Paul Landowski

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Paul-Maximilien Landowski, sculpteur français, naît à Paris en 1875 et meurt à Boulogne-Billancourt en 1961 des suites d'une crise cardiaque.

Il épousa Geneviève Nénot (1897-1911), fille d’Henri-Paul Nénot en première noce dont il eu deux enfants, le peintre Nadine Landowski (1908-1943) et Jean Max Landowski (1911-1943) mort pour la France. Veuf inconsolable il épouse Amélie Cruppi, fille de l'homme politique Jean Cruppi. Il est aussi le père de Marcel Landowski (1915-1999) et de la pianiste et artiste peintre Françoise Landowski-Caillet (1917-2007). Il est aussi le petit-fils, par sa mère, du célèbre violoniste et compositeur Henri Vieuxtemps[1].

Élève de Barrias, il est lauréat du Prix de Rome en 1900 avec son David combattant[1].

Il reçut la croix de guerre dans la Somme lors de la Première Guerre mondiale[1].

Il devient directeur de l'Académie de France à Rome, de 1933 à 1937.

À sa mort, il laisse également deux oeuvres littéraires, l'une publiée de son vivant - Peut-on enseigner les Beaux-Arts (La Baudinière, 1948) - et l'autre qui ne le sera, partiellement, qu'après sa mort, son Journal, témoignage personnel et fascinant sur le métier de sculpteur de l'avant Première Guerre Mondiale à la fin de sa vie.

Il a été nommé commandeur de la Légion d'honneur[1].

Sommaire

[modifier] Œuvres

sculpture tombale dans le cimetière de Nordfriedhof à Düsseldorf
sculpture tombale dans le cimetière de Nordfriedhof à Düsseldorf

[modifier] Collège

Collège Paul-Landowski, situé 94 rue Escudier à Boulogne-Billancourt

[modifier] Musée

[modifier] Notes et références

  1. abcd Paul Landowski, le statuaire de Douglas Haig dans, La violette, publication des compagnons de la violette, (ISSN 1287-7670), n°11, 1er semestre 2007, pages 28 à 31
  2. Vue satellite des Fantômes sur Google Map

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

[modifier] Sources

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