Pléneuf-Val-André

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Vue panoramique sur la plage et le port de Piégu
Vue panoramique sur la plage et le port de Piégu
Pléneuf Val-André
Carte de localisation de Pléneuf Val-André
Pays France France
Région Région Bretagne Bretagne
Département Côtes-d'Armor Côtes-d'Armor
Arrondissement Arrondissement de Saint-Brieuc
Canton Canton de Pléneuf-Val-André
Code Insee 22186
Code postal 22370
Maire
Mandat en cours
Bernard Rampillon
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes de la Côte de Penthièvre
Latitude
Longitude
48° 35′ 30″ Nord
         2° 32′ 49″ Ouest
/ 48.5916666667, -2.54694444444
Altitude 0 m (mini) – 117 m (maxi)
Superficie 17,07 km²
Population sans
doubles comptes
3 680 hab.
(1999)
Densité 215 hab./km²


Pléneuf-Val-André est une commune française, située dans le département des Côtes-d'Armor et la région Bretagne.

Elle est connue comme station balnéaire familiale, située sur la côte est de la baie de Saint-Brieuc, dite Côte d'Émeraude. Sa population monte à plus 16 000 habitants durant l'été.

Elle se trouve à 25 km à l'est de Saint-Brieuc et à 13 km au nord de Lamballe.

Sommaire

[modifier] Le Val-André

La Chapelle Notre-Dame
La Chapelle Notre-Dame

Le Val-André est la station balnéaire[1] proprement dite créée à la fin du XIXe siècle par la construction progressive de villas au long d'une plage de 2,5 km ; la rue principale d'égale longueur s'étendant à une cinquantaine de mètres en arrière de la digue-promenade[2] et accueillant dans sa partie médiane de nombreux commerces, un casino[3] et une salle de cinéma, une grande chapelle (Chapelle Notre-Dame créée par les religieuses de Saint-Quay en 1890), de nombreux terrains de tennis dans le parc de l'Amirauté (2 ha), etc.

Selon Jules Herbert, la zone littorale était en 1860 dépourvue de la moindre habitation. L'Amiral Charner venait d'acheter un premier terrain en 1853, mais c'est à Charles Cotard qu'est attribué la création du Val-André par l'achat dans ce but le 16 mai 1880 d'une grande partie des dunes et terrains humides en bordure de mer. Une première voie parallèle est ouverte dans les dunes. La construction des villas a été longtemps encouragée par des prix très raisonnables ; trois francs le m² en 1896 !

Cette première opération était limitée au sud, les terrains acquis s'arrêtant au niveau de la rue des Mouettes actuelle. Le développement d'une deuxième tranche prit le relai de l'initiative de Charles Cotard en la prolongeant harmonieusement jusqu'aux terrains plus accidentés au niveau des Murs Blancs. La construction en 1894-1895 du Grand Hôtel, portant bien son nom, est l'élément notable de cette seconde phase.

Une station balnéaire familiale
Une station balnéaire familiale

Loisirs principaux

  • Un premier casino avait été créé en 1883 dans une annexe de l'Hôtel de la Plage (Hôtel du Casino). C'est le 22 avril 1934 qu'ouvre la Rotonde, le nouveau casino, donnant sur la digue-promenade et proposant en plus des salles de jeux, une piste de danse et un restaurant-bar. Son bâtiment est imbriqué avec celui d'une salle de cinéma.
  • Tennis - Le tennis a joué un rôle pendant plusieurs décennies dans l'attractivité de la station. Dans la première moitié du XXe siècle, plusieurs terrains existaient dans la partie nord, en contrebas de la rue Charles de Ganne, fréquentés par la bourgeoise locale. Lentement éliminés par la pression immobilière, les terrains aménagés progressivement dans les terrains de l'Amirauté prirent le relai pour satisfaire le public devenu nombreux après la démocratisation de ce sport dans les années 1960. Avec cette tradition et ces possibilités pratiques, le Val-André a régulièrement accueilli et accueille toujours des tournois officiels.
  • Activités nautiques. Les ports et les plages permettent toutes les activités nautiques de bord de mer, souvent sous la surveillance de sapeurs-pompiers présents dans trois postes de secours. Un centre nautique assure les formations nécessaires et fournit du matériel en location (catamarans, kayaks, planches à voile).

