Discuter:Destin de l'univers

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Sommaire

[modifier] Raisonnement ?

Je suis ennuyé par la lecture de cet article. Il parle de la densité de matière, la densité d'énergie et la densité de courbure. Mais pour autant que j'en comprenne, ces trois densités n'ont pas le même rôle. En particulier, la troisième n'est pas vraiment une densité. La courbure de l'univers est une conséquence de son contenu (les 2 premières densités).

Cela donne un article plutôt boiteux qui me semble sortir plutôt d'une mauvaise compréhension de la chose - même si le sujet lui-même est intéressant.

Avant de me lancer à lacérer l'article de mes modifications - qui seront forcément violentes après ce que je viens d'écrire - j'aimerais un avis extérieur. Ploum's 28 mar 2005 à 01:15 (CEST)


[modifier] Raisonnement scientifique ou le problème des mots

Je ne suis pas un "avis extérieur" puisque j'ai écrit l'article, mais je comprends ce que tu veux dire. Je ne t'apprends rien : le sujet est complexe et les controverses nombreuses, il faut donc synthétiser -sans forcément chercher à simplifier d'ailleurs- et le triangle de 3 "densités" est une façon de synthétiser en jouant sur le vocabulaire. Je ne l'ai pas inventé toute seule, il est issu d'un numéro de "Pour la science" (oct-dec 2004, à vérifier) qui reprend ces trois "densités" sous forme de schéma.

Je pense que nous sommes d'accord sur le fond (?), il y a bien 3 paramètres à prendre en compte: matière, énergie et forme de l'univers, et on ne sait pas grand-chose sur les deux derniers puisque la nature de l'énergie sombre reste inconnue et quant à la géométrie de l'Univers...n'en parlons pas.

Cela dit peut-être que les raccourcis de vocabulaire ne sont pas la meilleure façon de réconcilier réalité physique et compréhension, aussi préviens-moi si tu connais une meilleure méthode :-) et, en attendant, modifie à volonté.

[modifier] Forme

Sans parler du fond, il me paraît urgent de retravailler la forme de cet article qui ne ressemble pas tellement à un article encyclopédique dans sa version actuelle.--Ant.amarilli 29 septembre 2005 à 11:38 (CEST)

[modifier] Ajout d'une IP

Une IP a ajouté ce texte, qui ne me paraît pas être en adéquation avec l'article - j'ai fait un revert. Peut-être y-a-t-il tout de même quelque chose à sauver...


SERAIT-CE LES SIGNES DE NOTRE ULTIME RENDEZ-VOUS GRÂCE AUX SUPERNOVAE ?


J’écoutais dimanche, le 12 mars 2000, à la télévision de Radio-Canada, l’émission DECOUVERTES sur l’astronomie: les recherches par l’équipe américaine d’astrophysiciens de Saul Perlmutter, physicien. L’on nous informait de l’existence de supernovae ou des éclatements d’étoiles. Ce phénomène pouvait éventuellement aider à connaître la vitesse de ralentissement de l’univers, croyait-on ! Une approche sélective du visionnement de la voûte céleste a été envisagée, grâce à l’informatisation de procédés photographiques très sensibles pour décoder rapidement et enfin capter ces supernovae. Cela a été une course contre la montre parmi les chercheurs des observatoires astronomiques du monde entier afin de vérifier l'expansion de l’univers. Était-il en ralentissement, comme ils le supposaient ?

         De plus il semblait dire que le vide interstellaire produisait une apparition et une disparition constante de la matière : que le vide n’était pas tout à fait vide selon leur observation! De plus, la théorie existante voulant que la loi gravitationnelle tente de rapprocher la masse des étoiles entre elles; était-elle encore valable ? 

Les chercheurs ont observé et fait les calculs mathématiques sur plusieurs supernovae soit une quarantaine environ en explosion. Ces chercheurs sont venus à la conclusion incroyable, contre tous pronostiques, qu’au contraire, l’univers est en expansion accéléré depuis ses origines; du fameux Big Bang ! Einstein, avec sa constante cosmologique, cette supposée énergie mystérieuse stabilisant les particules les unes par rapport aux autres dans l’univers, était complètement dépassée ! Mais, les chercheurs, après avoir contre vérifié avec une des plus ancienne supernova, datant de 10 milliards d’année depuis son éclatement (la plus ancienne trouvée) et fait l’analyse spectrale et les calculs de la vitesse de sa lumière ont eu la confirmation évidente : notre Univers est bel et bien en expansion accélérée ! L’on supposait alors que l’univers, dans un futur lointain, serait tellement étendu, que les planètes auraient un immense vide entre elles. Le ciel en deviendrait-il refroidi et obscurci; concluait-on ?

