Salaberry-de-Valleyfield
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| Salaberry-de-Valleyfield | ||||
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| Administration | ||||
| Pays Province |
 Canada Québec |
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| Région | Montérégie | |||
| Comté ou équivalent | Beauharnois-Salaberry | |||
| Statut municipal | Ville | |||
| Arrondissements | {{{arrond}}} | |||
| Fondateur Date de fondation |
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| Constitution | 24 avril 2002 | |||
| Maire Mandat en cours |
Denis Lapointe 2005 - 2009 |
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| [ Site officiel de Salaberry-de-Valleyfield] | ||||
| Démographie | ||||
| Population | 40 036 hab. (2006) | |||
| Densité | 397 hab./km2 | |||
| Gentilé | Campivallensien, ienne | |||
| Langue(s) officielle(s) | {{{lang}}} | |||
| Géographie | ||||
| Altitudes | minimale : {{{mini}}} m. maximale : {{{maxi}}} m. |
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| Superficie | 100,96 km2 | |||
| Fuseau horaire | UTC{{{fuse}}} | |||
| Indicatif | {{{tel}}} | |||
| Code géographique | 70052 | |||
| Latitude Longitude |
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| Localisation de Salaberry-de-Valleyfield | ||||
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| Lieux d’intérêts | ||||
| {{{intérêts}}} | ||||
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Salaberry-de-Valleyfield est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Beauharnois-Salaberry et dans la région administrative de la Montérégie.
La ville, telle qu'elle est aujourd'hui, est le résultat d'une annexion de la ville de Saint-Timothée et de la municipalité de Grande-Île lors de la séries de fusions municipales de 2002.
Sommaire |
[modifier] Origine du nom
Ce toponyme évoque tout d'abord le lieutenant-colonel Charles-Michel d’Irumberry de Salaberry (un Canadien de lignée patronymique basque), vainqueur contre les troupes de l'armée américaine dans la bataille de la Châteauguay, en 1813.
Le deuxième terme (Valleyfield : littéralement, champ de la vallée) est anglais et n'a aucun rapport avec ce personnage historique: il fut retenu par compromis, pour satisfaire les nombreux anglophones du lieu, lors du choix du toponyme (avant 1875), dont le propriétaire du Moulin à papier, Alexander Buntin, qui tenait à faire évoquer de semblables moulins situés en Écosse, les Valleyfield Mills (à Penicuik, Midlothian). Ce terme, Valleyfield, soulignera aussi le caractère champêtre du paysage. (Et le Moulin à papier deviendra, en 1875, Moulin à coton... et, aujourd'hui, grand Hôtel.)
[modifier] Gentilé
Ce mot Valleyfield, traduit en français en passant par le latin, déterminera à lui seul le gentilé: les citoyens de Salaberry-de-Valleyfield sont (officiellement depuis 1980) des campivallensiens, comme les nommaient déjà en 1913 l'historien futur chanoine, Lionel Groulx, et ses confrères éclésiastiques.
[modifier] Attraits
Belle grande plaine entourée d'eau, sur les bords d'un fleuve Saint-Laurent formant le Lac Saint-François et nourrissant les canaux, Salaberry-de-Valleyfield a accueilli les Jeux du Québec durant l'été 1974 et organise chaque année (depuis 1938) les Régates de Valleyfield, le plus grand événement motonautique en Amérique du Nord.
Du 9 au 11 mars 2007, Salaberry-de-Valleyfield a d'ailleurs aussi accueilli les Jeux du Québec spéciaux 2007 à l'École de la Baie Saint-Francois. Les compétitions de hockey intérieur ont eu lieu dans le gymnase de l'école, celles de patinage artistique et de patinage de vitesse, à l'aréna municipal. (Les épreuves de ski alpin ont eu lieu au mont Rigaud et ski de fond à la base de plein air Les Cèdres.)
La ville possède en son sein un joyau architectural en la basilique-cathédrale Sainte-Cécile de Salaberry-de-Valleyfield, située au cœur du centre-ville. Avec une vue sur l'ancien canal, la ville offre désormais un attrait touristique prisée des vacanciers, soit la visite de nombreux voiliers, venant mouiller l'ancre dans la baie, devant les centaines de badauds.
[modifier] Économie
Sur le plan économique, l'agriculture et les industries occupent les premiers plans. D'ailleurs, près de la moitié des habitants travaillent dans 2 % des entreprises. La plus grande de ces dernières est l'usine CEZinc, filiale de la compagnie multinationale minère Xstrata depuis 2006.
[modifier] Éducation
Puisque Salaberry-de-Valleyfield a près de 40 000 habitants, on y retrouve plusieurs institutions sur son territoire. La ville compte 12 écoles primaires, deux écoles secondaires (École secondaire Edgar-Hébert et École secondaire Baie Saint-François), un cégep le (cégep de Valleyfield), un Centre de formation pour adultes, deux Centres de formation professionnelle, ainsi qu'une école primaire anglophone.
[modifier] Évêché
[modifier] Municipalités limitrophes
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Coteau-du-Lac | Les Cèdres | Pointe-des-Cascades | |
| Lac Saint-François | N | Beauharnois | ||
| O Salaberry-de-Valleyfield E | ||||
| S | ||||
| Saint-Stanislas-de-Kostka | Saint-Louis-de-Gonzague | Saint-Étienne-de-Beauharnois | ||
| Enclave: |
[modifier] Personnages célèbres
- Armand Frappier (1904-1991), médecin, microbiologiste, directeur-fondateur de notamment l'Institut de microbiologie et d'hygiène de Montréal (1938-1974), né à Salaberry-de-Valleyfield, qu'il affectionnait et où il a toujours conservé une résidence, sur le lac Saint-François, à la Pointe Frappier. Cette ville, comme d'autres, lui a dédié une rue éponyme, à titre posthume, ainsi que sa principale Bibliothèque publique.
- Jean Ouimet, politicien et président de Naviga-Cité.
[modifier] Sources
- Répertoire des municipalités du Québec
- Commission de toponymie du Québec
- Affaires municipales et régions - cartes régionales
- Dr Armand Frappier, Un rêve, une lutte : Autobiographie, Presses de l'Université du Québec, QR31.F7A31992, ISBN 2-7605-0703-3
saint-stanislas-de-kostka est reliée par le pont laroque alors a saint-stanislas-de-kostka ont est un peu a valleyfield
[modifier] Liens externes
- Site officiel Salaberry-de-Valleyfield
- Les Régates de Valleyfield
- Le Circuit du Paysan
- Club de judo de Valleyfield
- Irunberri
