Kevin Rudd

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L'honorable
Kevin Michael Rudd
26e Premier ministre d'Australie
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Actuellement en fonction
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Depuis le 3 décembre 2007
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Autres fonctions
Chef du Parti travailliste australien
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4 décembre 2006 - Aujourd'hui
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Biographie
Nom de naissance {{{nom naissance}}}
Naissance 21 septembre 1957
Nambour (Australie)
Décès {{{décès}}}
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Nationalité Australienne
Parti politique Parti travailliste australien (ALP)
Conjoint Thérèse Rein
Enfants {{{enfants}}}
Diplômé de {{{université}}}
Profession Diplomate, Fonction publique
Résidence The Lodge, Canberra
Religion Anglicanisme
Signature {{{signature}}}

Premiers ministres d'Australie

Kevin Michael Rudd (né le 21 septembre 1957) est un homme politique australien et le 26ème Premier ministre d'Australie.

Il est le chef du Parti travailliste australien depuis le 4 décembre 2006, et était chef de l'opposition avant des élections du 2007. Il est député ("representant") de la circonscription de Griffith, dans le Queensland. Il remporte les élections fédérales du samedi 24 novembre 2007 et ravit le poste de Premier ministre à John Howard. Il fut investi le 3 décembre 2007.

En mai 2008, le Time le classe dixième sur sa liste des cent personnes les plus influentes au monde[1], et applaudit à la fois les excuses qu'il a présentées aux Générations volées et sa ratification du Protocole de Kyoto.

Sommaire

[modifier] Enfance

Rudd est né à Nambour, au Queensland d'un père fermier et d'une mère infirmière, il passe son enfance dans une ferme près d'Eumundi. Il est pensionnaire du "Marist College Ashgrove" à Brisbane[2] et est major (Dux) de la "Nambour High School" en 1974[3]. La mort de son père, un fermier en copropriété et membre du Parti national d'Australie, alors qu'il n'a que onze ans et les difficultés qui s'abattent sur sa famille par la suite, ont joué un rôle fondamental sur ses choix politiques. Sa famille et lui même doivent quitter la ferme après la mort de son père mais les conditions exactes de ce départ sont toujours sujettes à controverse.[4] Rudd rejoint le Parti travailliste en 1972, à l'âge de 15 ans[5].

Rudd par la suite suit les cours à l'Université nationale australienne (Australian National University (ANU)), à Canberra, où il obtient avec félicitations son diplôme de Baccalauréat en arts en langue chinoise en 1981. Ceci lui permet de parler le mandarin avec aisance. Pendant ses études, Rudd habite "Burgmann College" et travaille comme homme d'entretien chez un journaliste politique pour gagner sa vie[6].

[modifier] Premières années

En 1981, Rudd rentra au Ministère des Affaires étrangères où il travailla jusqu'en 1988. Sa femme, Thérèse Rein, et lui passèrent la plupart des années 1980 dans des postes à l'étranger, dans les ambassades australiennes de Stockholm en Suède puis de Pékin en Chine.

Il revint en Australie en 1988 et fut nommé chef de Cabinet du leader de l'opposition travailliste du Queensland, Wayne Goss. Il devint ensuite chef de cabinet du Premier ministre de l'État quand le parti travailliste remporta les élections de 1989, un poste qu'il occupa jusqu'en 1992, quand Goss le nomma Secrétaire Général du Gouvernement. À ce poste, il était le plus haut fonctionnaire de l'État.[7] Il put ainsi piloter nombre de réformes notamment celles prévoyant un développement de l'enseignement des langues étrangères à l'école. Rudd favorisa une politique d'enseignement des langues asiatiques et des cultures programme qui fut unanimement accepté par le "Council of Australian Governments" en 1992 et plus tard présida un groupe de travail qui publia ses conclusions dans un rapport maintenant fréquemment appelé "the Rudd Report"[8]

Quand le gouvernement Goss perdit les élections en 1995, Rudd fut embauché comme consultant en chef pour la Chine par la société "KPMG Australia". Il garda son poste après avoir tenté en vain de conquérir le siège de député fédéral de Griffith aux élections de 1996. Il se représenta au même siège lors des élections de 1998 et cette fois l'emporta.

[modifier] Parlementaire

[modifier] Ministre des Affaires étrangères du gouvernement fantôme (2001-2005)

Après son succès aux élections fédérales, Rudd progressa rapidement dans le parti travailliste et après les nouvelles élections de 2001, il fut nommé Ministre des Affaires étrangères du gouvernement fantôme. A ce poste, il critiqua vivement la politique du gouvernement de John Howard pour l'aide apportée aux États-Unis lors de l'invasion de l'Irak en 2003 et la participation de l'Australie à l'occupation du pays. Ce désaccord ne l'empêcha de continuer de prôner la politique d'alliance Australie - États-Unis chère au Parti travailliste.

Son expérience politique et son rôle au Parlement sur la guerre en Irak en firent l'un des parlementaires travaillistes les mieux connus du Pays. Quand Kim Beazley le leader de l'opposition intronisa Simon Crean pour lui succéder en juin 2003, Rudd ne posa pas sa candidature contre lui.[9] Quand Crean dut démissionner fin novembre, Rudd fut considéré comme un possible candidat au poste de chef du parti[10], mais Rudd déclara qu'il n'était pas candidat au poste et voterait pour Kim Beazley.

