Discuter:Mitochondrie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] Titre: Mitochondrie ou Mitochondries?

Salut! Merci pour ton article. Je te signale tout de même que l'usage (plus ou moins) établi ici est de mettre les titres au singulier, sauf s'il y a une justification particulière pour le pluriel. Dans le cas des mitochondries, il me semble que le singulier serait préférable. Qu'en pensent les autres? Curry 23:34 nov 19, 2002 (CET)

Bonsoir pas de pb, j'ai juste cliqué sur le lien rouge ;) maintenant je ne sais po comment faire pour la modif... sinon on peut ajouter qu'il y a pas mal de mitochondries dans une cellule :) Kyrilus 23:34 nov 19, 2002 (CET)

Voilà, c'est fait. C'est assez simple: il suffit de cliquer sur le lien "déplacer la page" situé à gauche, ensuite tu tapes le nouveau nom de l'article. L'ancien article devient une redirection vers le nouveau. Curry

Euh, je me demandais s'il ne valait mieux pas que je traduise les versions existantes dans les autres langues, plutôt que de continuer ma prose... Kyrilus 20:05 nov 24, 2002 (CET)

bonjour Kyrilus. Tu peux continuer ta prose en l'enrichissant du contenu des autres langues :-) anthere
a mon avis, traduire les autres pages n'est pas forcement une bonne idée. Reecrire la page permet d'avoir plusieurs angles de vue, qui peuvent aider a la comprehension Fenkys 13 nov 2003 à 17:37 (CET)
okidoki Kyrilus

[modifier] Crédits pour "histoire"

La section "histoire" au 24/11/2004 était signée ainsi:

Écrit par: Karan Mandavia--24.202.123.96 19 nov 2004 à 18:57 (CET)
Problème? karnamandavia@hotmail.com

(signature enlevée).

Il faudrait fusionner cette partie plus "soyeusement" (smoothly ;-) avec le reste de l'article.

FvdP (d) 24 nov 2004 à 01:02 (CET)

[modifier] modifs le 20/01/2005

Je me suis permis de faire quelques modifications concernant cet article (ajout de J.E.Walker dans les nobelisés, Correction mineurs au niveau de la localisation de la fermentation (dans le cytosol et non dans la mito comme suggéré par le texte). Cordialement. Oswald-P

[modifier] erreur

Les recherches scientifiques ont débuté il y a 150 ans. En 1857, Kölliker décrit les aspects de la mitochondrie dans le muscle. Trois ans plus tard, en 1890, Altmaan décrit une technique de coloration des mitochondries et postule leur autonomie métabolique et génétique

cette phrase située dans la partie historique me semble contenir une erreur, en effet, si Kölliker a décrit la mitochondrie en 1857, et qu'altman a mis au point sa coloration en 1890, le "3 ans plus tard" est faux

je ne connais pas les vraies dates et ne peut donc pas corriger cette faute...

[modifier] définition

Je me suis permis de modifier la définition qui était un peu fausse : les molécules organiques ne sont pas transformées en ATP mais l'énergie tirée de leur catabolisme est stocké sous forme d'ATP.

Ici, ça va, mais dans l'article ta formulation est douteuse: "les molécules organiques sont transformées en énergie"???. GordjazZ âllô?. 5 juin 2006 à 15:17 (CEST)

[modifier] divers

L'appellation "poumon" est plus qu'infondee : un poumon est un organe d'echange, on parle de preference de "centrale energetique de la cellule".

Beaucoup de choses a rajouter sur le genome mitochondrial, les maladies genetiques mitochondriales, des precisions sur les bacteries proches des mitochondries. Preciser qu'il existe certains organismes eucaryotes sans mitochondries, que le code genetique de la mitochondrie est different du code genetique utilise dans le noyau pour les animaux, mais pas les plantes, etc.

[modifier] historique

  • études morphologiques

1850: La Valette Saint Georges

  • Peut-être faudrait- il préciser que Kolliker décrit les mitochondries cardiaques? muscle parait imprécis: on pense plus facilement au muscle strié squelettique.
  • "En 1940-43, Claude isole les mitochondries dans des cellules du foie" >>> et surtout en 1945 avec Porter: les 1ère images en microscopie electronique

PS: les dates sont exactes j'ai corrigé le "3 ans plus tard" --Simephis 17 mai 2007 à 23:11 (CEST)


[modifier] Expression de l'ADN mitochondrial dans la formation et le développement de l'embryon

Quelqu'un s'y connait-il pour développer une section là-dessus ? Cela est notamment destiné à éclairer la compréhension de ce qu'est le clonage par transfert de noyau cellulaire dans un ovocyte énucléé (où demeure l'ADNmt) et une des limites à la similarité de la reproduction génétique de cette technique... Merci. Alceste 12 juillet 2007 à 07:27 (CEST)