En écoutant cette émission, me venait à la mémoire le texte de la Bible sur l’origine du monde dans la Genèse : «Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or la terre était vague et vide, les ténèbres couvraient l’abîme, l’esprit de Dieu planait sur les eaux. » Nous sommes loin aujourd’hui, de cette perception en partie simpliste de la création, mais les théories et les constats de la science nous font observer que le Big Bang du début de notre univers nous rapproche tranquillement du fait qu’il y a eu, commencement ou Genèse, et qu’il y aura aussi une fin à l’univers connu. Il est dit dans le livre de l’Apocalypse à la toute fin : «Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin.»

C’est comme si notre univers, venu par le Big Bang, ce formidable espace-temps créé par Dieu, au milieu de l’Infini, se dirigeait de façon ultime vers sa destinée. Nous devinons tous que cette puissance inhérente c’est l’Esprit Saint qui la guide, et cet appel à l’Infini de Dieu ou du Paradis, n’est-ce pas ce vers quoi nous nous dirigeons de façon accélérée selon toute intelligibilité?

Alors que les physiciens et les astrophysiciens supposent et croient pour l’instant que l’univers en expansion accéléré est en vase clos ! Ils ne savent pas qu’aux confins de l’univers, il y a peut-être… de la Lumière ! Contrairement à tout ce que l’on voit avec les yeux, même avec les observatoires astronomiques et télescopes spatiaux ! Seul le regard alimenté par la foi peut nous faire entrevoir cette incroyable possibilité !

Serait-il possible aussi de croire que : « En même temps que nous accélérions vers l’infini matériellement parlant depuis 14 milliards d’années; que l’Infini aussi vient vers nous ? La foi vient-elle à notre secours pour éclairer encore cette étonnante possibilité ?

L’infini de l’Amour nous attire, et n’attirerait-Il pas même la matière aux confins ultimes de l’univers, pour cette rencontre avec l’Éternité qui sera enfin consommé, dans un espace-temps définitivement consumé dans l’esprit d’Amour ?

Une autre question se pose : quand nous atteindrons par cette force accélératrice, la vitesse de la lumière ! Alors que se passera-t-il pour nous ? Quand l’atteinderons-nous ?

Nous oublions trop souvent que la naissance de Jésus sur terre a été marquée par des signes dans le ciel pressentis par les rois Mages (astronomes et chercheurs au regard de foi) ; grâce à une étoile ! (Était-ce une supernova en plein éclatement ?) Il nous est dit dans les Évangiles que le phénomène de cette étoile a perduré pendant plusieurs semaines et même plusieurs mois !

Des signes dans le ciel marqueront son Retour tels qu’annoncés dans le livre de l’Apocalypse de saint Jean ! Devons-nous décoder subtilement que les signes actuels en sont les manifestations ?

Aussi dans le récit de l’Apocalypse il est dit que les puissances des cieux seront ébranlées et que les étoiles tomberont ; mais pas dans le sens que nous imaginions tous ; mais plutôt en accélération vers l’Infini, soit dans le sens contraire à toute attente, selon l’observation des astrophysiciens. N’est-ce pas ce qui se passe présentement ?

Notre corps de même que la matière que nous connaissons ressuscitera dans l’Esprit Saint tel que Notre Seigneur le vit Présentement en cette Pâque Éternelle ! Prémisse de ce vers quoi notre univers ne se dirige-t-il pas ? Avec accélération ? À la rencontre de la Jérusalem Céleste, de l’Infini, du point Oméga ! N’est-ce pas ce que Lui nous a promis :« Je serai avec vous, tous les jours, jusqu’à la fin du monde ! »

Cette intuition sur la matière et «  la Matière », n’a-t-elle pas été pressentie aussi par le Père Teilhard de Chardin, jésuite, scientifique, paléontologue et phénoménologue ? Et cela, dès sa plus tendre enfance et tout au long de sa vie de 1881 à 1955 : en tentant de souligner la continuité des enseignements de la science et des données de la Révélation chrétienne, comme le résumait si bien Claude Tresmontant*. Ce dernier, ancien directeur de philosophie à l’université de Paris disait dans son livre : INTRODUCTION À LA PENSÉE DE TEILHARD, Édition du Seuil 1956, page 84 –85 : « On a accusé Teilhard de concordisme pour avoir tenté cette synthèse entre l’enseignement du réel et l’enseignement de la Révélation. Le concordisme est un essai illégitime de recherche dans l’Écriture sainte de connaissances qui ne sont pas de son ressort, puisqu’elles doivent être fournies normalement par une enquête scientifique.