À la suite de l'élection de Mark Latham, certains pensèrent que Rudd perdrait son portefeuille pour avoir soutenu Beazley, mais ce ne fut pas le cas. Les relations entre Latham et Rudd se dégradèrent en 2004, surtout lorsque Latham s'engagea à retirer toutes les forces australiennes d'Irak pour Noël 2004 sans en parler à Rudd.[11] lorsque Latham perdit les élections fédérales de 2004, on parla à nouveau de Rudd comme possible leader du parti. Il préféra garder son poste de Ministre des Affaires étrangères du gouvernement fantôme et nia toute intention de postuler au poste de Latham.

Quand Latham démissionna subitement en janvier 2005, Rudd était en Indonésie et refusa de dire s'il serait candidat au poste de chef du Parti travailliste[12]. Une candidature de sa part aurait signifié qu'il s'attaquait à Beazley, son allié dans le parti et il voulut d'abord prendre l'avis de ses autres collègues parlementaires[13]. À son retour d'Indonésie, Rudd consulta ses collègues du Parlement et annonça qu'il n'était pas candidat contre Kim Beazley et ce dernier reprit la tête du parti.

En juin 2005 Rudd reçut de nouvelles responsabilités et devint Ministre des Affaires étrangères et de la Sécurité internationale et Ministre du Commerce dans le nouveau gouvernement fantôme

[modifier] Leader de l'Opposition

Kevin Rudd (à droite) et Julia Gillard (à gauche) à leur première conférence de presse comme leaders du parti travailliste australien le 4 décembre 2006
Kevin Rudd (à droite) et Julia Gillard (à gauche) à leur première conférence de presse comme leaders du parti travailliste australien le 4 décembre 2006

En décembre 2006, un nouveau sondage indiqua que Rudd recevait deux fois plus d'avis favorable que Beazley pour prendre la tête du parti[14] et il annonça alors sa candidature contre Beazley[15][16]. Son amie Julia Gillard le rejoignit pour le seconder.

Le vote eut lieu le lundi 4 décembre 2006 et Rudd l'emporta par 49 voix contre 39 pour Beazley[17].

Dans son premier discours de chef du parti, Rudd déclara qu'il voulait installer un nouveau style de direction et que plutôt que de se faire l'écho du gouvernement, il proposerait des solutions alternatives aux propositions d'Howard notamment dans le domaine des relations syndicales, la guerre en Irak, les changements climatiques, le fédéralisme australien, la justice sociale, le développement de l'industrie australienne. Rudd insista aussi sur sa longue expérience des affaires de l'État, sur son expérience dans le monde des affaires avant son entrée dans la vie politique[18].

[modifier] Premier ministre

Il remporte les élections du 24 novembre 2007. Le 3 décembre il prête serment devant le Gouverneur général d'Australie Michael Jeffery devenant ainsi le vingt-sixième Premier ministre d'Australie et le deuxième Premier ministre originaire du Queensland. Son premier acte officiel en tant que premier ministre, le jour même de sa nomination a été de ratifier le protocole de Kyōto.[19] Le 13 février 2008, tenant une promesse de campagne, il prononce un discours solennel, s'excusant auprès des Aborigènes, peuple autochtone, pour les maltraitances qu'il a subi[20]. Ce discours est reçu par ce peuple comme "la chute du Mur de Berlin".

[modifier] Voir aussi

Gouvernement Kevin Rudd

[modifier] Références

  1. (en) "Kevin Rudd", Time, mai 2008
  2. It's private - the school he wants to forget, The Sydney Morning Herald, April 27 2007, pp. 1.
  3. Genesis of an ideas man, 6 décembre 2006, The Australian. Consulté le 05-12-2006
  4. Eamonn Duff, « A disputed eviction and a tale of family honour », 11 mars 2007, The Sun-Herald. Consulté le 11-03-2007
  5. Cosima Marriner, « The lonely road to the top », 9 décembre 2006, Sydney Morning Herald. Consulté le 09-12-2006
  6. Caroline Overington, « McKew impressed to the max », 9 décembre 2006, The Australian. Consulté le 04-03-2007
  7. (2007) {{{title}}}, 86. ISBN 9781921215582. 
  8. «  »; «  »
  9. Lateline, 7 juin 2003, Australian Broadcasting Corporation. Consulté le 09-12-2006
  10. Catherine McGrath, « Beazley, Latham, Rudd in ALP leadership lineup », 28 novembre 2003, AM. Consulté le 09-12-2006
  11. Michael Brissenden, « Howard on front foot over troops », 30 mars 2004, The 7.30 Report. Consulté le 09-12-2006
  12. Rudd to end suspense tomorrow, 23 janvier 2005, The Age. Consulté le 09-12-2006
  13. Rudd non-committal on leadership aspirations, 18 janvier 2005, ABC News. Consulté le 09-12-2006
  14. Federal voting intention and leaders’ ratings, 30 novembre 2006, Newspoll, The Australian. Consulté le 04-12-2006
  15. Rudd, Beazley to lobby colleagues, 2 décembre 2006, Australian Broadcasting Corporation ]]. Consulté le 04-12-2006
  16. Editorial: ALP in fight with the wrong enemy, 2 décembre 2006, The Australian. Consulté le 04-12-2006
  17. Rudd ousts Beazley, The Age. Consulté le 04-12-2006
  18. Press Conference, 4 décembre 2006, Australian Labor Party. Consulté le 04-12-2006
  19. "Climat: le nouveau Premier ministre australien ratifie le Protocole de Kyoto", Libération, 3 décembre 2007.
  20. Prime Minister of Australia - Speech - Apology to Australia's Indigenous Peoples

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Kevin Rudd.

n:

Wikinews propose des actualités concernant « Australie : victoire des travaillistes aux législatives ».


Précédé de :
John Howard
Premier ministre d'Australie
3 décembre 2007 - ?
Suivi de :
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