Utilisateur:Leon Talbot

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Leon Talbot 15 mai 2006 à 06:29 (CEST)

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Comment peut-on imposer une limitation à l'infini, en déclarant « Ceci est la seule vraie voie » ?

Sommaire

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Moto (ou est-ce Mojo ?)

Participer à l'amélioration et la création d'article que si le coeur veut se joindre à la tête

[modifier] Citations

  • Le bonheur ne se trouve pas dans les faits spectaculaires, mais dans l'accomplissement harmonieux des gestes de la vie quotidienne. Cette découverte va éclairer toute votre vie. Votre imagination va colorer tout ce que vous avez à faire.

#537, Les dés de la destinée.

  • The Storyteller
  • Edgar Morin : « Nous sommes dans la préhistoire de l'esprit humain, ce qui signifie que les capacités mentales humaines sont encore sous-exploitées, notamment sur le plan des relations avec autrui. »

[modifier] Collaboration

[modifier] À intégrer

  • Article sur la Paix intérieure
    • L'intérieur et l'extérieur: « il y a un intérieur et un extérieur d'une seule et même réalité. Ce que tu sens au-dedans en est l'intérieur,ce que tu vois au dehors en est l'extérieur. // A partir de cette vision, aucun élément de la vie ne peut être retiré. Tu ne peux ôter le monde de toi et te retrouver seulement avec un intérieur sans extérieur. // Tout ce qui arrive dans ta vie, tout événement, toute personne, attachée ou non à toi, détail ou ensemble, important ou sans importance, es directement lié à toi comme une forme extérieure de quelque chose qui te correspond à l'intérieur. // De même, une pièce de monnaie ne peut pas avoir un seul côté. Elle est nécessairement pile ou face. // Toute la vie est ce même pile ou face, ce même côté double, pourtant inséparable. Tout ce que tu vois: la pluie qui tombe, un enfant qui pleure, une personne qui te prends dans ses bras, tout ce que tu sens, perçois, tout ce qui vit hors de toi, correspond à quelque chose en toi, comme un côté de la pièce correspond à l'autre et n'est pas séparable. // Cela constitue une pratique formidable pour la vie consciente, pour que l'esprit apaise ses constructions, ses explications et ses compréhensions et pour que le coeur, -simple par nature- appréhende le monde tel qu'il est, un tout ne réverbération répétée, une continuité d'un dedans vers un dehors, et d'un dehors vers un dedans, une correspondance entre quelque chose et autre chose en réalité inséparable, comme pile et face. // Le travail de conscience qui t'est proposé dans cette vision unique est de retrouver en toi l'autre côté de la pièce. // Si une personne qui parle avec des mots durs vient à toi, tu retrouveras en toi tout ce qui correspond à cet événements sous la forme d'un refus, d'une peine, d'une colère. La personne dans on agression n'est que le côté pile, et la colère le côté face".[1]
    • Le désencombrement de sa vie intérieur : Les suggestions suivantes visent à simplifier ce qui peut encombrer nos pensées et nos cœurs, nos calendriers et nos relations avec les autres, nos âmes et nos esprits. // 1. Démissionnez de tous les comités, les clubs, les organisations ou les conseils d'administration dont vous avez manqué les réunions trois fois de suite. Il peut s'agir d'un bon comité qui travaille à des objectifs louables mais vous n'assistez pas aux réunions! Quelque chose dans votre vie vous fait signe que ce n'est pas vraiment votre priorité, même si la cause est juste, ou bien que cela ne peut pas être votre priorité actuellement parce que vous manquez de temps. Aussi, abandonnez maintenant! // 2. Dites adieu et débarrassez-vous de tous les articles reliés à des chapitres de votre vie qui sont définitivement terminés. Nos vies sont continuellement en changement. Toute chose poursuit son chemin vers ailleurs. Pourquoi conserver ces vieilles lettres d'amour? // 3. Débarrassez-vous de vos péchés en allant les confesser et par la suite pratiquer le repentir. Les péchés sont les équivalents moraux de chaînes aux pieds dans une vie que était initialement destinée à être une danse. // 4. " Jeûnez " de tout media (les livres y compris) une journée par semaine. Il est probablement important d'être un citoyen actif et informé dans une société démocratique. Mais même les gens actifs et informés ont besoin d'un jour de sabbat. // 5. Débarrassez-vous de toutes les dépendances à l'alcool, à des médicaments sans prescription, au jeu, au tabac, aux sources de caféine, au sucre, à la télévision et aux médicaments prescrits, si c'est possible. Évidemment, cela peut être difficile à faire, mais les dépendances encombrent réellement notre âme, notre temps et notre vie. »[2]


