Association des sports de glace de Tours
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Fondé en | Juin 1972 | |
Siège | 9 Avenue du Général de Gaulle 37000 Tours |
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Patinoire | Patinoire municipale (1 760 places) |
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Couleurs | Noir et Orange | |
Ligue | Ligue Magnus | |
Entraîneur-chef | Robert Millette | |
Président | Rémi Delmas | |
Site Web | Asgtours.fr |
L’Association des Sports de Glace de Tours (ASGT) est un club de de hockey sur glace français évoluant en Ligue Magnus pour la saison 2007-08. L'équipe, entrainée par Robert Millette, porte le surnom des Diables noirs de Tours (anciennement les Mammouths).
Sommaire |
[modifier] Historique
[modifier] 1972-1980, de la fondation au titre
Le club est crée en juin 1972 en vue de l'ouverture de la patinoire au mois de septembre. 47 Jeunes s'inscrivent au Hockey sur Glace[1].
Après une participation en Coupe d'Armor, l'équipe débute en championnat de France Nationale C lors de la saison 1973-74. Grâce au travail de son entraineur Patrick Sawyerr, elle est championne de Nationale C dès sa seconde saison en remportant également la Coupe de France[2].
En 1975-76, Jean-Claude Sozzi, gardien de l'équipe de France arrive à Tours. Le club finit champion de Nationale B (donc pour sa première saison à ce niveau) mais échoue en barrage pour l'accession en Nationale A, (face à Briançon et Lyon)[2].
En 76-77, c'est l'arrivée du canadien Jean Lussier. Accompagnant un nouveau titre de Nationale B, l'équipe réussit ses barrages et se qualifie en Nationale A. Elle atteint également la Finale de la coupe France (défaite 4-5 face à Villard-de-Lans)[2].
Pour sa première saison en élite (1977-78), Tours recrute 2 internationaux, Guy Galiay (ex-Grenoble) et Pascal Delmonaco (ex-Briançon) et confie le poste d'entraineur à Michel Lussier, frère de Jean. Les débuts en élite sont difficiles mais l'équipe gagnant en cohésion finit par atteindre la troisième place[3]. Elle gagne également la Coupe de France face à Croix (6 à 4 a.p.)[4].
1978-79: Nouveau début de saison laborieux, l'ASGT finit 5e de la première phase. En poule finale, le titre se joue entre Chamonix, Tours et St-Gervais. Mais lors de la dernière journée, où le match entre Chamonix et St-Gervais est capital pour l'attribution du titre (le nul sacrant Tours), les chamoniards réussissent à l'emporter 4 à 3 en marquant à 1'40 de la fin. L'ASGT finit vice-champion de France[5].
1979-80, voit la consécration pour le club, qui remporte le titre de champion de France, sous la direction d'Adolf Sprincl. Premier club professionnel et premier club de plaine à remporter le sacre[6], Tours, misant également sur un recrutement de joueur franco-canadien, ne fait pas l'unanimité au sein du hockey français, et héritera vite d'une image de club de "mercenaires".
[modifier] 1980-2000
[modifier] 2001-2008 : L'ère Millette
[modifier] 2001-2002
En 2001, nouvel entraineur : Robert "Bob" Millette, ancien entraineur-joueur de 1988 à 1991 revient en touraine. Dès cette première saison à la tête du club, il réalise un recrutement international, qui fait débat[7]. Il associe aux Français (François Gleize, capitaine) des Québécois (Gilbert Lefrançois, Serge Jr. Saint-Denis), un Américain Scott Goldman, ainsi que des Slovaques (Frantisek Pulscak, Jan Supuka, Marcel Šimák ou le gardien (Vladimír Hiadlovský) et des Tchèques (dont Kamil Stastný).
Après un début de saison difficile (3 défaites et un match nul lors des 4 premières rencontres), cette équipe pléthorique réussit à finir troisième de la saison régulière de Division 1. Elle élimine Strasbourg en quart de finale et chute face à Villard-de-Lans, favori de la saison. L'ASGT remporte la petite finale face à Épinal lors d'une séance de prolongation, les 2 équipes étant à égalité de la série aller-retour (5-7 puis 4-2)[8].
