Discuter:Altération
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Mes connaissances en musique sont seulement du niveau amateur mais il est écrit:
- "une rationalisation des modes existant a unifié les hauteurs autour de quatre échelles cycliques, appelées tonalité, et modes (un mode majeur et un mode mineur)".
Il me semble qu'il y a 12 tonalités et je ne vois pas bien ce que représentent ces 4 échelles. Quelqu'un peut-il m'expliquer?
HB 12 jul 2004 à 21:40 (CEST)
Apparemment le § incriminé vient d'un article en doublon, et - outre le fait que son contenu est partiellement hors sujet et mal écrit, il y a erreur manifeste sur ce décompte des tonalités. C'est aussi mon avis et je le partage. Ratigan 20 jul 2004 à 16:43 (CEST)
Aujourd'hui, je fusionne le contenu de cet article avec Altération (solfège), et je crée une page d'homonymie. Yves30 28 déc 2004 à 09:19 (CET)
[modifier] Contenu avant fusion et création de la page d'homonymie
En musique, une note est dite altérée lorsque le son est émis plus bas ou plus haut que la note normale (non altérée). Les altérations les plus communes consistent en un décalage d'un demi-ton vers l'aigu (dièse 
) ou le grave (bémol 
). Il existe aussi des doubles-dièses 
et des doubles-bémols 
(altération d'un ton). Une altération est permanente, à l'intérieur d'une pièce déterminée, lorsqu'elle est indiquée en début de partition, à la clef : voir armure. L'altération à la clef s'applique quelle que soit l'octave dans laquelle la note est rencontrée. Elle est « accidentelle », c'est-à-dire temporaire, lorsqu'elle apparaît au cours de la pièce : dans ce cas elle n'est valable qu'au cours de la mesure concernée. L'altération accidentelle s'applique à la seule octave de la note devant laquelle elle est placée. Enfin, le bécarre 
peut être considéré comme une altération dans la mesure où il annule leur effet : son effet est temporaire et sa portée est limitée à la mesure où il apparaît. Voir aussi