La démarche du Père Teilhard n’a rien de commun avec le concordisme. Parler de concordisme dans son cas c’est caser paresseusement un problème nouveau dans un tiroir ancien. La démarche du Père Teilhard ne consiste pas à rechercher dans l’Écriture des vérités scientifiques – il en est loin ! – mais à laisser se rejoindre en lui les sources du savoir, comme inévitablement l’esprit est amené à le faire, s’il ne veut pas construire artificiellement des cloisons étanches, à l’intérieur de lui-même, entre sa foi et sa science. Il ne s’agit pas de confondre les diverses sources de la connaissance, ni de mêler les principes propres et les méthodes spécifiques à chaque ordre. Il s’agit simplement de prendre la création de Dieu et la Parole de Dieu au sérieux : c’est bien de cet Univers-ci qu’il est question dans l’Écriture, et entre la Création, qui est l’œuvre de la Parole de Dieu, et cette même Parole exprimée en mots humains, il ne saurait y avoir contradiction. La Création, dans son travail physique, biologique, humain, prépare, cette fin surnaturelle à laquelle la Révélation nous invite. »

Et le pape Jean-Paul II disait le 18 février 2004 : « Avant même la création et le temps, Dieu prédestinait toute l’humanité et le cosmos à connaître le salut et la gloire, révélant son amour et sa grâce à travers toute l’histoire de la rédemption ».


Et le très beau texte du 1er Concile du Vatican, chap.4 dit ceci : «L’Église catholique a toujours unanimement tenu et tient encore qu’il existe deux ordres de connaissance, distincts non seulement par leur principe, mais aussi par leur objet. Par leur principe, puisque, dans l’un, c’est la raison naturelle, dans l’autre, la foi divine, qui nous fait connaître. Par leur objet, parce que, outre les vérités que la raison naturelle peut atteindre, nous sont proposés à croire les mystères cachés en Dieu, qui ne peuvent être connus s’ils ne sont révélés d’en haut.

Lorsque la raison, éclairée par la foi, cherche avec soin, piété et modération, elle arrive, par le don de Dieu, à une certaine intelligence très fructueuse des mystères, soit grâce à l’analogie avec les choses qu’elle connaît naturellement, soit grâce aux liens qui relient les mystères entre eux et avec la fin dernière de l’homme. »

Le pape, Jean-Paul II étudiait, le 26 août 2001, un modèle physique représentatif de Dieu avec des scientifiques, philosophes et astronome à Castel Gandolfo. Ils avaient abordé ensemble ce thème qui peut sembler à première vue un peu hérétique. (voir 1er texte en annexe)

«  Recherchons donc le Royaume des Cieux et le reste viendra par surcroît ! »

P.S.

Claude Tresmontant décédé il y a quelques années seulement, disait comment les diverses universités de l’Europe évacuent actuellement tout pré requis de croyance en Dieu dans le discours d’analyse philosophique d’aujourd’hui. Dans deux émissions RENCONTRES à Radio-Canada, vous pouvez visualiser sur Internet le dialogue de Claude Tresmontant avec l’abbé Marcel Brisebois, animateur, au site Internet de Raymond Beaugrand-Champagne : www.dieu-parmi-nous.com


MARANATHA ! (Qui veut dire : « Jésus vient ! » dans Sa langue maternelle araméenne)


Écrit lundi 3 octobre 2005 Par Marc-Albert Bélanger,architecte au Courriel suivant: mab.architecte@qc.aira.com Science: L´exploration du cosmos contribue à un monde plus humain. Ce n´est pas un "luxe"

CITE DU VATICAN, Vendredi 6 juillet 2001 (ZENIT.org) La recherche sur les mystères de l´homme et du cosmos ne constituent pas un "luxe" mais contribue à la construction d´un monde plus humain, soulignait Jean-Paul II, qui encourage un dialogue toujours plus fécond entre science et spiritualité.