[modifier] 2002-2003 : Débuts du Super 16
Chamboulement de la ligue élite en 2002-2003, qui est restructurée en 2 poules regroupant chacune 8 équipes. Tours, finissant 3e la saison dernière en D1, est donc qualifiée pour cette nouvelle formule et fait ainsi son retour en élite française [9].
Arrivent à Tours, les canadiens Jean-François Gamelin, Julien Desrosiers, Sébastien Decaens, Alon Eizenman et Jean-François Jodoin. Frantisek Pulscak, Marcel Simak, Jan Supuka, Olivier Vandecandelaere ainsi que les tourangeaux François Gleize, Norbert Périnet et Paul Fayault sont conservés dans l'effectif. [10]
Bien que "promu", les diables ne font pas que de la figuration dans cette poule Nord : les courtes défaites face à Amiens (2-1) et Rouen (8-6) en attestent. Cette première partie de saison se joue lors des matchs face à Dijon, adversaire direct, qui s'impose par 2 fois par la marque de 2 à 1. L'ASGT finit 5e (manquant ainsi d'une place la qualification en poule magnus), à égalité de point avec... Dijon[11].
En poule de maintien (dite poule nationale), Tours prouve que sa place est bien au sein de l'élite : elle remporte cette poule sans concéder la moindre défaite, ni le moindre match nul.
Les diables finissent donc cette saison de retour en élite, par une neuvième place nationale et une coupe de champion de poule nationale.
[modifier] 2003-2004 : Participation aux play-offs
Comme lors des 2 précédentes saisons, la patinoire de Tours est déficiente. Seulement, cette fois-ci, la mairie lance un programme de réhabilitation... qui prive l'équipe de son arène d'avril à septembre. La préparation est donc adaptée : stage en Suisse, entrainements au Mans et matches amicaux à l'extérieur[12].
Comme les années précédentes, les départs et les arrivées sont nombreuses : Peter Bohunicky, Alon Eizenman, Thierry Noël et Paul Fayault partent, Radek Stepan, Vladimir Sabol, Jan Simko arrivent, Zdenek Novosad revient, mais certains joueurs clés restent, tels Julien Desrosiers et Sébastien Decaens en attaque ou Vladimir Hiadlovsky devant les buts[13].
Les diables, encore une fois, commencent difficilement la saison. Privés de leur patinoire, ils enchainent les défaites à l'extérieur, avant de se reprendre d'offrir à leur public une victoire 6 à 5 face à Angers[14] à domicile. La clé de la saison régulière se jouera au cours des matchs face à Rouen, adversaire direct à la qualification en play-offs : une défaite en Normandie en prolongation[15] et une victoire à domicile à l'arrachée (5-4)[16] permettront à Tours de finir à égalité de point avec les dragons rouennais mais devant au classement. L'ASGT accède ainsi aux playoffs, dès sa deuxième saison en élite.
En "poule magnus", poule de classement, les diables noirs finissent dernier avec seulement 3 victoires en 14 matchs[17]. Ils doivent donc affronter les Brûleurs de Loups de Grenoble, arrivés premier, en quart de finale. La différence de niveau est trop grande et Tours s’incline en 3 matchs secs.
Si la fin de saison semble indiquer que l'équipe est encore loin de rivaliser avec les meilleures, le club progresse, en participant aux play-offs et en atteignant la 8e place nationale.
[modifier] 2004-2005 : Une deuxième place qui coute cher
Remontée en élite, 9e place, 8e place... saison après saison, l'ASGT progresse dans la hiérachie française et vise cette année une nouvelle participation aux play-offs, dans ce championnat élite qui s'appelle désormais Ligue Magnus. Cette saison, contrairement aux précédentes, la préparation à pu se dérouler assez tôt, la patinoire étant disponible dès août, on peut espérer un meilleur début de saion que les années précédentes[18].
