Discuter:Dijon

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Sommaire

[modifier] Libellé du titre

dijon,une ville agréable!!! dijonais d'adoption pour mes études en géo,j ai appris à la connaître,certes c'est une ville bourgeoise,mais elle reste chaleureuse,nous nous sentons en pleine securité(il n y que tres tres rarement des problemes d'insécurité !son passé,son architecture ,ses grands monuments font d'elle une ville incontournable! bravo dijon !

L'article ressemble maintenant à une publicité pour dijon, tant au niveau du champs lexical que des jugements avancés; "fort de ses 150000 habitants..."; "dijon opère des choix afin de devenir la ville de demain"; parfois la publicité est même mensongère : "D'autres écoles implantées au cœur de la ville disposent d'une solide réputation internationale, l’école supérieure de commerce bourgogne..." ça fait pas sérieux, non?

[modifier] Gallerie photo

Je ne suis pas sur de l'intérêt d'une gallerie photo sur cette page, étant donné que beaucoup de photos sont déjà disponible sur wiki-media commons, avec un classement adapté. Je trouve que cette gallerie rend la lecture de la page difficile. Si aucun commentaire particuliers, je pense peut etre supprimer cette gallerie prochainement tout en maintenant le lien vers commons avec les photos correctement classées. Christophe.Finot 11 septembre 2006 à 20:24 (CEST)

La gallerie de photos a été déplacée identique à elle même sur commons et devient ainsi plus facilement accessible de tous les wikis. Plusieurs photos ont été laissées pour illustrer la page web. Christophe.Finot 22 septembre 2006 à 14:04 (CEST)

[modifier] Localisation Dijon

Dijon
France

Oui, et alors ? Je n'ai pas saisi le sens de cette "discussion". Orror 29 novembre 2006 à 13:41 (CET)


Image:Départements et régions de France - Noname.svg

  • Ca serait mieux que cette carte grise blafarde avec cette affreux rectangle rouge non ? Wikisoft* @@@ 13 mai 2008 à 11:42 (CEST)
Voui, mais le pb, c'est que, apparemment, la carte grise blafarde fait partie du Modèle:Infobox Commune de France. C'est donc ce dernier qu'il faut modifier. Cela fait apparemment l'objet de vives discussions. Cf [1]. Theon (d) 13 mai 2008 à 14:54 (CEST)

[modifier] Projet : Voies de Dijon

Bonjour à tous, Que pensez de l’idée de recenser les voies de Dijon sur le principe de Voies de Paris ?

Projet interessant, mais travail titanesque en perspective :) --Rigil 28 janvier 2007 à 02:05 (CET)

[modifier] Moutarde de Dijon

Je suis au grand regret de dire que la moutarde de Dijon n'est pas fabriquée avec des graines poussées en Bourgogne, mais avec des graines issues pour 90% du Canada. L'auteur anonyme ayant signalé ce fait n'a donc pas tort. Il conviendrait cependant de donner davantage d'explications. Le terme moutarde de Dijon désigne un procédé de fabrication, mais non d'origine. Une demande d'appellation moutarde de Bourgogne protégeant également l'origine exclusivement bourguignonne des graines a été déposée en 2006. Il faudrait se renseigner pour savoir où en est cette demande, et modifier l'article en conséquence. Voir par exemple [[2]] ou [[3]]. Theon 8 avril 2007 à 11:41 (CEST)

[modifier] Gastronomie

(Petite) rectification...:

La fondue bourguignonne est sans doute devenue un plat typique de Dijon et de la région de Bourgogne... Cependant, cette fondue est d’origine Suisse ! En effet ce sont les Suisses qui l'ont inventés, avec du boeuf bourguignon, partout présent en Europe. C'est la viande qui a donné son nom a cette fondue, pas la région !