Bon, réponse un peu vague, mais à ma connaissance, la mitochondrie ne peut fonctionner sans les protéines codées par son propre ADN, en plus des protéines importées du noyau. Donc je dirais que l'ADNmt s'exprime en permanence, y compris dans l'ovocyte. Je sais que ça ne répond pas vraiment à la question...Arnaudus 12 juillet 2007 à 16:09 (CEST)
effectivement, c'est très gentils, mais ce n'est pas ma question : pour être plus précis : on est garçon ou fille selon que le spermatozoïde a un chromosome X ou Y, le chromosome Y s'exprime danc dans le dévelppement de l'organisme en attribuant des parties génitales masculines. Maintenant ces parties génitales ne sont pas intégralement définie (taille ou je ne sais quoi d'autres) par le seul chromosome, les gènes qui commendent la "construction" des organes sexuel garçon sont influencés par le milieu où se développe l'embryon et vont donc "construire ces organes sexuels de tel ou telle manière" = le milieu joue sur l'expression du patrimoine génétique. La question est donc : comment l'ADNmt interagit avec l'ADN ? y a-t-il des domaines spécifique de la façon dont les gènes s'exprimes sur lesquels l'ADNmt intervient ? l'ADN peut-il sd'ailleurs s'exprimer sans l'ADNmt dans l'embryon ? quelle est la part de l'influence de l'ADNmt dans le développement de l'embryon relativement à l'influence qu'il a ou aurait sur l'ADN ? Ce qui me préoccupe c'est non pas seulement la dimension "anatomique" de la mitochondrie (comment elle marche en elle-même), mais la dimension "physiologique" (rapport, interaction, influences, dépendances...) dans la période du développement de l'embryon : donc ici avec l'ADN du noyau : quelle influence l'ADN exerce sur l'expression de l'ADNmt et inversement ? ; sachant que cela doit permettre de mieux comprendre la part de "photocopie" et de "nouveauté" dans le patrimoine génétique de l'individu et dans l'expression de l'ADN dans la technique du clonage par implantation d'un noyau cellulaire dans un ovule énucléé qui possède son propre ADNmt. Par exemple si ADN=Bleu et ADNmt=Jaune : l'embryon est-il : totalement bleu (l'ADNmt n'a aucune influence), est-il vert (l'ADN etl'ADNmt les deux s'influencent mutuellemnet dans les même proportion) ? est-il bleu-vert (ADN et ADNmt s'influences mutellement, mais l'ADN prédomine sur le résltat) ? l'embryon est-il bleu tacheté de jaune (chacun agit séparément sur des organes spécifique) ? Alceste 12 juillet 2007 à 11:51 (CEST)
OK, je crois quand même qu'il faut bien comprendre que l'ADN mt et l'ADN nucléaire ne sont pas redondans. Par exemple si ADN=Bleu et ADNmt=Jaune, par exemple, j'ai du mal à comprendre. Pour fonctionner correctement, la mitochondrie a besoin de nombreuses protéines. Certaines de ces protéines sont codées dans le noyau, sont traduites dans le cytoplasme et sont importées dans la mitochondrie. D'autres protéines sont codées dans l'ADNmt, et je crois bien me souvenir qu'elles ne sortent jamais de la mitochondrie. Je ne suis pas sûr que l'ADN mt contienne autre chose que des protéines mitochondriales, et j'ai pas le temps de vérifier là tout de suite.
Dans la mesure où la mitochondrie est un organite indispensable à la vie cellulaire, s'il fonctionne mal (que ce soit à cause des gènes mitochrondriaux ou de gènes nucléaires), l'organisme va mal se porter, c'est clair. Comme de nombreuses protéines mitochondriales sont codées dans l'ADN nucléaire, il apparait clairement que les gènes nucléaires peuvent probablement influencer l'expression des gènes mitochondriaux. Les interactions gènes nucléaires - gènes mitochondriaux sont donc probables, et je crois avoir déja vu des exemples de ce type (stérilité mâle chez certaines plantes, de mémoire, mais c'est brumeux). Mais bon, je voulais vraiment insister sur le fait que l'ADN nucléaire et l'ADNmt sont complémentaires, et tu vas avoir une chimère avec un ADN nucléaire d'un parent A et un ADNmt d'un parent B, point. Ah voila une analogie : tu clones une Ferrari, tout sauf le moteur qui provient d'une 2 CV. Qu'est-ce que tu as? Une carrosserie de Ferrari avec un moteur de 2 CV. Elle est toujours rouge, elle a un bon freinage, elle ne dépasse pas le 80 même en descente avec le vent dans le dos, et elle a les phares qui sortent quand tu t'en sers. C'est simplement une chimère, et c'est clair qu'il y a des interactions entre le moteur et le chassis, maintenant, je ne comprends pas ce que tu espères avoir d'autre qu'une chimère, quoi. Arnaudus 12 juillet 2007 à 16:09 (CEST)
 :) Moi je n'espère rien : très souvent, encore aujourd'hui, "clone = complètement identique" (encore dernièrement le téléfilm diffusé il y a environ 2 mois sur France 2...) : la représentation esthétique du clone n'est pas conforme à la réalité scientifique. Or j'ai compris l'idée qu'un clone en science aujourd'hui n'est pas l'image médiatique de la photocopie (moteur différent mais aussi carrosserie différente) et veux simplement comprendre les différents paramètres qui jouent dans cette "différenciation" et les modalités de celle-ci. J'ai fait quelques corrections élémentaires ici (regarde l'ancienne version qui insistait sur le fait qu'un clone est "absolument identique") et où l'on trouvait cette phrase visant a dire que les différences sont insignifiantes : "(pour donner un ordre de grandeur, l'information contenue dans une mitochondrie est 300 000 fois plus petite que celle du noyau)", je l'ai retiré en exposant mes réserves ici, je trouve donc qu'il serait intéressant qu'ici soit développée et précisée la question de la pertinence de la place de la mitochondrie dans la différenciation génétique et permette ainsi d'évaluer l'importance de celle-ci (j'ai exposé la totalité de l'infime partie de ce que j'ai compris sur ce sujet pour corriger l'article, et espérai trouver ici quelques explications supplémentaires plus développées et plus précises... comme complément plus spécialisé et technique). Bref il y a un aspect du rôle des mitochondries dans le développement embryonnaire qui mériterait d'être développé pour pouvoir apporter un complément plus ciblé et précis à ceux qui atterrissent sur cet article à partir de pages relatives au clonage et suivant la prolématique de la photocopie. Alceste 12 juillet 2007 à 18:38 (CEST)
OK, je crois que je comprends le raisonnement. Il me parait important de bien préciser que le clonage est une copie "presque" parfaite, parce que 1) l'ADN de l'individu cloné est bien identique à celui de la cellule prélevée sur la "mère", mais seulement à l'ADN de cette cellule, qui contient probablement pas mal de mutations somatiques (le fameux racourcissement des télomères, mais aussi tout un tas d'erreurs qui se sont accumulées, du simple fait qu'une cellule somatique n'est pas aussi bien "protégée" contre les mutations qu'une cellule de la lignée germinale), et 2) l'ADN cytoplasmique est issu de la cellule du "donneur" (ADN mitochondrial + chloroplastique chez les végétaux). Si on doit quand même balancer les deux, je dirais que le 2) (ADN mt) est assez mineur; l'ADN mt ne contient que 13 gènes, 2 ARNr et une vingtaine d'ARNt, à comparer aux ~ 25000 gènes nucléaires, ça ne fait quand même pas lourd (par contre, le vrai chiffre semble être de l'ordre de grandeur de "1000 fois moins d'information que le noyau", et pas 300000 (comparaison des tailles de génome? C'est absurde biologiquement, voir paradoxe de la valeur C). J'espère avoir aidé un peu :-) Arnaudus 13 juillet 2007 à 10:02 (CEST)

