Bulle immobilière espagnole
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La bulle immobilière espagnole est une bulle immobilière initiée en 1999, qui se poursuivait encore en 2007. La spéculation immobilière, encouragée par des taux d'emprunt très bas (car à taux variable), provoque une bulle.
[modifier] Causes
Entre autres, quelques causes ayant mené à cette situation sont :
- Les exigences limitées des banques dans la concession d'hypothèques et la durée de ces hypothèques (jusqu'à 50 ans).
- Le faible niveau des taux d'intérêt, notamment de l'Euribor.
- Le niveau élevé d'endettement des ménages (années 1998-2000) relativement aux autres pays européens. En (2006) les Espagnols devaient à leurs banques 700 000 millions d'euros en crédits.
- L'accès au logement de la génération née dans la décennie 1970 (connue comme la génération du Baby Boom).
- La possibilité pour les municipalités de décider de manière arbitraire quel sol est, ou n'est pas, urbanisable, ce qui donne également lieu à de la corrupción urbanística.
- L'achat et la conservation spéculative de surfaces énormes par de grands constructeurs et groupes d'investisseurs.
- La tendance espagnole à l'achat plutôt qu'à la location, due à une politique fiscale favorable à l'achat.
- Le haut pourcentage de résidences vides.
- Un "excès de capital"[1].
- La dette des particuliers avoisinant les 832 289 millions d'euros à la fin de 2006 (croissance de 18,53 % par an)[2].
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes