Discussion Utilisateur:Asr
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Ryo 16 oct 2003 à 16:14 (CEST)
Bienvenue sur fr.wikipédia, Asr, bonne continuation ! Je connais bien ton site,il n' y a pas si longtemps quand j'avais du temps « pour m'envoyer en l'air », il m'a été très utile ! Merci. 62.39.210.15 16 oct 2003 à 19:29 (CEST)
Bonjour,
Merci pour avoir uploadé des Wikipédia:images, qui ne peuvent qu'enrichir notre encyclopédie.
Je profite de l'occasion pour t'informer, au cas où tu ne les connaîtrais pas déjà, des quelques règles existantes sur Wikipédia en matière d'upload d'images.
Tous les éditeurs se doivent de respecter certaines règles d'utilisation des images. L'objectif est essentiellement de fournir à notre utilisateur (lecteur) une information détaillée sur l'origine et le statut d'une image, afin qu'il sache s'il peut la réutiliser ou non. Elles peuvent également nous protéger en cas de désaccord avec le propriétaire d'un copyright.
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Les images ne respectant pas ces règles seront susceptibles d'être supprimées.
NB : Je ne suis pas à proprement parlé un vrai utilisateur (néanmoins je ne suis pas un automate :-)). Tu pourras trouver sur ma page des indications variées sur ce que tu peux faire pour aider Wikipédia.
Amicalement,
À propos de la Lorraine, rien n'a disparu. La page etant devenu trop grande, nous avons ete oblige de creer 4 sous pages. Aoineko 26 nov 2003 à 17:16 (CET)
Bonjour !
J'ai remis en forme la page Wikipédia:Prise de décision/Desysopage Anthere et séparé la problématique des discussion pour plus de clarté. Merci de revérifier l'intégralité des points et de revalider ton vote :0)
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Ashar Voultoiz 15 avr 2004 à 18:49 (CEST)
Sommaire |
[modifier] licence
Salut, connaitrais-tu la licence exacte de Image:Robert Amyot Cornemuse.jpg ? Merci d'avance Tipiac 12 aoû 2004 à 12:25 (CEST)
[modifier] Carnaval de Dunkerque
Salut, si tu connais le carnaval de Dunkerque tu peux m'aider à compléter l'article. Utilisateur : Antoinel
[modifier] Proposition Cornemuses
De renommée mondiale sous sa forme écossaise, la cornemuse appartient à une famille étonnamment diversifiée. Son aire de distribution géographique est constituée principalement par l’Europe dans son ensemble et par les pays voisins de la Méditerranée. La France est un des pays d’Europe les plus riches en différents types de cornemuses. On y dénombre seize variétés de cornemuse, tant populaires que savantes. Depuis l’époque médiévale, chaque étape de l’histoire ou presque, nous a légué une forme de l’instrument, sans pour autant faire disparaître les cornemuses antérieures, et l’ensemble nous offre la perspective de sept siècles d’évolution organologique, grâce au conservatoire vivant que constituent les musiques traditionnelles, ainsi qu’au savoir-faire des facteurs savants des XVIIe et XVIIIe siècles.
Si au XIIIe siècle, l’instrument, d’après le témoignage de l’iconographie médiévale, semble avoir déjà des formes différentes, un stéréotype paraît répandu dans la plupart des régions d’Europe et dans toutes les formes de musiques, populaires et savantes. La cornemuse va, par la suite, se diversifier, en milieu populaire, dans chacune de ces mêmes régions et notamment dans celles qui constituent maintenant la France, trouvant à chaque fois une forme nouvelle, et ce jusqu’à la période contemporaine.
La cornemuse va connaître également une profonde évolution entre le XVIe et le XVIIIe siècles, cette fois intégrée aux ensembles de musique savante et très prisée de la noblesse. Les facteurs, tel jean Hotteterre vont modifier considérablement les possibilités de l’instrument : tessiture augmentée, adjonction d’une cletterie évoluée, invention d’un système élaboré de bourdons, et possibilité de staccato. Cette forme savante de l’instrument, musette royale ou musette de cour, tombe en désuétude vers 1750, mais plusieurs formes populaires postérieures vont hériter d’une partie de ces évolutions organologiques et ce, au-delà des frontières nationales. La diversification se fait au sein de grands groupes d’instruments dont l’aire de répartition se limite peu à peu, pour arriver à la situation contemporaine. Les nombreuses cornemuses existantes, dans leur diversité, sont toutes conçues sur le même principe et comportent les mêmes organes essentiels.
[modifier] Principes généraux de fonctionnement
Les instruments « cornemuses » comportent toujours les mêmes éléments constitutifs : un réservoir d’air, sac souple, étanche et muni de tuyaux. Un de ces tuyaux, muni d’une soupape, sert à l’alimentation du réservoir. L’air est introduit par le musicien soit directement par la bouche, soit à l’aide d’un soufflet. Les autres tuyaux, eux-mêmes alimentés par le sac, servent à la production sonore. Les tuyaux sonores sont équipés d’anches simples ou doubles. Ils sont percés longitudinalement de trous cylindriques. Ces tuyaux émettent soit une note continue et ce sont alors des tuyaux bourdons qui réalisent l’accompagnement, soit une mélodie et ce sont alors des tuyaux mélodiques. Le nombre et la disposition sur le sac des tuyaux bourdons et tuyaux mélodiques sont variables, et de multiples combinaisons sont possibles.
Jean Blanchard Éric Montbel
[modifier] La cornemuse en Bourgogne
Les témoignages iconographiques et littéraires attestent de la présence de la cornemuse en Bourgogne : · à la cour des ducs de Bourgogne : « après que ceuls de l’Église eurent fait leur devoir, un bergier joua d’une musette moult nouvellement ». Chronique du banquet du faisan à la cour de Philippe le Bon, Mathieu d’Escouchy. · dans l’œuvre de Rabelais : » Pantagruel veut croire qu’elle (sa femme) sera villacticque et plaisante comme une belle cornemuse de Saulieu ». · dans le roman de George Sand « les maîtres sonneurs » : « Nous étions loin : nous avions poussé jusque dans les montagnes du Morvan, où il y a beaucoup de sonneurs encore plus jaloux que ceux d’ici, mais non pas tant pour leurs intérêts que pour leur amour propre ».
La cornemuse est partout présente dans l’art religieux et profane : · Dijon, église Saint Michel, porche principal, sculpture bois, adoration des bergers par le maître menuisier Hugues Sambin (1549). Petite cornemuse sans bourdon. · Nevers, musée national de la faïence, cruche XVIIIe, décor polychrome ; Hautbois et bourdon parallèles, bourdon d’épaule. · Auxerre, trésor de la cathédrale, enluminure XVe, l’annonce aux bergers. Bourdon d’épaule, souche de hautbois en forme de tête d’animaux. · Autun, cathédrale, tympan du vitrail de l’arbre de Jessé, concert d’anges musiciens (1515). Cornemuse avec bourdon d’épaule très court.
Pour en savoir plus : quelques références · Généralités, historique : par Jean Blanchard directeur du Centre des musiques traditionnelles en région Rhône Alpes blanchard@cmtra.org
· L’iconographie de la cornemuse en Bourgogne par Jean-Luc Matte : méthodes de recherche, collecte des informations etc… matte.jeanluc@wanadoo.fr
· L’iconographie par département : http://jeanluc.matte.free.fr 50 photos disponibles
· Le travail en archives départementales : inventaire des cornemuseux, anecdotes, informations par Maxou Heintzen Maxoubbn@aol.com
· La fabrication de cornemuses à partir de documents iconographiques. Exemple : la cornemuse d’après la danse macabre de la Ferté Loupière par Pierre Alain Cabrian pa.cabrian@worldline.fr
· Une cornemuse particulière en Bourgogne : la musette bressane par Sylvestre Ducaroy sylvestre.ducaroy@club-internet.fr
· La réalisation d’une copie de musette bressane par Bernard Jacquemin fabricant à Semur en Auxois Tel : 03/80/97/25/55
· La cornemuse en Nivernais-Morvan d’après le travail réalisé par la Pouèlée complété par le travail de Jean Bouquette musicien et collectionneur ayant joué avec les derniers cornemuseux de tradition du Morvan. Vincent Belin : vincent.belin4@wanadoo.fr
· Les lieux où l’on apprend la cornemuse : du bistrot au conservatoire, des associations aux écoles de musiques, en passant parle département musiques traditionnelles du conservatoire de Nevers UGMM@wanadoo.fr Vincent Belin : vincent.belin4@wanadoo.fr
· La cornemuse en scène : du médiéval au trad-rock avec l’ensemble Gilles Binchois de Dominique Velard et les Traîne-Bûches
· Les fabricants de cornemuse en Bourgogne : Bernard Jacquemin, Benoît Trémolière (Bazoche), Didier Fouchere, Arnaud Guenzi
· Les productions : C.D, publications UGMM@wanadoo.fr
[modifier] Image:Marlin.jpg
Bonjour, il manque une url pour la source de cette image. Par ailleurs les licences non commerciales comme CC-BY-NC-SA ne sont pas autorisées sur la Wikipédia francophone cette image ne peut dont pas en l'état rester. Si la page de l'auteur n'indique pas une licence libre, les republications doivent passées par le protocole expliqué par Aide:Republication. Merci. bayo 26 janvier 2007 à 21:48 (CET)
[modifier] Analyse automatique de vos créations (V1)
Bonjour.
Je suis Escalabot, un robot dressé par Escaladix. Je fais l'analyse quotidienne de tous les articles créés deux jours plus tôt afin de détecter les articles sans catégories, en impasse et/ou orphelins.
Les liens internes permettent de passer d'un article à l'autre. Un article en impasse est un article qui ne contient aucun lien interne et un article orphelin est un article vers lequel aucun article encyclopédique, donc hors portail, catégorie, etc., ne pointe. Pour plus de détails sur les liens internes, vous pouvez consulter cette page.
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Pour tout renseignement, n'hésitez pas à passer voir mon dresseur. De même, si vous constatez que mon analyse est erronée, merci de le lui indiquer.
Si vous ne souhaitez plus recevoir mes messages, vous pouvez en faire la demande ici, néanmoins, je vous conseille de laisser ce message tel quel et, dans ce cas, j'ajouterai simplement mes prochaines analyses, à la suite les unes des autres. Escalabot 31 mai 2007 à 06:27 (CEST)
[modifier] Analyse du 29 mai 2007
- Byte (magazine) était
- un article non catégorisé
[modifier] Analyse du 11 juin 2008
[modifier] De Mr Lamiot.
Heureux itou. A + --Lamiot 5 juin 2007 à 20:23 (CEST)
