Mâcon
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Mâcon | |
Pays | France |
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Région | Bourgogne |
Département | Saône-et-Loire (préfecture) |
Arrondissement | Mâcon (chef-lieu) |
Canton | Chef-lieu des cantons de Mâcon-Centre, Mâcon-Nord et Mâcon-Sud |
Code Insee | 71270 |
Code postal | 71000 |
Maire Mandat en cours |
Jean-Patrick Courtois (UMP) 2008-2014 |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Mâconnais - Val de Saône |
Latitude Longitude |
|
Altitude | 167 m (mini) – 347 m (maxi) |
Superficie | 27 km² |
Population sans doubles comptes |
36 068 hab. (2007) |
Densité | 1335 hab./km² |
Capitale du Mâconnais, Mâcon est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire et la région Bourgogne.
Ses habitants sont appelés les Mâconnais.
Le blason de Mâcon a pour définition héraldique : « De gueules à trois annelets d'argent ». Ce blason serait utilisé depuis la Renaissance.
Sommaire |
[modifier] Géographie
La ville s'étend sur la rive occidentale de la Saône, entre la Bresse à l'est et les monts du Beaujolais à l'ouest. Mâcon est la ville la plus méridionale de la région Bourgogne, ce qui lui donne avec ses toits de tuiles romanes et ses façades colorées un petit air de ville du sud. Elle est située à soixante-cinq kilomètres au nord de Lyon et à quatre cents kilomètres de Paris.
[modifier] Histoire
L'agglomération mâconnaise tire son origine de l'établissement d'un oppidum et d’un port fluvial par le peuple celte des Éduens, sans doute au début du Ier siècle av. J.-C. Connue alors sous le nom de Matisco, la ville va rapidement se développer au cours des deux premiers siècles de notre ère.
Au cours du IVe siècle, la ville va se fortifier.
Au Moyen Âge, Mâcon fut le chef-lieu d'un comté rattaché au duché de Bourgogne, sis à l'extrémité du pont sur la Saône menant aux domaines de Bresse du duché de Savoie. La ville commandait l'accès à l'actuel Val Lamartinien, où l'extrémité sud de la Côte de Bourgogne rejoint les premiers contreforts des monts du Beaujolais, ouvrant la voie aux riches plaines de la Loire.
Charles IX, venant de Chalon, s’arrête le 3 juin 1564 dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[1]. La ville est stratégique : c’est une porte d’entrée du royaume potentielle pour les Suisses ou les mercenaires allemands dans le contexte des guerres de religion. Il y est accueilli par la reine Jeanne de Navarre, dite la « reine des Protestants », et mille cinq cents Protestants.
En 1789, la ville devint préfecture du département de Saône-et-Loire nouvellement créé.
En 1814, la ville fut envahie par les armées autrichiennes puis libérée deux fois par les troupes françaises avant d'être définitivement occupée jusqu'à la chute de l'Empire. Après le retour de Napoléon et les Cent-Jours, Mâcon et le Mâconnais furent à nouveau pris par les Autrichiens.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville de Mâcon sera la première ville en zone libre entre Paris et Lyon.
[modifier] Communications
Mâcon est reliée aux grandes agglomérations voisines par différentes voies de communication :
- Infrastructures routières :
- Autoroute A6 (Axe Paris-Lyon)
- Autoroute A40 (Axe Mâcon-Genève)
- Nationale 6
- RCEA (Route Centre Europe Atlantique) qui permet une circulation directe d'Annemasse à Nantes ou Bordeaux
- Infrastructures ferroviaires :
- Gare TGV Mâcon-Loché-TGV (Axes Paris-Marseille et Paris-Genève)
- Gare SNCF Mâcon-Ville (Axes Dijon-Lyon et Dijon-Marseille)
- Infrastructures fluviales :
- La Saône qui permet via le Rhône un accès à la mer Méditerranée
[modifier] Transports en communs
- Transports urbains :
Mâcon est desservie par le réseau de transports urbains Mâcon Bus, dont l'Autorité Organisatrice est le SITUM (Syndicat Intercomunale des Transports Urbains du Mâconnais - Val de Saône.
