Discuter:Dualisme (philosophie)

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J'ai effectué la fusion de cet article avec "La philosophie en dualismes". Il faut naturellement retravailler le tout d'où le bandeau "en travaux". Tryphon Tournesol

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Le titre ne serait-il pas plutôt dualisme en philosophie ou dualisme (philosophie) ? Greudin

Ce n'est pas l'idée que j'en ai, et que j'essaie de développer, petit à petit. Ce serait de toutes façons au pluriel. Mon idée est d'utiliser un outil dialectique, thèse-antithèse, pour analyser l'histoire de la philosophie, pour mettre en regard des oppositions, pour montrer que sans nécessairement se résoudre, certaines questions se sont déplacées.
Je suis plus qu'ennuyé par le parti-pris qui guide l'édition de la plupart des pages de philosophie au moins dans le Wikipedia français. Trop de place est donnée à un savoir accumulatif, et trop peu à une réflexion analytique. La philosophie est en mouvement, et Wikipedia devrait être interactif, donc vivant. Marc Girod 15 mai 2004 à 18:36 (CEST)

Pour ma part, je suis plus qu'excédé par l'ignorance qui s'étale dans ces pages, et je trouve ces petites divisions plutôt comiques, à défaut d'être exactes. En outre, quand tu parles de savoir accumulatif, ou tu es de mauvaise foi, ou alors tu ne lis pas ce qu'il y a dans les articles. Caton 15 mai 2004 à 22:29 (CEST)

Encore des insultes. Tu accuses en vrac d'ignorance (ce n'est pas la première fois), et de mauvaise foi. Tu parles du haut d'un savoir auquel j'oppose une réflexion. Tu as refusé la discussion quand je te l'ai proposée. Marc Girod 16 mai 2004 à 09:52 (CEST)

Ne renverse pas les rôles. Je n'accuse pas d'ignorance, c'est un fait vérifiable ; je ne t'ai pas accusé de mauvaise foi (c'est toi qui a choisi une partie de l'alternative). La réflexion sans le savoir, je me demande à quoi cela peut ressembler. Caton 16 mai 2004 à 11:49 (CEST)

Comment ?! Tu accuses « ces » pages d'ignorance, et tu es coutumier du fait (voir la nullité des articles, dans Discuter:Philosophie le mars). C'est un fait vérifié. Quant à la vérifiabilité de l'ignorance elle-même, j'attends de voir par quel protocole tu te proposes de la montrer. L'alternative... Je ris. Donc tu m'accuses de ne pas lire les pages. Qui est de mauvaise foi ? Toi. Tu as systématiquement évité de répondre aux critiques, utilisant des procédés tels que 
  • ajouter un titre peu flatteur Discussion_Utilisateur:Caton
  • répéter mes arguments hors contexte et sans y répondre, avec des commentaires ironiques.
Je suis tout à fait en droit de me considérer comme ta victime, et tu as tout fait pour m'empêcher de contribuer. Marc Girod 16 mai 2004 à 12:41 (CEST)


Je ne vois pas la mauvaise foi ; il est vrai que je dis ce que je pense, au lieu de poser mes insinuations ici et là. Quant à l'ignorance, je te conseille de lire la métaphysique d'Aristote. Le protocole est donc simple : lire les auteurs dont on parle et les citer. A partir de là, on s'apperçoit par exemple que la physique n'est pas la philosophie première : "la physique est la science d'un genre d'être déterminé... Mais s'il y a quelque chose d'éternel, d'immobile et de séparé, c'est à une science théorétique qu'en appartient la connaissance. Cette science n'est assurément ni la physique ni le mathématique." Mais s'il existe une substance immobile, la science de cette substance doit être antérieure et doit être la philosophie première." "La Théologie est la plus haute des sciences théorétiques." Comme les sciences théorétiques sont divisées en trois, il n'y a donc pas de dualisme aristotélicien.

Il suit aussi de là que Aristote ne distingue pas nettement fond et forme, mais plutôt, si je ne me trompe, être en acte et être en puissance, couple qui n'est lui même pas un dualisme, puisque l'être en puissance se débouble lui-même suivant les réalités que l'on considère (voir De l'âme). Il y a peu de change que cela ait un rapport parfait avec Frege.

Le dualisme cartésien est en fait un monisme métaphysique, puisque la substance est ou matérielle ou spirituelle. En outre, l'union de ces deux réalités forme une troisième réalité.

  • Le titre peu flatteur : tu sous-entends que j'aurais pu utiliser d'autres noms. Mais comme c'est faux, je suis en droit de me considérer comme ta victime.
  • tes arguments, où ça ? ah, tu veux dire des mots comme abominable, galimatias ?
  • j'ai tout fait pour t'empêcher de contribuer : est-ce que tu n'exagères pas un peu ?

Caton 16 mai 2004 à 13:08 (CEST)

[modifier] Un point de détail, mais...

"panacée propre à résoudre tous les problèmes", ce ne serait pas un tout petit peu pléonasmique ? 195.132.57.77 18 sep 2004 à 00:26 (CEST)

Ma foi... Merci. Je corrige... Marc Girod 18 sep 2004 à 10:33 (CEST)

[modifier] commentaires sur la page-même ou sur des pages liées

La querelle des Anciens et des Modernes est une querelle littéraire, sans doute, mais de portée philosophique. La dialectique, le dualisme, se retrouvent dans la philosophie : quelle est la valeur philosophique de Platon et d'Aristote (sans compter Parménide et Plotin) ? Du point de vue d'une synthèse contemporaine de la philosophie et de la science, ils ne représentent que des théories réfutées depuis longtemps, des étapes dépassées de la philosophie, ils présentent un intérêt à proprement parler historique, et non pas vraiment philosophique (même si une telle distinction ne peut être que méthodologique).

Maintenant, ce commentaire, cette discussion, n'ont pas leur place dans cette page-ci, qui n'est qu'un catalogue, une présentation contrastive de dualismes qui se font écho entre eux, mais dans la page liée.

Je ferais la même critique au commentaire sur les sources du droit. Marc Girod 18 sep 2004 à 10:44 (CEST)

Si je ne m'abuse, la querelle des anciens et des modernes était de forme et non de fond. Il était question de savoir si en matière de tragédie Corneille et Racine étaient les égaux ou non d'Eschyle et Sophocle, Molière celui de Plaute et Térence, et s'il existait des poètes du XVIIe siècle réellement comparables à Homère (le pauvre Chapelain voulut y prétendre avec sa Pucelle tristement accueillie). Il n'y avait donc amha rien là-dedans de philosophique, et ce d'autant moins que la philosophie était bel et bien la même. Descartes n'est pas concerné par la querelle des anciens et des modernes; il s'agissait de tout autre chose. 212.198.57.131 18 sep 2004 à 10:49 (CEST)
Mais je ne dis pas autre chose... Vous avez raison. De portée signifie que nous sommes en droit d'extrapoler, non pas que c'était le sentiment des auteurs impliqués. Pourtant l'opposition, et les arguments de part et d'autres sont du même ordre que ceux qu'on peut appliquer à la comparaison entre Aristote et Galilée.
De par sa célébrité, la querelle fonctionne comme une allégorie d'une dialectique qui fonctionne par ailleurs. Noter que forme et fond en sont une autre, et comparable dans son fonctionnement et son application. De nouveau, ces commentaires ont leur place dans la page Querelle des Anciens et des Modernes. Marc Girod 18 sep 2004 à 13:55 (CEST)