La presque totalité des gens font cette confusion en France. Comme pour la raclette et la fondue Savoyarde, qui est une fade copie filandreuse de la vraie fondue Suisse (ils sont voisins...). La fondue la plus douce en suisse est celle de l’Emmenthal, puis vient celle de la région de Gruyère et la meilleure au monde est celle de Fribourg (contient du vacherin). Il y a aussi la fondue Bacchus (avec du vin rouge et fines tranches de boeuf), aussi helvétique (de Lausanne), ainsi qu’une fausse fondue chinoise, (bouillon et fines tranches de boeuf)... Quand à celle au vin blanc, plus récente, on l’appelle la « Fondue vigneronne ». Je passe sur les nombreuses et saines fondues asiatiques, qu’il nous reste a mieux découvrir, comme la mondialement célèbre marmite mongole (hot pot, huo guo), inventée par des musulmans chinois. Bouillon aux champignons, avec de fines tranches de mouton, puis par la suite avec du poisson, du porc, de la volaille et des légumes... Que nous avons aussi un peu copiée ici, avec la fondue océane, nouvellement à la mode... ect... et au chocolat... ect...

Je suis presque surpris qu’en France les gens ne pensent principalement qu’à deux fondues de base : La savoyarde et la bourguignonne, en francisant des plats que nous avons copiés. Comme si nous n’avions pas assez de merveilleux plats, parmi les plus délicats au monde... On rouspète après les américains, qui osent appeler leur mauvaise vinace du Champagne et on fait pareil avec les fromages des autres. (L’Europe devrait changer cela). Il est vrai que le fromage suisse coute une fortune et qu’il se vend donc mal ici, mais un peu quand même, grâce aux subventions accordées par le conseil fédéral helvétique à ses paysans, pour aider l’exportation.

Essayez donc une fondue fribourgeoise (en suisse) ; vous n’en voudrez plus d’autres par la suite et surtout plus la savoyarde, qui est la moins bonne de toutes, faites presque toujours avec des fromages bon marché, de styles industriels, qui font souvent des fils et des boules dans l’estomac. Comme l’emmental français, que curieusement la plupart des gens appelle ici gruyère, même si c’est marqué Emmenthal sur les sachets ! Au fait ; le gruyère n’a pas de trous, c’est l’emmenthal qui en a. Là aussi lourde confusion française très répandue, jusque dans les blagues et les livres de recettes, parmi les meilleurs...

Bien cordialement à tous.

Et particulièrement aux savoyards, dont j’ai un grand nombre d’amis à Ambilly et à Annemasse, qui partagent mon avis. Il y a beaucoup de vraies spécialités de Savoie qu’il faudrait défendre. Je pense, entre autres choses, à la tartiflette, faite avec du reblochon (au lait cru, bien sûre), inventé par des garçons vachers, qui ramassaient (subtilisaient) les fonds de cuves, après avoir blochés (re-blocher)...ect

Pascal (Un franco-suisse de Haute-Savoie).

[modifier] Economie

Je ne comprends pas la phrase « L’implantation en 2005 de l’enseigne suédoise Ikea souligne l'attractivité du territoire dijonnais ». Que je sache, toute concentration de population, aussi peu attractive soit-elle, attire aujourd'hui une myriade de grandes surfaces. Quelle région d'Europe n'a pas aujourd'hui « son » Ikea et « son » Decathlon ? Il suffit d'un vivier de consommateurs, même pauvres, à 10 ou 50 km à la ronde pour intéresser les grandes chaînes commerciales. Pourquoi de plus distinguer une enseigne plutôt qu'une autre ? Si le cas d'Ikea à Dijon est particulier ou emblématique, il faudrait développer cette partie. Le poids économique de la grande distribution est incontestable dans une ville comme Dijon. Ce secteur mérite donc une description dans la rubrique Economie de l'article. Mais sans lénifier. Le bilan économique de l'implantation d'une grande surface est pour le moins discutable, notamment en termes d'emplois (voir par exemple l'analyse exposée par Christian Jacquiau dans « Les Coulisses de la grande distribution ») - sans compter les aspects sociaux, culturels et environnementaux.

pour ikéa c'est un peu différent, lors de l'ouverture, Dijon était la plus petite ville à accueillir un ikea et la mairie a du faire des pieds et des mains pour convaincre la firme d'implanter un site à Dijon.