Services proposés par le réseau :
-
- 11 lignes de bus urbaines desservant Mâcon et ses communes associées, ainsi que les communes de Crèches-sur-Saône, Sancé, Saint-Laurent-sur-Saône et Charnay-lès-Mâcon.
- 2 navettes gratuites de centre-ville Transpark.
- Un service de transport à la demande Filobus pour desservir les communes membre de la CAMVAL non-desservies par les lignes urbaines ainsi que Chaintré.
- Transports interurbains :
Mâcon est desservie par le réseau Buscephal du Conseil Général de Saône-et-Loire.
[modifier] Administration
[modifier] Politique
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|---|---|---|
mars 1953-mars 1977 | Louis Escande | DVD | . |
mars 1977- mars 2001 | Michel Antoine Rognard | PS | |
mars 2001- | Jean-Patrick Courtois | UMP | sénateur |
Les données antérieures sont disponibles sur le site MairesGenWeb voir Liens Externes. |
[modifier] Enseignement
Le ville de Mâcon compte 5 collèges et 4 lycées. Ces établissements sont réunis dans le même quartier à l'Ouest de la ville à l'exception des collèges Schuman (au Nord) et Saint-Exupéry (au Sud).
- Collèges
- Collège Louis Pasteur
- Collège Bréart
- Collège Schuman
- Collège St Exupéry
- Collège Notre-Dame (privé)
- Lycées
- Lycée Lamartine
- Lycée René Cassin
- Lycée Hôtelier Dumaine
- Lycée Ozanam (privé)
[modifier] Intercommunalitée
La ville de Mâcon est membre de la CAMVAL (Communautée d'Agglomération du Mâconnais - Val de Saône)
[modifier] Démographie
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- Population agglomération : 61 641 habitants (CAMVAL)
- Population aire urbaine : 104 000 habitants.
L'influence de Mâcon semble s'intensifier. C'est un des grands bassins d'emploi du département qui est de loin le plus dynamique (+13,5 % de hausse entre 1999 et 2006) par rapport aux villes telles que Chalon-sur-Saône ou Montceau-les-Mines qui perdent des emplois, en particulier grâce aux voies de communications nombreuses et la proximité de Lyon.
A signaler que la baisse de la population de la ville se fait au profit d'un phénomène de périurbanisation sur les communes du Mâconnais mais aussi de l'Ain limitrophe. C'est pour cela que l'aire d'influence de Mâcon, le « Grand Mâconnais », se concentre sur trois départements : la Saône-et-Loire, l'Ain et le Rhône. Ainsi, parmi les quarante-sept communes de moins de dix mille habitants de l'aire urbaine, quarante et une sont en croissance et six stables ou en très légère baisse.
[modifier] Quartiers et communes associés
[modifier] Centre-Ville
Le Centre-Ville de Mâcon s'étend de la place Gardon, au Nord, jusqu'au rond-point de l'Europe, au Sud, de la Place de la Barre, à l'ouest, jusqu'aux quais bordant la Saône à l'est de la ville. Le Centre-Ville est le centre commercial de la ville, la plupart des commerces se trouvent près de la Mairie (rue Carnot, rue Dufour, rue Sigorgne, rue Philibert-Laguiche, rue Dombert, rue Franche, quai Lamartine, esplanade Lamartine et rue de la Barre).
Il s'agit aussi, en toute logique, du centre historique de la ville. La plupart des monuments historiques y sont présents (Cathédrale Saint-Vincent, Église Saint-Pierre...) ainsi que les deux musées de la ville.
Le Centre-Ville est composé de plusieurs quartiers assez différents les uns des autres : le quartier Saint-Antoine, est, avec la Place aux Herbes, le coeur historique de Mâcon, malgré son relatif éloignement de la Mairie. Ce quartier couvre la partie nord du Centre-Ville, il est traversée par la rue de Strasbourg et est constitué de petites ruelles. On y trouve la Préfecture de Saône-et-Loire ainsi que l'ancienne Cathédrale Saint-Vincent communément appelée le Vieux Saint-Vincent.
