Utilisateur:Turb/Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis

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Société initiatique rosicrucienne fondée en 1915 par l'américain Harvey Spencer Lewis, l'Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis (Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix), autrement appelé AMORC, ou Ordre de la Rose-Croix AMORCModèle:Note2, revendique environ 250 000 membresModèle:Note2 dans le monde. Le siège mondial de l'Ordre est situé à Lachute, au Québec.

Il se définit lui-même comme un « mouvement philosophique, initatique et traditionnel mondial, non sectaire et non religieux, apolitique, ouvert aux hommes et aux femmes, sans distinction de sexe, race, religion ou rang social ». Sa devise est : « La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance. »

Sommaire

[modifier] Historique et idéologie

D'aprés la théorie de Harvey Spencer LewisModèle:Note2 et le recueil historique publié sur ce sujet par Christian RebisseModèle:Note2, l'Ordre de la Rose-Croix trouverait son origine en Égypte ancienne. Le Dr. Lewis considérait en effet qu'un seul et unique Ordre de la Rose-Croix avait existé à travers les âges, et que l'AMORC en était l'héritier (ce que la majorité des historiens de l'ésotérisme, tels Antoine FaivreModèle:Note2, récusent). Selon lui, il aurait été fondé par le pharaon Thoutmôsis III en regroupant les écoles de mystères existantes au sein d'une même entité. Toujours d'après cette théorie, le pharaon Amenophis IV (ou Akenaton, nom qu'il prit lorsqu'il fonda sa religion monothéiste) aurait poursuivi son œuvre. L'Ordre se serait ensuite étendu dans le monde antique grâce aux philosophes grecs qui allaient étudier dans les temples d'Égypte, comme Pythagore. Il se serait ensuite développé au sein des cercles d'alchimistes, puis à l'interieur de l'Ordre du Temple, avant de révéler son existence au public.

Toujours selon le Dr. Lewis, l'Ordre est régi par des cycles périodiques de 108 ans, où alternent périodes d'activité et de sommeil. Il aurait été actif sur le sol américain à l'époque de Thomas Jefferson, qui en aurait été membre, puis serait tombé en sommeil en application de la règle des 108 ans. Si l'on se réfère à ses mémoires, H. S. Lewis aurait reçu en 1909 une initiation rosicrucienne à Toulouse, France, pour procéder au « réveil » de l'Ordre de la Rose-Croix aux États-Unis, ce qu'il fit plus tard en fondant l'Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis (Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix). Le dernier cycle d'activité doit s'étendre jusqu'en 2017.

D'après plusieurs historiens, tels l'égyptologue Christiane Desroches Noblecourt, des écoles de Mystères ont existé, pour l'instruction des prètres ou des « divines épouses ». Selon Valérie Dupont, il est certain qu'elles se sont reconstituées au cours du régne d'Amosis I, sous l'impulsion d'Ahmes Nefertari qui fit rechercher les anciens rituels lors du relèvement de l'Égypte après l'invasion des Hyksos.

Toujours selon Valérie Dupont, à la même époque, des mystères plus anciens, ceux d'Heliopolis, auraient été récupérés dans le plus grand secret, et quelques années plus tard, Thouthmôsis III en aurait été le ré-unificateur. Dans son Histoire complète de l'Ordre de la Rose-Croix, Harvey Spencer Lewis rapporte que d'après la tradition orale des Rose-Croix, la grande école de Mystères de Thouthmôsis, qu'il nomme la « Grande Fraternité Blanche », donna naissance à l'Ordre qui plus tard utilisera le symbole de la Rose et de la Croix. Dans les archives anciennes rendues publiques au XVIIe siècle, notamment au travers des livres de Michaël Maier, il est déjà fait référence à l'origine triple de l'enseignement rosicrucien : les Mystères d'Égypte, la gnose Pythagoricienne, et la magie Chaldéenne. En ce sens les Rose-Croix ont bien perpétué l'héritage de l'hermétisme égyptien. Selon le site PrévensectesModèle:Note2, il a existé au sein de l'AMORC une rumeur selon laquelle Harvey Spencer Lewis était la réincarnation de Thouthmôsis III.

