Discuter:Émile Lahoud

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Sommaire

[modifier] Droit de réponse, précisions

Messieurs,
Votre site de recherches encyclopédiques en ligne vient de publier respectivement sous les rubriques : « Emile Lahoud » et « Imad Lahoud » des informations qui constituent pour le moindre des dérives inexcusables, à savoir au niveau tant de la déontologie d’information que celle de la vérification des données pouvant constituer référence.
A savoir :
- Son Excellence le président de la République libanaise le général Emile Lahoud n’est pas l’oncle de Imad Lahoud « trader financier impliqué dans la faillite du fonds d’investissement Volter Fund et dans l’affaire Clearstream 2… ».
- Le président de la République libanaise le général Emile Lahoud a bien un neveu, Imad est son prénom, mais qui n’est toutefois ni le gendre de François Heilbronner, ni informaticien de formation ou en fonction au Centre de recherches d’EADS, ni mis en examen dans l’enquête de déconfiture d’un fonds d’investissement, ni ayant été détenu en France pour quelque motif que ce soit.
-M. Imad Lahoud, neveu du président de la République le général Emile Lahoud, n’a pas vécu en France, pour y déployer une quelconque activité.
-L’homonymie suffit-elle à justifier votre dérive ? Il importe de savoir que le préjudice moral causé par vos articles à un chef d’Etat en fonction tout comme à son neveu est extrêmement important.
-Se faisant réserver tous les droits du Président de la République libanaise à la réparation de ce préjudice, le service de presse de la présidence de la République libanaise vous prie de publier ce démenti et cette rectification sur votre site, particulièrement dans tous vos articles ayant trait à ces informations.
Dans l’attente, veuillez croire, Messieurs, en l’assurance de nos sentiments les meilleurs.
Rafic CHLALA
Conseiller de presse
Près de la Présidence de la République.

Dont acte. ©éréales Kille® | | | en ce 28 avril 2006 à 14:46 (CEST)

[modifier] Origine de l'information

L'éditeur qui a fait ces ajouts de bonne foi s'est inspiré d'un article de Libération :

Il s'agissait d'une info sourcée de Libération (Renaud Lecadre) dans son dossier sur CLearstream 2.
« Imad est en effet le neveu du président libanais (prosyrien), Emile Lahoud. » in Deux ans d'enquête et toujours pas de corbeau - Libération - 21/04/2006 (par Karl Laske et Renaud Lecadre). (Référence)

Malgré les dénégations de la présidence libanaise, Imad Lahoud est toujours présenté comme un parent de Emile Lahoud dans le Point du 5 mai 2006 ! Labrede 8 mai 2006 à 04:48 (CEST)

Effectivement, il s'agit bien de deux familles Lahoud non apparentés, l'une de la montagne, l'autre de la côte, selon un portrait du Monde de Imad Lahoud, qui colporta lui-même cette fausse parenté. Labrede 4 juin 2006 à 03:53 (CEST)

[modifier] Pas de culture TF1 SVP

J'ai dû supprimer le "impopulaire" car seulement un tier de la population libanaise demande son départ. En effet, un autre tier est contre son départ et le dernier tier est indifférente (ils voudraient que si Lahoud part, qu'il soit remplacé par Michel Aoun). De plus, il y a en France beaucoup plus de personne qui demande le départ de Chirac.

[modifier] Demande d'ajout d'un utilisateur anonyme

Une IP vient de demander sur WP:DIPP de rajouter le texte que j'ai mis en commentaire dans l'article. Cependant, il faudrait des sources avant de le rendre visible, si quelqu'un en a pour confirmer ou infirmer cela. ~ Seb35 [^_^] 3 juin 2006 à 23:14 (CEST)

[modifier] "offensive" ou "réponse défensive" israélienne

L'expression "offensive israélienne de 2006" correspond au point de vue officiel libanais (celui du gouvernement Siniora comme du président Lahoud), selon lequel Israël avait prévu de longue date cette opération et a saisi un prétexte pour la lancer. L'expression "réponse défensive" correspond au point de vue israélien, selon lequel il s'agit d'une réaction à l'enlèvement de deux soldats par le Hezbollah.

Pour contourner la polémique, je propose que l'on en reste à "Opération militaire" sans entrer dans le débat sur ses mobiles, lequel n'a pas sa place ici.

Didier Marie