Plus à l'ouest se trouve le Square de la Paix, bordé par l'Hôtel-Dieu, le Palais de Justice, la Cathédrale Saint-Vincent ainsi que le Vallon des Rigollettes et le quartier de l'Héritan.
Sur les bords de Saône, l'esplanade Lamartine a récemment subi de profonds travaux de réaménagement et d'embellissement. Au parking tortueux et aux pavés abîmés ont succédé un parking souterrain de 3 niveaux, une esplanade agrandie et plus claire, des bars, une scène sur l'eau pouvant accueillir toutes sortes de manifestations, concerts et spectacles et installée sur la Saône. La statue Lamartine, qui trône sur l'esplanade, a été entièrement rénovée. Des petits jardins agrémentent maintenant l'immense espace que représente l'esplanade Lamartine de Mâcon. De part en part on y trouve également inscrit en lettres d'argent gravées dans le sol un extrait du fameux poème de Lamartine "Le Lac" : Ô temps suspend ton vol...
[modifier] Nord de Mâcon
Le Nord de Mâcon est coupé en deux, délimité par le rond-point de Neusdadt. Flacé-lès-Mâcon, village intégré à la ville, constitue le Nord-Ouest de Mâcon. En plus d'une mairie annexe, d'une église et d'un petit centre-ville, Flacé est entièrement composé de zones résidentielles de type pavillonnaire.
Le Nord-Est de Mâcon est, quant à lui, composé de diverses zones résidentielles ainsi que du centre sportif de la ville (parcours P.A.P.A, piscine municipale, C.R.E.P.S, clubs d'aviron de voile et de ski nautique, plusieurs terrains et clubs de football, le Palais des Sports). Les zones résidentielles sont quant à elles dominées par des HLM avec des quartiers tels que la ZUP de Mâcon ou le Boulevard des États-Unis (appartenant administrativement au quartier des Saugeraies).
[modifier] Sud de Mâcon
Le Sud de Mâcon est composé quant à lui de trois zones majeures.
- La première zone est l'ensemble Saint-Clément/Les Blanchettes aussi appelée Percée Sud. Saint-Clément ne représente qu'une petite partie mais constitue la zone commerciale du Sud de Mâcon avec le rond-point de l'Europe. Les Blanchettes est un quartier HLM traversé par l'Avenue Edouart-Hérriot. Quartier très boisé, avec notamment le Parc des Allumettes et ses nombreux jeux pour enfants. C'est à Saint-Clément que se trouve l'église romane du même nom.
- La seconde zone est la plus étendue de cette partie de la ville, il s'agit de la zone industrielle sud de Mâcon (la plus importante de l'agglomération) qui est composée du Port Fluvial de Mâcon (6e de France).
- La troisième et dernière zone du sud de Mâcon est La Chanaye/Fontenailles et se situe au Sud-Ouest de la ville. Fontenailles est une zone résidentielle constituée de maisons individuelles. La Chanaye (prononcer "Chanai") est une zone HLM bordée par les Serres Mâconnaise. Ce quartier fait parti, avec le Boulevard des États-Unis et la ZUP de Mâcon, des ZUS françaises.
[modifier] Ouest de Mâcon
L'ouest de Mâcon est la partie la moins peuplée de la ville. On y trouve les lycées mâconnais (René Cassin, Lamartine, Alexandre Dumaine et Ozanam) ainsi que la plupart des collèges ,quelques zones résidentielles se confondant avec celles de Charnay-lès-Mâcon, le Centre Hospitalier de Mâcon ainsi que le quartier ouvrier historique de Mâcon : Bioux.
[modifier] Flacé
Ancienne commune indépendante Flacé-lès-Mâcon a été rattachée à Mâcon en 1965. Il s'agit aujourd'hui d'un quartier résidentiel de la ville dont le coeur villageois est encore bien visible.
