Discuter:Daniel Mermet

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bonjour, ca va pas vous plaire mais j'ai lu quelques critiques sur l'autoritarisme ou du moins la mauvaise ambiance qui évolue autours de Daniel. Confère le site de CQFD ou d'Acrimed.

Sommaire

[modifier] Personnalité autoritaire

Je me suis permis d'effacer la phrase, qui était vague et qui faisait preuve de partialité. Il faudrait dire "Selon machin, Daniel Mermet est autoritaire car blablabla". Pwet-pwet · hablar 15 février 2007 à 15:07 (CET) Suis assez d'accord avec toi, ceci doit rester un article encyclopédique et neutre, est il pertinent de prendre parti dans cet article ? je ne le crois pas. D'autant plus qu'avec ce genre de polémique il reste plus que difficile de se faire un avis objectif.--Eikasia 17 février 2007 à 18:59 (CET)

J'ai pris la formulation de l'article sur son émission et j'y ai ajouté trois sources, ça va mieu nan? --Gourgandin 28 mars 2007 à 02:40 (CEST)

Les phrases "Daniel Mermet n'en reste pas moins un patron" et "allant jusqu'au tribunal avec certains membres de son équipe" sont de fausses informations qui portent gravement atteintes à Daniel Mermet et à "Là-bas si j'y suis". En CDD comme la plupart des collaborateurs des programmes de France Inter Daniel Mermet n'est pas l'employeur. C'est Radio France qui est l'employeur et qui négocie les embauches comme les licenciements. Daniel Mermet n'a jamais licencié quiconque. Je vous mets au défi de fournir une preuve contraire. Plus grave encore que d'affirmer que Mermet aurait été poursuivi devant les tribunaux par "certains membres de son équipe". C'est là un mensonge malveillant qui constitue un délit de diffamation publique passible de poursuites.


D. Mermet n'est pas le patron mais il a néanmoins le pouvoir légitime de la composition de son équipe. Acrimed a couvert certains conflits je pense que notre encyclopédie devrait, à défaut d'en faire état, au moins d'en suggérer l'existence :
La place particulière occupée dans le paysage médiatique par l’émission « Là-bas si j’y suis » diffusée sur France Inter ne justifie pas que l’on passe sous silence les accusations portées contre son animateur et producteur, même si, dans ce cas, le refus de se taire ne va pas sans un grand sentiment de tristesse, [voire de gâchis].[1]
D'après un tract des syndicats de Radio France[1] (SNRT-CGT, SNJ-CGT, CFDT, FO, CFTC, SNJ, CGC, SUD) à Paris, le 22 septembre 2004 :
La valse des collaborateurs continue dans l’équipe de Daniel Mermet ! (...) Aujourd’hui, c’est au tour de Claire Hauter et Thierry Scharf, deux reporters permanents de l’émission, d’être sanctionnés pour cause de « fonctionnarisation » et « manque de rendement » (ou bien pour avoir soutenu Joëlle Levert ?).
Aux réponses de Daniel Mermet Thierry Scharf et Claire Hauter répondaient : Daniel Mermet affirme nous avoir proposé une alternative au retour à la pige en allégeant le contenu des reportages pour augmenter la productivité. Quand on connaît son exigence ça ne tient pas debout.[2]
Alors peut-être pourrions-nous écrire une section comme celle ci dessous (Gourgandin 19 avril 2007 à 03:01 (CEST)):

[modifier] Conflits

L'équipe de Là-bas si j'y suis n'est pas exempte de conflits, en attestent les accusations (rapportées par Acrimed[3]) portées contre son animateur et producteur Daniel Mermet par Joëlle Levert[4] et les syndicats de France-Inter[5] en novembre-décembre 2003[6] puis par Thierry Scharf et Claire Hauter[7] accompagnés des même syndicats[8] en septembre 2004.

D'après Daniel Mermet dans sa dernière réponse du 29 septembre 2004[9], il ne s’agit pas d’un conflit opposant un gros vilain chef à d’innocentes victimes précarisées, mais tout simplement d’un budget insuffisant. La cause de cette crise est là, et nulle par ailleurs.

Le site Acrimed.org a couvert ces conflits et s'en défendait en décembre 2003 en ces termes : La place particulière occupée dans le paysage médiatique par l’émission « Là-bas si j’y suis » diffusée sur France Inter ne justifie pas que l’on passe sous silence les accusations portées contre son animateur et producteur, même si, dans ce cas, le refus de se taire ne va pas sans un grand sentiment de gâchis.[2].

[modifier] Notes

  1. http://www.acrimed.org/article1764.html
  2. http://www.acrimed.org/article1774.html
  3. http://www.acrimed.org/article.php3?id_article=1397 la justification d'Acrimed (disponible également ici)
  4. « Un cas de harcèlement moral à Radio France », par Joëlle Levert en décembre 2003 sur le site Acrimed
  5. http://www.acrimed.org/article1376.html Les syndicats de Radio France défendent les attachés de production Publié le jeudi 27 novembre 2003
  6. http://www.acrimed.org/article1399.html une réponse de Mermet « Joëlle m’a mordu » en décembre 2003
  7. http://www.acrimed.org/article1774.html Réponse de Claire Hauter et Thierry Scharf à Daniel Mermet : « A prendre ou à laisser » Publié le vendredi 1er octobre 2004
  8. http://www.acrimed.org/article1764.html La précarité à Radio France et à ...« Là bas si j’y suis » Publié le dimanche 26 septembre 2004
  9. http://www.acrimed.org/article1769.html Daniel Mermet répond : « Pourquoi tant d’amour ? » Publié le mercredi 29 septembre 2004
Gourgandin 12 avril 2007 à 17:55 (CEST)

[modifier] Doublon, fusion ?

Quelle est l'utilité des deux pages Là-bas si j'y suis et Daniel Mermet dont les textes sont copiés l'un sur l'autre ? Fusion ?

Les deux articles me semblent justifiés, mais on pourrait supprimer la section "Conflits" de cet article, qui est effectivement un copier-coller de Là-bas si j'y suis. Galoric - 29 décembre 2007 à 13:28 (CET)