[modifier] Géographie

La réserve ornithologique du Verdelet.
La réserve ornithologique du Verdelet.
Vue vers les grèves...
Vue vers les grèves...

Le territoire de Pléneuf est très diversifié :

  • sa façade maritime comporte deux ports de plaisance (Dahouët et le port de Piégu), plusieurs plages (grande plage du Val-André ou Grève de Saint Symphorien [4]) et la côte rocheuse comprenant :
    • à l'ouest, la pointe de la Guette, côte rocheuse abritant le port de Dahouët et deux petites plages ;
    • au nord, le Verdelet, îlot d'un hectare 80 ares [5], « caillou tombé de la chaussure de Gargantua » dit la légende, plus concrètement îlot accessible à la basse-mer des marées importantes, pêche-à-pied possible dans les rochers à la base du rocher principal qui est une réserve ornithologique d'oiseaux Réserve ornithologique Edmond Tranin, interdit d'accès de septembre à mars ;
    • la pointe de Pléneuf dont la falaise de Château-Tanguy culminant à 72 m. et que prolonge le Verdelet ;
    • les falaises de la Ville Pichard, le sentier des douaniers formant la Promenade du Levant et joignant la pointe de Pléneuf à la plage des Vallées [6] ;
    • une vaste plage s'étendant jusqu'à Erquy et se décomposant en plusieurs grèves : la grève de Nantois appelée plage des Vallées dans sa partie orientale et la plus habituellement fréquentée (poste de secours), la grève de Nantois au sens restreint et sur laquelle on aperçoit parfois les chevaux du club hippique voisin, la grève de la Ville Berneuf ; sur les hauteurs un golf de dix-huit trous jouit d'un beau point de vue [7] ;
  • l'arrière-pays de terres agricoles au milieu desquelles se tient le bourg de Pléneuf ;
    • le chemin de Vauclair relie le centre du bourg à la grève de Nantois ou plage des Vallées ;
    • à l'ouest, vallon du ruisseau de la Flora qui se jette à la mer en sortant du moulin à marée du port de Dahouët.
Feu de la passe du Dahouët
Feu de la passe du Dahouët

En 1970 - la commune comporte 1 001 ha de terres agricoles avec 70 exploitations (inférieures à 50 ha) ; il en existait 116 en 1955 ;

En 1975, on recensait 1 512 résidences principales et 1 553 résidences secondaires.

[modifier] Préhistoire

À la plage des Vallées, vers 1925, ont été découverts dans des coulées de solifluxion des restes de la faune du Quaternaire, notamment de mammouths, ainsi que des éclats de silex [8].

Des fouilles préventives[9] ont été menées en 1987 sur un site habité au paléolithique à proximité du port de Piégu, suite au suivi archéologique et géologique effectué dans le cadre de grands travaux de défense contre la mer et avant que la falaise ne soit consolidée vers 2005. Ce site en bas de falaise, en bord de voie (quai Célestin Bouglé) et inséré entre deux habitations, n'est que le reste d'un vaste gisement dont des traces ont été retrouvées sur l'estran. Le terrain se présentait comme un ensemble complexe de strates, avec un fort pendage ; le sol d'occupation par l'homme a été trouvé à deux mètres en dessous du niveau du quai. Le gisement consiste en une série de formations d'origine périglaciaire (trois ou quatre cycles), mêlées à des dépôts littoraux et dunaire (sable calcaire) [10].