[modifier] Loché
Loché est une Commune associée de Mâcon. La fusion-association date de 1972. C'est sur le territoire de ce bourg viticole qu'est implantée la gare TGV permettant de relier le Mâconnais à la capitale en à peine plus d'1h30.
[modifier] Saint-Jean-le-Priche
Saint-Jean-le-Priche est une Commune associée de Mâcon. La fusion-association date de 1972
[modifier] Sennecé-lès-Mâcon
Sennecé-lès-Mâcon est une Commune associée de Mâcon. La fusion-association date de 1972
[modifier] Économie
- Viticulture et élevage ;
- Port fluvial industriel ;
- Métallurgie ;
- Logistique et transports routiers ;
- Plaisance fluviale.
Mâcon est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Saône-et-Loire qui gère le port fluvial de Mâcon à travers Aproport, le CFA Automobile et l'aéroport de Macon-Charnay. Elle est également le siège de le la Chambre d'agriculture de Saône-et-Loire.
- Entreprises à forte notoriété :
- Joker (jus de fruit)
- Cémoi (chocolat)
[modifier] Divers
- Superficie : 2 704 hectares dont 576 hectares d’espaces verts.
- Sports et Loisirs : 73 clubs dont 55 associations, 40 sports pratiqués, 14 506 licenciés sportifs (soit 42% de la population). Elue ville la plus sportive de France en 2001.
Le club de rugby de l'A.S. MACON évolue actuellement en Fédérale 2 (quatrième échelon de la hiérarchie) et avait atteint le plus haut niveau en 1987-1988 (l'ASM figurait dans la poule O avec le Biarritz Olympique de Serge Blanco, l'U.S. Dax, Montpellier et Lavelanet).
- Harmonie Municipale de Mâcon, au niveau Exelence à la Confederation Musicale de France
- Académie de Mâcon, d'envergure et de renommée nationale
[modifier] Personnages célèbres
- Alphonse de Lamartine, poète, écrivain et homme politique français qui y est né le 21 octobre 1790 ;
- Mgr Gabriel Piguet, futur évêque de Clermont-Ferrand et Juste parmi les nations, qui y est né le 24 février 1887
- Lucie Aubrac (de son vrai nom Lucie Bernard), résistante française qui y est née le 29 juin 1912 ;
- Georges Duby, historien ;
- André Déléage, historien de l'Antiquité et du Moyen Age, résistant, né à Mâcon en 1903, mort près de Luxembourg en décembre 1944
- Henri Guillemin, historien qui y est né le 19 mars 1903.
- Le père Liochon, épicier découvert dans l'émission Le Petit Rapporteur. Une fresque murale lui rend hommage;
- Henry Testot-Ferry, découvreur du site préhistorique de la Roche de Solutré, et membre titulaire de l'Académie de Mâcon
- Gérard Voisin (1945-), homme politique
- Claude Roberjot (1752-1799), homme politique
- Frédéric Jay (1976-), footballeur
- Jean-Baptiste Debrun (1750-1831), militaire
- Antoine Bauderon de Sénecé (1643-1737), poète
- Hugues Martin (1942-), homme politique
- Alfred Lacroix (1863-1948), géologue et minéralogiste
- Alain Digbeu (1975-), joueur de basket-ball
- Georges Lecomte (1867-1958), écrivain
- Paul Devinat (1890-1980), homme politique
- Joseph Dombey (1742-1794), naturaliste
- Jacques Bayardon (1934-1999), joueur de rugby
- Pierre Batilliat, pharmacien et viticulteur
- Victor Amédée de La Fage (1750-1809), révolutionnaire
- Loïc Chavériat (1977-), footballeur
- Maurice Lenormand (1913-2006), homme politique
- Jimmy Mainfroi (1983-), footballeur
- Jean-Claude Goyon (1937-), égyptologue
- Roland Vieira (1979-), footballeur
- Jean-Claude Villain (1947-), poète
- Florent-Alexandre-Melchior de La Baume (1736-1794), dernier comte de Montrevel
- Samuel Guichenon (1607-1664), avocat, historiographe et généalogiste.