H.S. Lewis était Franc-Maçon au Rite égyptien de Memphis-Misraïm, et il s'intéressait de près à la Golden Dawn (ou Ordre Hermétique de l'Aube Dorée). Selon Robert Van Loo, il postula pour devenir membre de cet ordre, essuya un refus, et créa ensuite ce qui allait devenir l'AMORC en forgeant une filiation égyptienne imaginaire. Selon le même auteur, H.S. Lewis était très proche (malgré le déni de l'AMORC à ce sujetModèle:Note2) du mage Aleister Crowley, adepte de la Golden Dawn. Certaines techniques de la Golden Dawn se retrouvent aujourd'hui dans les enseignements de H.S. Lewis, ce qui se déduit par simple comparaison des ouvrages publiés par « Golden Dawn » avec les textes de l'AMORCModèle:Note2. Par ailleurs, Lewis était ami avec Nicolas Roerich, peintre et tibétologue réputé. Ce dernier initia Lewis à certaines « techniques » tibétaines, dont les enseignements rosicruciens contemporains portent la marque. De ce fait, l'AMORC est davantage la résultante de divers « agrégats ésotériques » qu'un courant unifié et de filiation « directe ».

Il se dit parfois que le véritable nom de l'AMORC, ou le nom hermétique, secret, traditionnel, authentique, est en fait : Antiquus Arcanus Ordo Rosæ Rubeæ et Aureæ Crucis (Ordre Ancien et Secret de la Rose Rouge et de la Croix d'Or). Or si Antiquus Arcanus Ordo Rosæ Rubeæ et Aureæ Crucis a bien été utilisé par Harvey Spencer Lewis, en concurrence avec Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis, pour désigner son Ordre, plusieurs autres sociétés ont également usé de noms contenant « rose rouge » et « croix d'or », ce qui entraîne facilement des confusionsModèle:Note2. On peut citer :

  • L'Ordo Rosæ Rubeæ et Aureæ Crucis, cercle intérieur rosicrucien de la Golden Dawn.
  • L'Antiquus Arcanæ Ordinis Rosæ Rubeæ Aureæ Crucis, dont Spencer Lewis aurait reçu son initiation à Toulouse.
  • L'Antique Arcanæ Ordinis Rosæ Rubeæ et Aureæ Crucis, d'Émile Dantine.
  • L'Antiquus Arcanus Ordo Rosæ Rubeæ et Aureæ Crucis, société autrichienne créée vers 1937 par Eduard Munninger, qui fut auparavant membre de l'AMORC.

[modifier] Fonctionnement

De nos jours, l'AMORC est divisé en juridictions de langue, chacune ayant un siège distinct. À titre d'exemple, le siège de la juridiction francophone se trouve en Normandie; celui de la juridiction américaine à San Jose, en Californie, etc. L'Ordre regroupe environ 250 000 membres dans le monde, dont approximativement 30 000 pour la juridiction francophoneModèle:Note2.

Les membres de l'AMORC étudient des « enseignements rosicruciens », disponibles sous forme de monographies, à leur domicile. Les monographies sont en fait les enseignements détaillées plus bas. Les monographies comportent en outre une page appelée « concordance » qui présente un extrait d'ouvrage disponible en bibliothèque en rapport avec l'étude du jour. La première version des monographies fut rédigée par H.S. Lewis, puis mise à jour régulièrement par les dirigeants qui lui ont succédé. On doit la première traduction française à Jeanne Guesdon, qui fut aussi Grand Maître de la juridiction française de l'AMORC après guerre. Par rapport à ces enseignements, il est demandé de toujours « demeurer un vivant point d'interrogation », ce qui signifie en d'autres termes que les enseignements sont proposés et non imposés aux membres.

À n'importe quel moment un membre peut décider de mettre fin à son affiliation, sans avoir à se justifier. Il lui est demandé de retourner tous les documents qu'il a pu recevoir à la Grande Loge afin qu'il soit procédé à leur destruction. Les monographies demeurent en effet la propriété de l'Ordre, et sont « prêtées » au membre pour la durée de son affiliation.

Les membres peuvent aussi fréquenter les Loges, Chapitres ou Pronaoï de l'Ordre. L'AMORC n'est pas la seule organisation contemporaine se réclamant de l'héritage des Rose-Croix, mais c'est de loin la plus importante en terme de nombre de membres revendiqués.

