Méta-éthique
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La méta-éthique, désigne la partie de la philosophie morale qui analyse les concepts fondamentaux de l'éthique, leurs présupposés épistémologiques et de leur signification. Elle va de pair avec l'éthique normative. La méta-éthique s'interesse par exemple à la signification de concepts moraux comme bon, juste, devoir, mais aussi conscience morale, fin; elle est appelée pour cette raison éthique analytique. Il existe deux grands courants qui se recoupent en partie: le non-cognitivisme et le cognitivisme.
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[modifier] Étymologie
Le terme méta-éthique vient du mot grec "méta" (par-delà, après) et d'un autre mot grec: "éthique". La méta-éthique est "par-delà" l'ethique dans la mesure où elle n'a pas pour but de définir de nouvelles normes ou lois morales mais d'étudier la nature des énoncés éthiques eux-mêmes. Elle ne dit pas par exemple "tu dois agir de cette manière" mais analyse la nature de tels énoncés impératifs.
[modifier] Histoire de la méta-éthique
[modifier] Concepts fondamentaux de la méta-éthique
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
- Harm principle : cet article fournit un exemple de questionnement méta-éthique.
[modifier] Bibliographie
- Alfred Jules Ayer, Langue, vérité et logique, 1981
- Richard Mervyn Hare, La langue de la morale
- Angèle Kremer-Marietti, L'éthique en tant que méta-éthique, Paris, L'Harmattan, 2002
- Moore, George Edward, Principia Ethica, Reclam
- Franz Rosenzweig, L'Etoile de la Rédemption, 2003 [1919], Seuil, coll. La couleur des idées
- Charles Leslie Stevenson, Ethics and language, New Haven, Conn. 1960