[modifier] Question sur les feuilets des membranes de la mitochondrie

Bonjour,

La mitochondrie possède une membrane externe et interne. Je voulais savoir si chacune d'elle possèdait 2 feuillets phospholipidiques, ou bien que ces 2 membranes sont 2 feuillets constituant une seule membrane?

Bonjour,

il me semble que parler d'ATP comme forme de stockage de l'énergie dans la cellule est une grosse erreur. L'ATP ne sert pas à stocker l'énergie. L'ATP est la monnaie énergétique de la cellule et son turn over est très rapide. Dans la cellule l'énergie peut être stockée sous forme de phosphocréatine (muscle), de glycogène, d'amidon chez les cellules végétales, ou bien de glycérides. L'oxydation de ces molécules permettra la synthèse d'ATP (adénosine tri phosphate) dont l'hydrolyse sera couplée à une réaction endergonique.

Je n'ai pas le temps de modifier l'article, mais si vous êtes d'accord avec moi veuillez le faire s'il vous plait.

Amitiés à tous les utilisateurs de wikipédia.

Bonjour,
les membranes externe et interne des mitochondries sont bien deux bicouches de phospholipides distinctes ce qui leur permet de définir un compartiment différent de la lumière de la mitochondrie: l'espace intermembranaire, dont le pH est acide alors qu'il est neutre dans la lumière.
C'est cette différence de pH qui va être à l'origine de la synthèse d'ATP par les ATP synthase incrustées dans la membrane interne. Elles pompent les protons de l'espace intermembranaire vers la lumière et synthétisent de l'ATP.
Cordialement

[modifier] Phosphorylation oxydative vs. Oxydation phosphorylative

L'introduction mentionnait les deux termes. Presque aucun hit Google sur "Oxydation phosphorylative", vraisemblablement un usage minoritaire: je retire. Si débat il y a (et j'en doute), il doit être mentionné dans l'article correspondant, pas ici. Arnaudus (d) 1 juin 2008 à 15:04 (CEST)