[modifier] Hiérarchie

Le titre le plus élevé est celui d'Imperator. En plus de l'Imperator, chaque Grande Loge est dirigée par un Grand Maître. Le premier Imperator fut Harvey Spencer Lewis de 1915 à 1939, puis son fils Ralph Maxwell Lewis prit sa suite. À la mort de ce dernier en 1987, l'Ordre traversa une période de graves troubles. Alors que R.M. Lewis n'avait pas désigné de successeur, son petit-neveu Gary L. Stewart devint ImperatorModèle:Note2. En 1990, il fut démis de ses fonctions par le Conseil Suprême, et poursuivi en justice pour malversations financières. Le Grand Maître de l'époque de la juridiction de langue française, Christian Bernard, se vit confier la charge d'Imperator et Serge Toussaint le remplaça au poste de Grand Maître. Gary L. Stewart a de son côté fondé un groupe dissident, la Confraternité de la Rose-Croix (CR+C)Modèle:Note2. Le SETI, groupe dissident français fondé à la même époque par des officiers exclus de l'AMORC, s'est par la suite allié au groupe de Stewart et a pris le nom de Cénacle de la Rose-CroixModèle:Note2 (mêmes initiales, CR+C).

[modifier] Siège

Le siège mondial de l'Ordre fut d'abord établi à New York (1915-1918) puis déplacé à San Francisco (1920-1925), Tampa (1925-1927) et San José (1927-1993). Le siège mondial de l'Ordre, qui était installé depuis de nombreuses années au Rosicrucian ParkModèle:Note2 créé par H.S. Lewis à San Jose, Californie a été déplacé à Lachute, Québec à proximité de Montréal par la nouvelle équipe dirigeanteModèle:Note2.

[modifier] Financement

L'AMORC finance ses activités de diverses manières. Il y a tout d'abord la cotisation annuelle versée par ses membresModèle:Note2, mais aussi la capitation versée par les organismes affiliés, les dons des membres en vertu de la « loi d'AMRA », et spécifiquement pour la France, les revenus de la Diffusion Rosicrucienne (librairie ésotérique liée à l'Ordre), ainsi que les revenus de l'Espace Saint Martin. L'Ordre publie également diverses revues et des livres à travers ses maisons d'édition (Diffusion Rosicrucienne en France et The Rosicrucian Supply Bureau aux États-Unis).

La Commission Parlementaire française a détaillé le patrimoine immobilier et financier de l'Ordre. Par l'intermédiaire d'une société commerciale, l'AMORC est propriétaire de l'espace Saint-Martin à ParisModèle:Note2 qui forme un complexe de 2 500 m2, composé de 10 salles sur trois niveaux, d’un auditorium de 400 places, d’une librairie et d’une galerie d’art. L'Ordre possède également le château d’OmonvilleModèle:Note2 dans l’Eure, classé aux monuments historiques. Le papier à en-tête de la l'Ordre reprend la façade du château. Le Cénacle de la Rose+Croix (CR+C) parle de "multinationale de l'ésotérisme" pour qualifier l'AMORCModèle:Note2.

[modifier] Contenu des enseignements

L'étude des neuf degrés est précédée d'une introduction générale constituée par la traversée de 3 salles symboliques : le « premier atrium », le « second atrium » et le « troisième atrium ». Cette introduction générale aborde les thèmes qui seront développés en profondeur dans les neuf degrés, et propose quelques expériences psychiques à pratiquer régulièrement, et destinées à procurer l'entraînement necessaire aux expériences plus difficiles abordées dans les hauts degrés.