Le sens de la phrase ne va pas de soi pour qui n'a pas suivi les péripéties que vous évoquez. L'Ikéa de Dijon mérite peut-être un paragraphe à part où relater l'épisode et ses conséquences de façon équilibrée, en donnant quelques chiffres significatifs. Il est vrai que cette rubrique n'en est encore qu'aux balbutiements. On sera sans doute amené à la subdiviser en plusieurs parties (genre: introduction, industrie, commerces, services...) où l'affaire Ikea pourra trouver sa place de façon plus naturelle. Pour l'instant, on jette des idées et toute idée est bonne à prendre.

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Je ne mets pas en doute votre sincérité mais parler d'Ikea dans cette introduction me paraît déplacé. Cette grande enseigne a l’art de s’attirer la sympathie de la population pour se placer en position dominante dans son secteur (comme la Fnac, Decathlon et d'autres). Appelons cela marketing, com ou manipulation. Toute nouvelle implantation du géant de l’ameublement est présentée comme un grand évènement populaire. L’opinion est savamment préparée. Les médias, la classe politique et le bouche à oreille prennent le relais : quelle bénédiction pour une agglomération que d’être choisie par un si prestigieux investisseur ! Outre la fin des « privations » (accès quasi gratuit à des biens de consommation jusque là inaccessibles), elle apporterait une foule d’emplois, une généreuse taxe professionnelle, d’inestimables gains en termes d’image, sponsors et autres effets boule de neige... Mais la concurrence est rude entre les territoires. La municipalité « fait des pieds et des mains » pour convaincre le bienfaiteur des avantages de notre bonne ville. Des terrains super bien placés sont mis à sa disposition avec raccords au réseau routier et autres infrastructures à la demande. Suspense intolérable... Jusqu’au jour où, cocorico ! notre candidature est retenue ! La multinationale daigne établir un magasin chez nous, preuve de l’indéniable « attractivité » de notre territoire. Le premier parpaing est posé en grande pompe en présence des édiles locaux sous les caméras fébriles de la presse et de la télé. Les bulldozers s’activent. On assiste ébahi à l’érection du splendide préfa jaune et bleu dans la verte campagne où se creusent déjà les futurs ronds-points et bretelles d’accès. A l’approche de l’ouverture, toute la ville est en émoi. Les murs et les bus se couvrent de joyeuses affiches jaunes et bleues flattant gentiment le chauvinisme local. Les journaux et les radios locales font monter la mayonnaise. Des milliers de gens affluent de lointaines contrées. On campe sur les parkings pour être parmi les premiers clients...

Bref, beaucoup de poudre aux yeux, à mon avis. Il serait plus intéressant de parler de l’incidence réelle de ce magasin sur l’économie locale. Quelques questions sont soulevées dans un passage du livre de Jean Bothorel et Philippe Sassier « La grande distribution : enquête sur une corruption à la française » (Bourrin éditeur, 2005) que je reproduis ci-dessous.

« Son implantation à Châtenoy-Le Royal en Saône-et-Loire est considérée comme une catastrophe par les industriels et les commerçants de meubles traditionnels. "Je suis sidéré d’une telle surface de vente à bas prix, sans réaction des pouvoirs publics, alors que le site est déjà fort bien pourvu en points de vente de meubles ; bien sûr, il y a création de 200 emplois sur Dijon, mais on oublie que ça va se traduire par une baisse beaucoup plus importante d’emplois dans la production et la vente un peu partout sur le territoire national, d’autant plus que la marque suédoise, il n’y a pas si longtemps, annonçait une augmentation de 30 % de son approvisionnement en Chine", explique Yvon Charlot, président-directeur général de la société B. Marly à Châtenoy-Le Royal. Cette société qui emploie 150 personnes fabrique des canapés et des fauteuils de bonne qualité ; elle prévoit que ses commandes vont se ralentir avec la montée en puissance d’Ikea. » Ricrac (d) 26 mai 2008 à 18:06 (CEST)