L'outil le plus ancien, un petit biface de type acheuléen, atteste que la présence humaine remonte à plus de 200 000 ans. Cette présence a été identifiée en deux endroits : l'un en bas par la présence d'un outillage abondant en silex taillé ; le second près du sommet et où n'ont été trouvés que quelques silex médiocres parmi un grand nombre d'ossements animaux, aucun élément humain n'ayant été trouvé contrairement à ce qui avait été annoncé dans la presse [11]. .

[modifier] Histoire

  • 1783 - Travaux de déroctage dans l'entrée du port de Dahouët ;
  • 1844 - Ouverture du bureau des postes ; un télégraphe Chappe a aussi fonctionné au Cap Tanguy (face au Verdelet) ;
  • 1869 - Premières régates de Pléneuf le 22 août (autres régates à Dahouët) ;
  • 1882 - Création du Val-André par l'ingénieur Charles Cotard, collaborateur de Ferdinand de Lesseps ;
  • 1884 - Construction de la vaste pension de famille, dite la Communauté, à l'initiative de la congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et Marie qui avait acquis les terrains l'année précédente ; ce bâtiment imposant et parfaitement situé (point de vue et animation) doit laisser place à un centre de thalassothérapie à partir de 2009.
  • 1889 - Pose de la première pierre de l'église le 9 mai (inauguration le 9 août 1891 par Mgr Fallières) ;
  • 1896 - Pose de la première pierre de la chapelle (près de la Communauté) le 21 décembre (consacrée le 11 avril 1899 par Mgr Morelle) ;
L'église de Pléneuf
L'église de Pléneuf
  • Première Guerre mondiale : 114 Pléneuviens meurent au champ d'honneur ;
  • 1922 - Du 11 juillet 1922 au 31 décembre 1948, une ligne de chemin de fer dessert Pléneuf ;
  • 1931 - Construction du môle de Piégu (achevé en 1933) ;
  • 1954 - Le terrain et le manoir de l'Amiral Charner sont acquis par la commune (Parc de l'Amirauté actuel).
  • 1960 - Inauguration le 21 août de la nouvelle mairie établie dans un petit château de style néogothique construit en 1884 non loin du centre de la commune, avec l'excès de matériaux destinés à l'église et du granit de l'Ile grande ;
  • Salle polyvalente du Guémadeuc
  • 1974 - Création de la salle omnisport du Complexe sportif du Pont-Gagnoux (6,5 ha) à proximité du bourg ;
  • 1978 - Création de la station d'épuration ;
  • 1980 - Ouverture de la piscine couverte Piscine du Mont Colleux à côté du camping municipal et à 300 mètres de la plage ;
  • Printemps 2010 - ouverture prévue d'un centre de thalassothérapie.

[modifier] Histoire du Verdelet

Au Moyen Âge, le Verdelet était un lieu de culte, une ecclesia de la compétence des évêques de Saint-Brieuc [12], puis il y fut édifié un établissement monastique : une église dédiée à Saint-Michel, comme l'îlot du même nom à Erquy ; les deux par proximité du Mont-Saint-Michel. Selon deux chartes du XXIIe (1132) et XXIIIe siècle (1216), son nom était Saint-Michel de la Roche-Tanguy : encore en 1284, un clerc de la Roche-Tanguy est nommé par l'évêque, recteur de la paroisse Saint-Martin de Lamballe, le Verdelet dépendant du prieuré de cette paroisse [13].

L'« église » probablement fort modeste, est en ruines au moins au XVIe siècle : un aveu de 1585 évoque une « chapelle à présent en ruine et caducité » : les restes de construction visibles au sommet en sont probablement les ultimes vestiges. Pourtant, une carte marine de 1693 indique un bâtiment sur l'îlot nommé Saint-Michel du Verdelet [14].

Les moines ont déserté les lieux depuis longtemps quand selon un document de 1369, le Verdelet dépend féodalement de la seigneurie de Lamballe, probablement par Olivier du Vauclerc, capitaine du château de Lamballe. Celui-ci aurait édifié des éléments de forteresse sur l'îlot et en face à Château-Tanguy comme vassal de Jeanne de Penthièvre [15]. Bien plus tard, durant les guerres de la Ligue, trente soldats gardent les lieux, selon un document de 1595.