  1. Le premier degré expose des lois fondamentales qui régisseraient le macrocosme et le microcosme. Il constitue une synthèse de ce que les mystiques du passé, en particulier les philosophes de la Grèce antique, ont enseigné au sujet des origines de l'univers, des vibrations de l'Éther et de la structure atomique de la matière. Cette synthèse inclut des données scientifiques récentes.
  2. Le deuxième degré traite de la conscience humaine, qui se veut l'équivalent de ce que les psychologues enseignent au sujet des facultés mentales. Les notions abordées le sont sous l'angle de la philosophie rosicrucienne de l'AMORC, qui leur ajoute les facultés telles que la concentration, la visualisation, l'intuition.
  3. Le troisième degré est consacré aux lois de la vie. Selon l'AMORC, ces lois, telles qu'elles se manifestent sur le plan terrestre, ont leur origine dans une seule et même énergie cosmique : la Force Vitale. Toujours selon eux, les règnes minéral, végétal, animal et humain forment une chaîne naturelle qui sert de support à l'évolution de l'Âme Universelle. Après avoir défini les critères communs à toutes les créatures vivantes, on en vient alors à une étude de la vie humaine. Dans ce degré sont donc expérimentées des techniques relatives à la Force Vitale, qui correspond au « magnétisme » utilisé par les guérisseurs.
  4. Le quatrième degré est entièrement fondé sur un manuscrit de l'AMORC, que celle-ci décrit comme « très ancien ». Tout en se référant constamment aux préceptes exprimés dans ce manuscrit, il constitue une synthèse des trois degrés précédents et traite de sujets philosophiques. Ce degré cherche à montrer que la matière, la conscience et la vie forment un tout cohérent et participent conjointement à l'« Évolution cosmique ».
  5. Le cinquième degré expose la vie et l'œuvre des plus grands philosophes de la Grèce antique, tels Thalès, Pythagore, Platon, etc., suivant la vision de l'AMORC. Son but est de familiariser l'« étudiant » rosicrucien avec les enseignements des sages de l'Antiquité grecque et, d'une manière générale, avec des préceptes philosophiques et scientifiques. Toutes les monographies de ce degré sont extraites des archives de l'Ordre et se réfèrent à des faits souvent inconnus des historiens.
  6. Le sixième degré est consacré à la thérapeutique rosicrucienne de l'AMORC et donne de nombreuses règles qu'il faudrait respecter pour se maintenir en bonne santé. Selon l'Ordre, ces principes, (sans vouloir se substituer à ce qu'ils appellent la « médecine officielle »), viennent des Esséniens. Les techniques transmises dans ce degré reposent sur l'utilisation de la « Force Vitale » et de sa circulation dans le corps physique, via le système nerveux sympathique (ou involontaire). Ils utilisent la respiration profonde.
  7. Le septième degré se rapporte à la conception qu'à l'AMORC du corps psychique de l'homme et aux fonctions qui lui sont propres, parmi lesquelles la projection psychique (le « voyage astral »). Ce degré comporte également une étude approfondie de la théorie de l'aura humaine et des centres psychiques,, qui pour l'AMORC correspondent pour la plupart aux chakras. Vient ensuite un examen de sons vocaux traditionnels (les « mantras ») et de l'influence physique, psychique et spirituelle qu'ils exerceraient sur l'homme. Dans ce degré, la technique de projection psychique est fondée sur les données hypothétiques suivantes : se relaxer en sentant les différentes parties du corps physique, éveiller psychiquement ces dernières en effectuant des « respirations profondes positives » (en retenant le souffle plusieurs secondes poumons à plein). Ensuite, il faut stimuler le centre psychique du thymus et enfin « se projeter hors de son corps ». Par ailleurs, la vision de l'aura serait expérimentée dans ce degré, en se plaçant devant un miroir et en entonnant certains sons pour la rendre plus visible. Les sons vocaux traditionnels utilisés au sein de l'Ordre, en tant qu'éléments d'un processus initiatique, doivent être tenus secrets par les membres. Selon CR+C (organisation séparée de l'AMORC), ces sons seraient « khei », « meh », « eh », « ehm », « tho », « ra », « om » entre autres. Les centres psychiques considérés comme importants par l'AMORC sont : les surrénales, le plexus solaire, le cœur, le thymus, la thyroïde, la glande pituitaire (ou hypophyse) et la glande pinéale (ou épiphyse). « khei » affecterait les surrénales, « meh » le plexus solaire, « eh » le coeur, « ehm » le thymus, « tho » la thyroïde, « ra » la pituitaire et « om » la pinéale.
  8. Le huitième degré traite essentiellement des origines de l'homme et de sa destinée, telle qu'elles sont vues par l'AMORC. On y étudie par conséquent des sujets qui concernent directement son évolution. Parmi ces sujets, citons entre autres : le concept de Dieu, l'Âme Universelle, l'âme humaine et ses attributs, l'avant-vie, le mystère de la naissance, l'application du libre arbitre, le karma et la manière de le maîtriser, le mystère de la mort, l'après-vie, la réincarnation, l'assistance aux mourants, le pouvoir de la prière, etc. Dans ce degré, des techniques seraient transmises comme la communication avec les défunts, l'assistance cosmique aux décédés, la méditation, etc.
  9. Le neuvième degré est consacré à l'étude d'un symbolisme dit « traditionnel » et des principes mystiques qui s'y rapportent. C'est également dans ce degré que les rosicruciens sont initiés à des facultés qui feraient appel à l'âme elle-même et qui permettraient à l'homme de tirer profit de sa « nature divine ». Ces facultés feraient appel à des lois spirituelles. Selon l'AMORC, outre leur intérêt pratique, elles contriburaient à l'éveil intérieur de chacun.