Le pape a reçu ce matin en audience les quelque 200 astrophysiciens de 50 pays (en particulier des pays en voie de développement) participant au cours d´été de l´Observatoire astronomique du Vatican, à Castel Gandolfo sur le thème de la "mort des étoiles", c´est-à-dire au processus d´épuisement des sources d´énergie normale des corps célestes.

La recherche sur le cosmos, disait le pape, "n´est pas un luxe loin des préoccupations quotidiennes des gens et non pertinent pour la construction d´un monde plus humain". Toute recherche scientifique valide, rappelait le pape, peut conduire l´homme moderne à la conscience profonde d´être partie intégrante du créé et donc à cette "sagesse" qui est "le cœur de tout humanisme authentique".

L´analyse des caractères fondamentaux de l´univers, selon le pape, est utile dans la mesure où elle "dirige inévitablement la pensée vers ce qui est notre destin particulier à l´intérieur de cet univers".

Pourtant, l´intelligence de ces réalités devient sagesse authentique seulement lorsqu´on demeure ouvert aux "nombreuses vies" à travers lesquelles l´homme peut apprendre davantage sur ce qui l´entoure: donc, la science, mais aussi l´art, la philosophie, la théologie y contribuent. Et dans ce sens, la recherche scientifique devient aussi "créative et utile socialement" lorsqu´elle contribue à unifier les apports des différentes disciplines et à créer un dialogue fécond avec leurs représentants.

La science, conclut le pape, "a certainement été l´un des flambeaux qui a illuminé le long voyage de l´humanité dans le temps mais si nous essayons d´unir ce qu´elle nous enseigne avec ce que nous savons, en tant qu´êtres humains, nous nous sentons subitement conduits vers des réalités encore plus mystérieuses et nous nous rendons compte que notre soif de connaissance demeure incomplète si elle n´allume pas en nous le désir de donner et de recevoir de l´amour".

ZF01070604


CITE DU VATICAN, Mercredi 18 février 2004 (ZENIT.org)

Dieu a prédestiné toute l’humanité et le cosmos à connaître le salut et la gloire, a affirmé Jean-Paul II au cours de l’audience générale qui a eu lieu dans une salle Paul VI comble: en présence de quelque 9.000 visiteurs.

Le pape commentait le cantique du 1er chapitre de l’Epître de saint Paul aux Ephésiens, que l’Eglise latine chante aux vêpres le lundi de la première semaine liturgique. Un collaborateur de Jean-Paul II a lu le résumé en français de sa catéchèse en italien et le pape a lui-même adressé une salutation aux francophones comme il tient à continuer à le faire chaque mercredi.

"Dès le début de la Lettre de saint Paul aux Éphésiens, l’hymne de «bénédiction» que nous venons d’entendre exalte l’œuvre merveilleuse de Dieu, réalisée pour nous dans le Christ, en qui se dévoile pleinement le «mystère» caché depuis les siècles", fait remarquer Jean-Paul II.

Il continue: "Avant même la création et le temps, Dieu prédestinait toute l’humanité et le cosmos à connaître le salut et la gloire, révélant son amour et sa grâce à travers toute l’histoire de la rédemption".

"Rachetés par le sang du Christ, que le Père a fait Seigneur du cosmos et «Tête de l’Église qui est son corps» (1,22-23), nous avons obtenu le pardon de nos péchés et nous sommes devenus les fils adoptifs de Dieu qui, en nous révélant ainsi la plénitude du mystère de sa volonté, nous fait entrer au cœur de la vie trinitaire", conclut la catéchèse.

ZF04021801


[modifier] Développement de l'équation de Friedmann

Ne manquerait-il pas un 3 quelque part? Sauf erreur de ma part, je ne vois pas comment passer de ceci: http://upload.wikimedia.org/math/4/f/8/4f8efdaa13cefe0506507b511c8fd32e.png à cela: http://upload.wikimedia.org/math/3/9/6/39680d12f93e5cba2f3b88ce593bb751.png sinon en oubliant de diviser par 3 le membre (8piG/c²)... A vérifier par quelqu'un de plus sûr que moi dans la matière!

Gessy-Nya Penst 22 janvier 2008 à 20:20 (CET)