[modifier] Bibliographie
- Pierre Goujon (éd.), Histoire de Mâcon, Toulouse, 2000. La ville de Mâcon dispose par cet ouvrage d'une histoire répondant aux critères actuels de la connaissance historique. composition de cet ouvrage :
- Jean Combier, "De la préhistoire aux Burgondes", pp. 17-44
- Alain Guerreau, "Mâcon, 380-1239" : la cité épiscopale", pp. 45-79
- Isabelle Vernus, "Prospérités et affrontements, 1239-1600", pp. 81-112
- Christine Lamarre, "De l'époque classique aux transformations révolutionnaires. La ville classique des XVIIe et XVIIIe siècles", pp. 113-139
- Jean-François Garmier, "L'essor et les transformations de la ville (XVIIe - XIXe siècles)", pp. 141-154
- Pierre Lévêque, "Au temps de Lamartine", pp. 155-196
- Pierre Goujon, "Mâcon dans la deuxième moitié du XIXe siècle : une ville en symbiose avec sa région", pp. 197-238
- Lucien Delpeuch, "Une ville moyenne face aux défis du XXe siècle : Mâcon de 1914 à 1945", pp. 219-263
- Annie Bleton-Ruget & Nicole Commerçon, "Mâcon, une ville moyenne ordinaire ?", pp. 265-300.
En plus : beaucoup de graphiques, de cartes, reproductions de documents et photographies inédites.
[modifier] Monuments et lieux touristiques
- Le Vieux Saint-Vincent en centre-ville
- Cathédrale Saint-Vincent en centre-ville
- Musée des Beaux-Arts (ancien couvent des Ursulines)
- Hôtel de Senecé (musée Lamartine)
- Église Saint-Clément dans le quartier de Saint-Clément
- Église Saint-Pierre, place Saint-Pierre, en face de la Mairie
- La Piscine Municipale Olympique de Mâcon
- La Maison des Vins, ou Maison Maconnaise des Vins, située sur l' Avenue De-Lattre de Tassigny.
- Le Quai Lamartine, le Vallon des Rigollettes, le parcours P.A.P.A ainsi que le Port de Plaisance : autant de lieux propices aux balades et à la détente.
- Le Théatre de Mâcon (scène nationale), située non loin de la Maison des vins, sur l'esplanade des Droits de l'Homme.
- Château Saint-Jean, situé sur l'ancienne commune de Saint-Jean-le-Priche, annexée à Mâcon en 1972
- Château des Perrières, sur un coteau dominant la ville
- Club de ski et barefoot de Mâcon site
[modifier] Parcs et jardins
La ville a été récompensée en 2007 par la distinction Grand Prix et quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[3].
[modifier] Jumelages
- Neustadt an der Weinstraße (Allemagne) depuis le 26 juin 1956
- Crewe (Grande-Bretagne) depuis 1957, voir Crewe (en)
- Nantwich (Grande-Bretagne) depuis 1957
- Overijse (Belgique) depuis le 28 août 1960
- Macon (Géorgie) depuis 1972
- Lecco (Italie) depuis le 12 mai 1973
- Alcazar de San Juan (Espagne) depuis le 15 mars 1980
- Eger (Hongrie) depuis le 11 mai 1985
- Santo Tirso (Portugal) depuis le 20 juin 1992
- Pori (Finlande) depuis le 11 mai 1990, ville jumelée à Mâcon par l'association Mâcon Pori
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
[modifier] Liens externes
- Visite virtuelle de la ville
- Site internet de la ville
- Mâcon sur le site de l'Institut géographique national
- Mâcon sur le site de l'Insee
- Liste des maires de la commune depuis 1692
- Forum sur le maconnais
- Etude réalisée par l'INSEE sur le grand Mâconnais
- Site du réseau de transports urbains Mâcon Bus
- Site de la Communauté d'Agglomération du Mâconnais - Val de Saône
[modifier] Notes
- ↑ Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980, (ISBN 27274207858), p 253
- ↑ Estimations pour 2005
- ↑ Source : Villes et Villages Fleuris