Par la suite, le Verdelet est intégré aux communs féodaux de la seigneurie du Guémadeuc : des droits y sont exercés et font l'objet de diverses mentions dans des documents fiscaux, tel en 1538 la garenne et pescherie de l'isle et rochier du Verdelay (Réformation générale du Penthièvre) [16] ; un aveu de 1585 fait état d'un droit de havage perçu par le seigneur sur les poissons pêchés aux environs de l'îlot.

La seigneurie du Guémadeuc appartint ensuite à la famille Richelieu, puis en décembre 1679, pour cent mille livres, l'îlot devient comme toute la seigneurie du Guémadeuc la propriété de François Berthelot, commissaire général des poudres et salpêtres de France, demeurant à Paris : celui-ci donna dix ans plus tard la seigneurie comme cadeau de mariage à son fils aîné. En 1722, un aveu de sa belle-fille (Agnès Rioult d'Ouilly) fait état d'un droit sur les moules enlevées du rocher : une havée à deux mains. Tous les droits ont été supprimés par un jugement du 18 février 1741 des Commissaires établis pour la vérification des droits maritimes, faute de production des actes réclamés selon un arrêt du Conseil d'état [17].

À la Révolution, le Verdelet devient terrain communal de la récente commune de Pléneuf, dans la logique de la loi du 28 août 1792. Ses coquillages étaient une ressource alimentaire pour un grand nombre de pauvres, venant de loin. On sait que des moutons y étaient mis à paturer par des mentions d'accidents : trente se jetent dans le vide en 1834 ; 109 se noient en voulant forcer le passage à marée montante en 1849 (le récit en est fait dans le « Petit guide du Baigneur »). [18].

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1959-2001 Guillaume Guedo
2001-2008 Bernard Rampillon
2008- Jean-Yves Lebas
Toutes les données ne sont pas encore connues.


[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[19])
1962 1968 1975 1982 1990 1999
3 522 3 651 3 654 3 591 3 600 3 680
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

  • Le port de Dahouët a beaucoup contribué à prospérité de Pléneuf ; il participe actuellement avec son patrimoine, ses quelques commerces et ses capacités portuaires à l'attrait touristique de la commune.
  • La Motte Meurdel : au milieu des habitations du bourg, elle est constituée d'une alternance de couches d'argile et vase marine, son origine demeure obscure. Elle a la forme d'une élipse, haute au maximum de 8,70 mètres pour 41 de large.
  • Le moulin du Tertre Oro : moulin à vent maintenant sans ses ailes, visible de loin dans la partie sud de la commune.
  • Le viaduc du Préto, détruit en 1968.
La pointe de la Guette à l'entrée de Dahouët.
La pointe de la Guette à l'entrée de Dahouët.

[modifier] Personnalités liées à la commune

  • Léopold Victor Charner - Amiral de France, il fait construire en 1857, un manoir avec chapelle et corps de garde sur des terrains alors proches de dunes mais qui seront par la suite au cœur du Val-André. Une des principales rues porte son nom et son patrimoine est devenu par achat en 1954, le parc de l'Amirauté.
  • Le poète Jean Richepin y a fait constuire la villa La Carrière et y est enterré. Le collège public de Pléneuf porte son nom.
  • Frédéric Henri Le Normand de Lourmel, général de brigade, tombé devant Sébastopol le 5 novembre 1854, il est inhumé le 20 décembre suivant dans le cimetière de Pléneuf.
  • Joseph Édouard de la Motte Rouge, général, né en 1804 dans la maison Bellevue situé dans le bourg.

[modifier] Animations

  • Rencontres internationales de cinéma d'animation : quatrième édition du 16 au 19 février 2006.
  • Tour de France du Val-André : sixième édition le 17 août 2008.
  • Des concerts gratuits de jazz ont lieu tous les étés.