Par contre, le grand nombre de transferts est lui habituel. Si Julien Desrosiers et Sébastien Decaens partent, Alon Eizenman et Peter Bohunicky sont de retour. Frantisek Pulscak et Marcel Simak, Vladimir Hiadlovsky, Radek Stepan, Jan Simko, Benoît Paillet et François Gleize restent. Arrivent en Touraine un nouveau gardien, Ramon Sopko, ainsi que Robert Millar et Kent Gillings, canadiens venus de Villard, ainsi que le français Loïc Sadoun et les deux Québécois Jonathan Roy et Eric Perricone[19].
La saison débute en fanfare avec quatre victoires consécutives. Les diables noirs passent alors du statut d'outsider à celui d'équipe jouant aux avant-postes. Au mois d'octobre, les victoires faces aux 2 favoris, 3-2 face à Mulhouse[20] et 2-1 face à Rouen[21], place même l'équipe en tête du championnat. Finalement, l'équipe finira la saison régulière à la deuxième place, à égalité de point avec Rouen et Grenoble et juste devant Mulhouse[22].
En play-offs, l'ASGT débute en quart-de-finale face au grand rival, les Ducs d'Angers. Après 2 victoires à domicile (4-3 a.p. et 6-2), ils perdent à l'extérieur 3-2 aux tirs au but[23] avant de gagner la série au 4e match, 6 à 3[24].
En demi-finale, les diables noirs rencontrent les Brûleurs de Loups de Grenoble, qui les avaient éliminés de la série éliminatoire l'année précédente. A domicile, Tours remporte le premier match (4-1[25]) et perd de justesse le second (0-1). En Isère, le troisième match se solde également par une défaite (2-0[26] pour Grenoble). Au début du quatrième match, les noirs sont donc dos au mur. Menés 2-1 à moins de cinq minutes de la fin, ils seront sauvés par Anton Poznik qui égalise puis par Jonathan Roy qui marque le but décisif en prolongations[27]. De retour en Touraine, le cinquième match est remporté 5-2 par les locaux[28], ce qui les qualifient pour la finale.
La Finale se joue en match aller-retour (pour permettre la diffusion sur Sport+) et face aux Scorpions de Mulhouse, équipe impressionnante comptant même un joueur de LNH, Steven Reinprecht dans ses rangs. Les noirs, épuisés après leur série difficile contre Grenoble, ne feront pas le poids : une première défaite 6-2 en Alsace[29], suivi d'une deuxième 3-0[30] à domicile ne laisse pas de doute sur la supériorité Mulhousienne.
A la fin de la saison, le club finit second du championnat, résultat inespéré en début de saison[31]. Mais ce beau résultat sera vite terni à l'intersaison : en effet, on apprend en juin[32] que les clubs de Tours et Mulhouse ne sont pas validés en ligue Magnus pour la saison suivante, à cause d'un passif financier trop important et pour non respect des conditions budgétaires d'engagement de la saison écoulée. Suite à cette décision, le bureau du club démissionne et l'ASGT est rétrogradée dans la première division où une place est disponible, et atterrit en Division 2[33].
[modifier] 2005-2006 : Division II
[modifier] 2006-2007 : Division I
[modifier] 2007-2008 : Retour en élite
[modifier] Palmarès
[modifier] Titres collectifs
- Champion : 1976, 1977, 1987, 2007
- Champion : 1975, 2006
- Vice-champion : 1974, 1998
- Juniors Elite
- Vice-champion : 1977
- Cadets Excellence
- Champion : 2007 (en association avec le club d'Orléans)
[modifier] Trophées individuels
- Meilleur pointeur 1989-90 (Trophée Charles Ramsey) : Jean-François Sauvé (né le 23 janvier 1960, à Sainte-Geneviève, Canada), avec 43 buts et 62 assistances en 35 matchs (105 points).