  • Article sur l'Unicité:
    • L’apport de Stéphane Lupasco, dont s’inspire directement Basarab Nicolescu a consisté à remettre en cause le troisième axiome en démontrant que seul ce qu’il appelle le tiers inclus peut rendre raison de la complexité du réel. La réforme de la pensée consiste à cesser de raisonner seulement dans la dualité, pour raisonner plutôt avec trois termes en reconnaissant la dynamique dutiers-inclus. D’où le texte suivant : // « La modernité est caractérisée par la séparation binaire sujet-objet, tandis que la cosmodernité est fondée sur l'unification ternaire sujet-objet-tiers inclus». (texte) Il n’entre pas dans le cadre de cette leçon d’explorer cette question en détail. Nous nous contenterons de quelques questions : la réalité que nous donnons à nos problèmes sociaux ne vient-elle pas de ce que nous les rendons par avance insolubles, en les crispants dans des oppositions inconciliables ? Est-il possible de résoudre un problème en restant au niveau du problème ? N’est-il pas nécessaire, pour rendre une question compréhensible, de rechercher la position du tiers inclus, ce qui détruit le problème lui-même ? Pour reconnaître la complexité du réel, n’est-il pas indispensable de laisser de côté les oppositions duelles inconciliables ? // Le tier-inclus révèle une unité sous la dualité. Cela qui réunit les contraires en fait des complémentaires. Ce qui est très différent. Or, traditionnellement, ce qui unit, était appelé le Sacré. Dans les termes de Mircéa Eliade : « Le sacré n'implique pas la croyance en Dieu, en des dieux ou des esprits. C'est ... l'expérience d'une réalité et la source de la conscience d'exister dans le monde ». Et Basarab Nicolescu est très net sur ce point, dans le prolongement de Mircéa Eliade, il dit aussi que le sacré, n’est pas le religieux au sens ordinaire (la ruse qui consiste à enfermer le sacré dans la prison d’un dogme), mais avant tout « une expérience, il se traduit par le sentiment de ce qui relie les êtres et les choses et, par conséquent, il induit dans les tréfonds de l'être humain le respect absolu des altérités unies par la vie commune sur une seule et même Terre ». // C’est l'abolition du sacré qui nous a conduit à l'abomination, or l’abolition du Sacré, revient logiquement à la non-reconnaissance de l’instance du tiers inclus. Et l’on comprend dès lors toute l’importance aujourd’hui d’une connaissance, non pas fragmentaire, comme c’est le cas, mais transdisciplinaire « Les mots trois et trans ont la même racine étymologique : le "trois" signifie "la transgression du deux, ce qui va au delà de deux". La transdisciplinarité est la transgression de la dualité opposant les couples binaires : sujet - objet, subjectivité - objectivité, matière - conscience, nature – divin simplicité - complexité, réductionnisme - holisme, diversité - unité. Cette dualité est transgressée par l'unité ouverte englobant et l'Univers et l'être humain ». // Ce sont là des perspectives entièrement nouvelles et étrangères à la modernité. Un nouveau paradigme. (texte) Une invitation à reprendre entièrement et à nouveau frais ce que la pensée classique à enfermé dans des oppositions stériles. Nous savons maintenant à quoi tient une opposition stérile. Dans la Réalité, il n’y a pas de dualité irréductible. C’est ce qui explique l’insistance immémoriale du Vedânta sur la non-dualité, comme essence du Réel, de l’Englobant. Quand on fait quelques pas sur ce chemin, il n’est plus possible de tomber dans les confusions que maintient notre époque. Juste quelques suggestions : et si il n’y avait pas de contradiction entre le travail et le loisir ? Parce que la passion ne se divise pas. Entre le profane et le sacré ? Parce que la Vie est toute entière Sacrée. Et si l’Amour en réalité n’avait pas d’opposé ? Parce que amour/haine ne sont que des contradictions du désir. Et si l’amour de soi n’était pas le contraire de l’amour d’autrui ? Parce que seul l’amour-propre né de l’ego seul peut créer cette opposition. Et si l’opposition brutale entre le connu et l’inconnu n’existait pas ? Il y a une infinité de chose dans l’univers, bien au-delà de ce que l’esprit dogmatique tranche à la hache et jette dans l’inconnaissable. Et si l’univers n’était pas muet et sourd et seul l’homme conscient ? Partout où se manifeste la présence de la vie, se manifeste aussi une forme de conscience. Et si la sagesse