Dans ce degré sont transmises des techniques qui relèvent plus de la thaumaturgie que du mysticisme proprement dit, qui permettraient de :

  • rendre invisible les objets ou soi-même ;
  • matérialiser des substances chimiques ;
  • influencer autrui à distance par Assomption (c'est à dire en projetant sa conscience dans autrui) ;
  • télékinésie ;
  • la radhiestésie.
  • la communion cosmique avec l'égrégore de la Rose-Croix ;
  • les contacts avec la Hiérarchie ésotérique...

Le contenu des dixième, onzième et douzième degrés n'est pas rendu public par l'AMORC. Ces trois degrés dureraient environ 25 ans, leur contenu serait essentiellement philosophique. Selon le site prevensectes, la connaissance ultime de l'AMORC serait le mot « mathrem » (prononcé à l'anglaise), dont la « force vibratoire » permettrait toute réalisation.

Depuis quelques années il est joint à l'envoi des monographies françaises un catalogue de la Diffusion Rosicrucienne (la librairie ésotérique de l'AMORC). Cette structure a été créée pour apporter une seconde source de financement à l'organisation, car les cotisations des membres ne sont pas suffisantes pour assurer la totalité des frais de fonctionnement. Les membres peuvent demander à ne pas recevoir de catalogue.

[modifier] Publications

L'AMORC publie plusieurs revues : The Rosicrucian Forum, depuis 1927, qui est la revue officielle de l'AMORC réservée aux membres, "The Rosicrucian Digest", depuis 1927, et la "Revue Rose-Croix". Par le passé, elle a également publié "The American Rosae Crucis", de 1916 à 1918, à New York, "In The Triangle", de 1920 à 1925, à San Francisco, Californie et "The Mystic Triangle", de 1925 à 1927, à Tampa, FlorideModèle:Note2.

[modifier] Critiques

  • Bien que ne faisant pas partie du précédent rapport, l'AMORC est mentionné comme secte dans le rapport parlementaire français du 10 juin 1999Modèle:Note2. Ce revirement a été justifié par le fait que l'Ordre remplissait certains des critères définissant les sectes pour la commission et que l'Ordre a "acquis un poids économique et financier certain".
  • L'Ordre se voit aussi souvent reprocher de se présenter comme seul héritier moderne de la Tradition rosicrucienne.

[modifier] Bibliographie

  • Michaël Maier - Silentium post clamores, 1617.
  • Christiane Desroches Noblecourt - La femme au temps des pharaons, Éditions Stock, Paris, 1986.
  • Robert Bauval - Le mystère du grand sphinx, Éditions du rocher, 1999.
  • Walter Burkert - Les cultes à Mystères dans l'antiquité, Éditions Les Belles Lettres.
  • Valérie Dupont - Féminin actif, féminin solaire, Éditions Diffusion Rosicrucienne, 2002.
  • Harvey Spencer Lewis - Histoire complète de l'Ordre de la Rose Croix, Éditions Diffusion Rosicrucienne.
  • AMORC
    • Maîtrise de la Vie, brochure de présentation gratuite de l'Ordre.
    • Code de vie du Rose-Croix, Éditions Diffusion Rosicrucienne.
    • L'ordre de la Rose-Croix AMORC en questions, Éditions Diffusion Rosicrucienne.
  • Serge Toussaint - Faut-il brûler les Rose-Croix ?, Éditions Les Presses du Management (LPM), 2000.
  • Robert Van Loo - L'Utopie Rose-Croix, Du XVIIème siècle à nos jours, Dervy.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

Catégorie:Rose-Croix