Dancing Disco
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Dancing Disco | |||||
Album par France Gall | |||||
Sortie | 27 avril 1977 | ||||
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Enregistrement | 1977 Londres Royaume-Uni Paris France |
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Durée | 29min49s | ||||
Genre(s) | Chanson française | ||||
Producteur(s) | Michel Berger | ||||
Label | WEA | ||||
Albums de France Gall | |||||
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Dancing Disco est un album-concept studio de France Gall sorti en 1977. Il s'est vendu à plus de 500 000 exemplaires en France.[1]
Sommaire |
[modifier] Titres / Durée totale 29:49
- Dancing Disco 6:45
- Chanson de Maggie 3:05
- Une nuit à Paris 2:10
- Quand on est enfant 1:45
- Musique 5:20
- Le Meilleur de soi-même 3:50
- Ce garçon qui danse 4:05
- Si, maman, si 2:55
[modifier] Crédits
[modifier] Musiciens
- Piano : Michel Berger
- Piano électrique : Georges Rodi
- Guitares basses : Christian Padovan, Pascal Arroyo
- Batteries : Simon Philips, André Sitbon, André Ceccarelli
- Guitares : Alan Parker, Gérard Kawczynski, Denys Lable, Marc Péru
- Percussions : Ray Cooper, Marc Chantereau
- Cordes, direction : Claude Germain
- Cordes et cuivres, direction sur Dancing Disco, Une nuit à Paris : Jimmy Horowitz, leader David Katz
- Accordéon : Gilbert Roussel
- Clarinette basse : Francis Cournet
- Chœurs : Michel et Georges Costa, Sue & Sunny, Johanner Stone
[modifier] Production
- Paroles et musique : Michel Berger
- Producteur : Michel Berger
- Éditions originales : PEM Colline, droits transférés aux Éditions Apache France
- Label : WEA
- Prise de son :
- Mixage : Jean-Pierre Janiaud assisté par Patrick Foulon, Studios Gang, Paris
- Album original : 33 tours / LP Stéréo Atlantic WEA 50 364 sorti le 27 avril 1977
- Illustration pochette : Jean-Marie Assenat
- Photo intérieure : Tony Kent
- Réédition CD : WEA 2292-42147-2 sorti le 15 novembre 1990
[modifier] Album-concept
2e album et unique album-concept enregistré par France Gall et qu'elle définit ainsi : « L’histoire d’une fille qui travaille dans une boîte de nuit. »[2]L'héroïne de Dancing Disco n’est pas sans rappeler Marie-Jeanne, la serveuse automate du futur opéra rock Starmania que Michel Berger et Luc Plamondon sont en train d'écrire (parution en 1978).
À force de capter le mal de vivre de ses clients, Maggie en devient aussi la victime et elle en témoigne dans sa Chanson de Maggie : Les cœurs démolis, usés, De ceux qui veulent oublier Leur vie dans l’obscurité. |
Dans son sous-sol, submergée par le malheur des autres, elle essaie pourtant de s'en sortir et veut encore croire au bonheur : Pour vivre et tout recommencer, N’appelez plus Maggie, N’appelez plus Maggie, Ce matin, elle est partie… |
Hélas ! Son histoire s'achève avec son chant de désespérance. L'épilogue de l'album, Si, maman, si, constate sa défaite : Je pleure comme je ris, Si, maman, si, Mais mon avenir reste gris Et mon cœur aussi… |
[modifier] L’inédit
- Le titre Une femme, tu sais, qui devait initialement être incorporé à cet album-concept, fut finalement écarté en 1977 et resta inédit jusqu’en 2004, année de la parution d'Évidemment, l’anthologie des années Berger chez Warner, Éditions CMBM (Colline Michel Berger Music).