[modifier] Bibliographie

  • André Guigot, Pléneuf-Val-André depuis la nuit des temps, Tome 1. - De la préhistoire à 1789, Breizh-Compo, Saint Brieuc 1985
  • André Guigot, Pléneuf-Val-André depuis la nuit des temps, Tome 2. - De 1789 à 1940, Breizh-Compo, Saint Brieuc 1986
  • Fornier, Enceintes gauloises de la Ville-Pichard en Pléneuf, dans Bulletin de la Société d'émulation des Côtes-du-Nord, 1887, p. 250-260 (lithographie en fin de volume).
  • J. Trévédy, Les derniers seigneurs de Guémadeuc, dans Bulletin de la Société d'émulation des Côtes-du-Nord, 1888, p. 165-209.
  • Michel Grimaud, Pléneuf, Val-André, Dahouët, au temps du train renard, des goélettes et des processions, préface de Patrick de Gmeline, Imprimerie briochine, 1982, (grand nombre de reproduction de cartes postales).
  • Jules Herbert, Pages d'histoire locale : études et souvenirs : Dahouët, Val-André, Pléneuf, Lamballe, préface de Célestin Bouglé, Imprimerie moderne, 1902.
  • Jean-Yves Durand, Toponymie de la commune de Pléneuf, Annales de Bretagne, n° 67, 4, 1960, p. 401-409.
  • Jean-Pierre Le Gal La Salle, Regards historiques sur le Verdelet, dans Bulletin de la Société d'émulation des Côtes-d'Armor, 1995, Tome CXXIII, p. 138-160.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes et références

  1. Fiche d'inventaire préliminaire
  2. Fiche d'inventaire préliminaire
  3. Fiche d'inventaire préliminaire
  4. 2 km de long, saint Symphorien y aurait débarqué selon la légende.
  5. Cadastre de 1841 selon « Regards historiques sur le Verdelet », p. 157.
  6. Les vestiges de trois enceintes gauloises (cairn) ont été identifiés dans le secteur de la Ville Pichard (ce nom vient de pêcheurs).
  7. Au niveau de la Ville Berneuf, une avancée rocheuse permet un minimum de discrétion pour la pratique du naturisme, seul secteur traditionnellement affecté à ce loisir sur la côte nord.
  8. Chronique de préhistoire et de protohistoire des Côtes-du-Nord, 1967, dans le Bulletin de la société d'émulation des Côtes-du-Nord, 1968, p. 105 : cet article cite deux revues de géologie en référence.
  9. Construction d'un bâtiment pour le centre nautique.
  10. Bernard Hallegouet, Jean-Laurent Monnier, Jean Gagnepain, Le site paléolithique moyen de Piégu en Pléneuf-Val-André - Premiers résultats des fouilles, dans le bulletin de la Société d'Émulation des Côtes-d'Armor, 1993, p. 3-17.
  11. Le site paléolithique moyen de Piégu en Pléneuf-Val-André - Premiers résultats des fouilles, dans le bulletin de la Société d'Émulation des Côtes-d'Armor, 1993, p. 11.
  12. Déduction de Jean-Pierre Legal Lasalle, dans Regards historiques sur le Verdelet qui imagine également que les moines desservant ce lieu résidaient au lieu-dit voisin, la Moinerie, mentionné sur le cadastre de 1785.
  13. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 139.
  14. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 140. L'auteur a dressé un plan de ces vestiges, où il fait état d'une carrière et d'un petit port d'échouage au bas de la face ouest du rocher.
  15. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 142.
  16. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 145.
  17. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 148-149.
  18. « Regards historiques sur le Verdelet », p. 148-149.
  19. Pléneuf-Val-André sur le site de l'Insee

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

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[modifier] Sites officiels

[modifier] Liens en rapport avec Pléneuf-Val-André