- Meilleur gardien 1982-1983 (Trophée Jean Ferrand) : Charles Thillien (né le 12 novembre 1958, à Chaudron-en-Mauges, Maine-et-Loire).
- Meilleur entraîneur 2004-2005 : Robert Millette (né le 28 mars 1961, à Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada).
[modifier] Records d'équipe
- Invincibilité (hors Coupe de France) : 14 mois et 1 semaine (35 victoires et 2 nuls) entre le 17 septembre 2005 et le 25 novembre 2006 (Divison 2 et Division 1) ; 13 mois (31 victoires et 1 nul) entre le 13 septembre 1986 et le 10 octobre 1987 (Nationale 1B et Nationale 1A).
- Invincibilité à domicile (hors Coupe de France) : 18 mois et 3 semaines (23 victoires et 2 nuls) entre le 17 septembre 2005 et le 7 avril 2007 (D2 et D1).
- Plus grand nombre de victoires à domicile en une saison (play-off compris) : 16 en 20 matchs (Ligue Magnus, 2004-2005). Les autres résultats : 1 nul contre Clermont-Ferrand (saison régulière) et 3 défaites face à Briançon (saison régulière), Grenoble (demi-finale) et Mulhouse (finale).
- Plus grand nombre de buts marqués en une saison : 297 en 30 matchs (Nationale 1B, 1986-87), soit 9,9 buts par match.
- Plus petit nombre de buts marqués en une saison : 85 en 29 matchs (Ligue Magnus, 2003-2004), soit 2,93 buts par match.
- Plus petit nombre de buts concédés en une saison : 40 en 26 matchs (Division 2, 2005-06), soit 1,538 but par match.
- Plus grand nombre de buts concédés en une saison : 241 en 31 matchs (Nationale 1A, 1990-1991), soit 7,77 buts par match.
[modifier] Joueurs
[modifier] Joueurs célèbres d'hier et d'aujourd'hui
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[modifier] Les champions de France 1980
Cette section présente l'effectif de l'équipe de Tours qui remporte le championnat de France de 1980[43].
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[modifier] Effectif actuel
État actuel pour la saison 2008-2009[44].
Gardiens | ||||
n° | Nom | Age | Pays | Club précédent |
1 | Adam Russo | 21 ans | Hockey Club Bolzano | |
32 | Pierre Pochon | 25 ans | SHK Hodonín | |
Défenseurs | ||||
n° | Nom | Age | Pays | Club précédent |
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4 | Mathieu Wathier | 24 ans | Thunder de Wichita | |
7 | Michael Novosad | 24 ans | Saint-François de Sherbrooke | |
40 | Jozef Držík | 31 ans | Diables Noirs de Tours | |
44 | Radek Štěpán | 29 ans | Diables Noirs de Tours | |
55 | Mickaël Clarke | 28 ans | KooKoo Kouvola | |
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Attaquants | ||||
n° | Nom | Age | Pays | Club précédent |
11 | Mickaël Tessier | 23 ans | Ducs d'Angers | |
16 | Alexis Ouellette | 25 ans | Concordia Thunder | |
17 | Vincent Ouellette | 19 ans | Thunder du Delaware | |
19 | Andy Corran | 26 ans | Diables Noirs de Tours | |
20 | Steven Kaye | 25 ans | N'a pas joué | |
27 | Olivier Proulx | 26 ans | Jackalopes d'Odessa | |
37 | Dominic Noël | 26 ans | Diables Noirs de Tours | |
43 | Adrian Saul | 32 ans | HC Appiano | |
64 | Olivier Filion | 25 ans | Aces de l'Alaska | |
71 | Nicholas Romano | 24 ans | SG Pontebba | |
72 | Gaël Clerc | 24 ans | AC Boulogne-Billancourt | |
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[modifier] Supporters
Un seul club de supporters encouragent les Diables Noirs de Tours. Il s'agit du club des En'diablés.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Articles connexes
[modifier] Liens externes
- (fr) Site Officiel des Diables Noirs de Tours
- (fr) Site officiel des Mammouths (anciens joueurs de l'ASGT)