n’était pas une sorte de quiétisme et le contraire de l’action, mais une insurrection de l’intelligence et non son apathie ? Et si la lucidité n’avait rien à voir avec le cynisme désabusé des rhéteurs modernes, des intellectuels ? Ceux là on tellement souci de leur image, qu’ils sont pour la plupart complètement compromis avec la postmodernité. Et si toutes les révolutions du passé n’étaient que des ébauches ? Parce que la véritable révolution se tient dans le cœur de l’homme et non dans la masse considérable de ses idées. Et si…toute représentation duelle était fausse ? Parce que même l’erreur est une vérité incomplète et déformée et qu’elle a sa place dans la complexité du réel.[3]
    • «  ... même si le scientifique courant continue à penser de manière traditionnelle, il semblerait que certains commenceraient à explorer de nouvelles voies de compréhension de l’univers. En effet, le grand public a toujours eu intuitivement le sens de son interconnexion avec la nature. L’Américain de souche ressent la skanagoah, c’est-à-dire une profonde paix lorsqu’il est seul dans les bois, une conscience intense de son unité avec la nature dans son ensemble. Des sentiments du même ordre sont ressentis par les artistes et les mystiques de toutes cultures. En fait, il semble plus naturel de percevoir l’univers comme interconnecté et immanent, que comme mécanique et dissocié. Le philosophe Edmond Husserl soutient que la crise à laquelle l’homme et la femme modernes sont confrontés est due à l’insignifiance du monde qui les entoure. Il en trouve l’origine dans le désir Cartésien-Newtonien d’objectiver la nature. Mais, lorsque la nature devient objet, les valeurs et relations humaines sont sacrifiées. Le résultat est une univers vide, dénué de sens ».[4]
    • La résonance entre l'extérieur et l'intérieur : « Il existe une limite imperceptible entre dedans et dehors, entre toi et ce qui n'est pas toi. Cette limite est imperceptible parce qu'elle n'existe pas, mais elle est une limite parce qu'elle sert l'évolution. Apprends à faire passer ton esprit au travers de cette limite et fais que ton esprit entraîne avec lui des choses encore plus profondes qui ne sont pas sa propre définition. Ressens au fond de toi-même ce qu'est ton âme, et fais-là sortir et rentrer encore, allant chercher au dehors ce qui lui ressemble pour lui faire rencontrer son origine au fond de toi-même. Cultive cette équivalence, cette résonance. Elle enseignera non seulement que cette limite utile n'existe pas, mais par-dessus tout qu'il n'y a pas deux et que la résonance et que la résonance n'est rien d'autre que l'unité, que l'Amour, que la perfection vécue de manière directe. // Le Divin est en toi et hors de toi de cette manière, par résonance. Une question est posée de l'extérieur et la réponse entendue à l'intérieur [Voir l'article paix intérieure]. A l'inverse, une question peut être ressentie en toi et sa réponse donnée à l'extérieur [Voir l'article synchronicité]. Ceci est une autre vision encore de la résonance , du lien, de l'équivalence, de la présence simultanée du Divin en toi et hors de toi. Fais le avec le coeur, au profond de toi-même, et laisse l'intellect s'occuper des détails. ne lui accorde aucune confiance particulière, laisse-le agir s'il semble nécessaire que ce soit la voie, mais quoi qu'il arrive, nourris cette résonance. »[5]
    • L’énergie spirituelle de Henri Bergson expliquée par Serge Carfantan : « Nous pouvons ne pas nous placer l'extérieur des choses pour les décomposer par l’intellect, nous pouvons entrer à l'intérieur des choses pour les comprendre par une sympathie spirituelle, et cela , c'est l'Intuition. L'intuition est la faculté de voir la chose-même en se transportant en elle. L'intuition nous livre ce qu'il y a d'unique dans les choses. Elle est la connaissance d'une individualité vivante. Au contraire, l'analyse de l'intellect tend à rendre une chose banale parce qu'elle la réduit à ce qui est déjà connu. L'intellect compose et construit de l’extérieure qu'il étudie, l'intuition par nature demeure dans le simple, elle pousse de l'intérieur la forme , le processus de changement de la chose. » [6]

[modifier] Aide mémoire

Double license: http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Auditorio_de_Oviedo_1.jpg

Dossier intuition: http://www.nouvellescles.com/dossier/Intuition/index.htm

[modifier] Liens externes