - qui est aussi un des nombreux prénoms du prophète -, le père de Mahmoud dotait son fils d'un patronyme qu'il rendrait célèbre et qui signfie "de la race du prophète Mahomet. » in Michel Taubmann, La bombe et le Coran - Une biographie du président Mahmoud Ahmadinejad, Editions du moment, janvier 2008, pp. 21-25.
  6. abcdefghijkl (en) Abbas Milani, « Pious Populist. Understanding the rise of Iran's president», Boston Review, Novembre - Décembre 2007.
  7. abcdef (en) Matthias Küntzel, « Ahmadinejad's demons : A child of the revolution takes overs », dans The New Republic, 24 avril 2006, p. 15-23 [texte intégral]
  8. (en) Biograhie officielle de Mahmoud Ahmadinejad, sur le site president.ir
  9. abcde (en) Mahmoud Ahmadinejad sur le site Globalsecurity.org, accédé le 25/02/2008
  10. Michel Taubmann, La bombe et le Coran - Une biographie du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, Éditions du moment, janvier 2008, p. 40.
  11. (en) Brian Knowlton « Some held hostage in '79 in Iran say Iran's chief was a captor », International Herald Tribune, 1er juillet 2005.
  12. Voir les éléments de biographie d'Ahmadinejad donnés par Abbas Milani, Matthias Küntzel ou le site globalsecurity.org
  13. (en) Abi Abootalebi, « Iran's june 2005 presidential elections and the question of governance », dans Iran Analysis Quarterly, no 4, juillet - septembre 2005, 2, p. 10-21 [texte intégral]. Consulté le 26/02/2008
  14. Bill Samii, A New Paradigm and New Math in Iran, RFE/RL NEWSLINE Vol. 9, No. 121, Part III, 27 June 2005
  15. (en) Testimony of Abbas Milani, Stanford University, Foreign Affairs Committee of the House of Representatives, 31 janvier 2007.
  16. (en) Naghmeh Sohrabi, « Conservatives, Neo-Conservatives and reformists. Iran after the election of Mahmud Ahmadinejad », dans Middle East Brief, no 4, avril 2006 [texte intégral]
    édité par le Crown Center of Middle East Studies, Brandeis University
  17. Robert Bistolfi (dir.), « L'Iran, centre de gravité de plusieurs conflits. : Entetien avec Ahmad Salamatian. », dans Confluences Méditerranée. La montée des périls, no 61, 7 mai 2007, p. 49-62 [texte intégral]. Consulté le 25/02/2008
  18. L'Islam rigoriste dont se réclame Ahmadinejad interdit tout vêtement permettant de distinguer les formes du corps ; la cravate est considérée comme un signe de modernité et de « corruption occidentale »