- (fr) Dossier thématique sur le site de la La Nouvelle République
- (fr) La saison du titre de champion de France 1980
[modifier] Notes et références
- ↑ Historique du club sur asgt.fr
- ↑ a b c Historique sur asgt.fr
- ↑ Saison 1977-1978 sur hockeyarchives
- ↑ Tours - Croix (29 avril 1978) sur hockeyarchives
- ↑ La saison 1978-79 sur hockeyarchives
- ↑ La saison 1979-80 sur hockeyarchives
- ↑ (fr) Marc Branchu, « Présentation de la division 1 française ». Consulté le 21 mai 2008
- ↑ (fr) « MILLETTE VEUT RALLUMER LA FLAMME » Acte 1 (saison 2001-2002). Mis en ligne le 16 mars 2006, consulté le 21 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours, le pari de Millette » sur Hockeyarchives. Mis en ligne le 24 juillet 2006, consulté le 21 mai 2008
- ↑ (fr) « MILLETTE VEUT RALLUMER LA FLAMME » Acte 2 (saison 2002-2003) sur Asgtours.fr. Mis en ligne le 23 mars 2008, consulté le 21 mai 2008
- ↑ Résultats du Super 16 2002-2003 sur hockeyarchives
- ↑ (fr) E. O'Grady, « ASGT : on efface - presque - tout et on recommence » sur Hockeyarchives. Consulté le 21 mai 2008
- ↑ (fr) « MILLETTE VEUT RALLUMER LA FLAMME » Acte 3 (saison 2003-2004) sur asgtours.fr. Mis en ligne le 30 mars 2006, consulté le 21 mai 2008
- ↑ 2003-10-04-Tours-Angers
- ↑ 2003-10-11-Rouen-Tours
- ↑ Compte-rendu du match de hockey sur glace Tours - Rouen (29 novembre 2003)
- ↑ Résultats de la saison sur hockeyarchives
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours persiste dans sa logique » sur hockeyarchives. Mis en ligne le septembre 2004, consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) « MILLETTE VEUT RALLUMER LA FLAMME » Acte 4 (saison 2004-2005) sur asgtours.fr. Mis en ligne le 6 avril 2006, consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours - Mulhouse (16 octobre 2004) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours - Rouen (26 octobre 2004) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Championnat de France 2004/05 : Ligue Magnus sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Damien B., « Angers - Tours (15 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Damien B., « Angers - Tours (16 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours - Grenoble (22 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Christophe Laparra, « Grenoble - Tours (25 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Christophe Laparra, « Grenoble - Tours (26 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours - Grenoble (29 mars 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Stéphane Rault, « Mulhouse - Tours (1er avril 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) E. O'Grady, « Tours - Mulhouse (4 avril 2005) » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Marc Branchu, « Bilan de la Ligue Magnus » sur hockeyarchives. Mis en ligne le [[|]] [[ |]], consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Nouvelles de Juin 2005 sur hockeyarchives. Mis en ligne le 25 juin 2006, consulté le 22 mai 2008
- ↑ (fr) Nouvelles de Juillet 2005 sur hockeyarchives. Mis en ligne le 25 juillet 2006, consulté le 22 mai 2008
- ↑ Saison 1981-82 sur HockeyDB
- ↑ Profil sur HockeyDraftCentral
- ↑ Profil sur LegendOfHockey
- ↑ Profil sur HockeyDraftCentral
- ↑ Saison 1981-82 sur HockeyDB
- ↑ Profil sur legend of hockey
- ↑ Profil sur HockeyDraftCentral
- ↑ Profil sur LegendOfHockey
- ↑ Profil sur LegendOfHockey
- ↑ (fr) Photographie et effectif de 1980 sur http://www.asgt.fr.
- ↑ Alignement 2008-2009 sur Asgtours.fr