Histoire de Bruxelles

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Sommaire

[modifier] Naissance de la ville

À la fin du VIIe siècle, une chapelle appelée Saint-Michel se serait dressée à flanc de colline. Elle est devenue la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule.

À l'époque, le lieu est nommé Bruocsela (en langue germanique « bruoc » désigne le marais et « sala » la salle ou la maison), mais on a mis en doute que ce toponyme puisse être lié au village de Bruxelles[1].

D'autres étymologistes[réf. nécessaire] pensent que le nom dérive de « brug », qui désigne le pont en langue germanique, et « Zenne », du nom germanique de la Senne, la rivière qui arrose Bruxelles.
D'autres encore[réf. nécessaire] remettent en question cette étymologie d'origine franque, arguant du fait que le lieu d'habitat correspondant à la paroisse primitive de Bruxelles est la Montagne Saint-Michel, comme le démontrent les découvertes archéologiques et la règle qui veut qu'une population ne s'installe pas dans une plaine inondable et insalubre. A l'époque où Charles de France aurait installé son castrum légendaire dans le marécage, il aurait été impossible qu'il l'appelle lui-même « Broek-Sala » car l'ancien francique n'était déjà plus d'usage, en outre les noms dérivés de "sala" n'ont qu'un seul "l". Il serait donc possible que le nom du village situé sur les hauteurs et qui, de ce fait, peut ne pas avoir le sens de « marais », soit d'origine celtique, le lieu ayant été habité avant les Francs, et ait la même étymologie que la ville de Gaule cisalpine « Brixellum », l'actuelle Brescello, et dérive de « briga » (hauteur) et « cella » (le temple), c'est-à-dire le temple sur la hauteur, comme c'est d'ailleurs toujours le cas de la cathédrale Sainte-Gudule.

L'historiographie traditionnelle place la date de fondation de Bruxelles en 979 mais aucune source écrite ou archéologique n'a permis à ce jour de corroborer cette date. Un premier castrum aurait été bâti par Charles de France sur l'île de Saint-Géry. Duc de Basse-Lotharingie et neveu du roi de France, il spéculait sur la mort de son neveu pour ceindre la couronne royale, il n'y parvint jamais mais renomma la rivière bruxelloise du nom de Senne en référence à la rivière coulant à Paris la (Seine), capitale qu'il convoitait tant[2].

Selon la Vie de sainte Gudule (écrite dans l'abbaye de Lobbes entre 1047 et 1053) le duc Charles de France organise la translation des reliques de la sainte vers l'église Saint-Géry, qui était située sur un ilot formé par la Senne et entouré de marécages. En 1047, le nom de Bruxelles apparait pour la première fois dans une charte à l'occasion de la fondation du chapitre de Sainte-Gudule) par le comte Lambert II de Louvain († 1054) et sa femme Oda de Verdun. En 1073 déjà, on devrait restaurer cette fondation, dont témoigne un diplôme de l'évêque de Cambrai.

Vers 1100 le comte de Louvain construit une résidence fortifiée sur le lieu-dit Coudenberg (emplacement de l'actuelle place Royale). Ici seront ensuite construits les châteaux des ducs de Brabant (XIIIe siècle) et leurs successeurs, les ducs de Bourgogne (à partir de 1430), Charles Quint et les archiducs Albert et Isabelle (XVIe siècle), jusqu'à la monarchie actuelle (voyez l'article sur l'Ancien Palais du Coudenberg).

[modifier] Bruxelles, ville de commerce brabançonne

Au début du XIIe siècle, le commerce devient un acteur principal en Europe occidentale. Les centres commerçants deviennent rapidement de puissantes villes, grâce aux rivières et canaux de la région. Cologne, Louvain, Gand, Ypres, Anvers et Bruges deviennent les pivots du commerce des textiles de la mer du Nord, d'abord surtout vers l'Allemagne, plus tard aussi vers la France, l'Italie et l'Angleterre. Grâce à ses artisans et à son port sur la Senne[3], Bruxelles devient un carrefour marchand important. De cette prospérité témoigne le début des travaux à la collégiale Sainte-Gudule (1225) destinés à remplacer le sanctuaire roman par un édifice gothique.

Vue arrière de la Première enceinte à la rue de Villers
Vue arrière de la Première enceinte à la rue de Villers

Les deux siècles suivants voient Bruxelles s'enrichir. Le commerce se spécialise dans les belles étoffes qu'on exporte vers les marchés de France, d'Italie et d'Angleterre. Bruxelles se développe au sein du Brabant qui, contrairement au comté de Flandre, n'était pas fief du roi de France mais était incorporé à l'Empire germanique depuis 923. Dès 1183, l'empereur érigea le Brabant en duché. Henri Ier (1190-1235), comte de Bruxelles et de Louvain et premier duc de Brabant, entreprend la construction de la première enceinte de Bruxelles, longue de 4 kilomètres, qui englobe l'île Saint-Géry et le premier port de Senne, la place du marché qui deviendra la Grand-Place de Bruxelles, le chapitre de Sainte-Gudule et le château du Coudenberg.

À l'opposé de la situation du comté de Flandre, qui voit les artisans s'opposer à leur suzerain, le roi de France, et en battre la chevalerie lors de la bataille des éperons d'or (Courtrai, 1302), les relations entre les villes brabançonnes et leurs suzerains, le duc de Brabant et l'empereur romain germanique, sont excellentes. Les villes reçoivent rapidement des privilèges et des libertés et financent librement la politique ducale (Bruxelles reçoit une keure en 1229).

[modifier] La prépondérance des fameux « lignages de Bruxelles »

L'administration des villes est aux mains des patriciens. À Bruxelles, ils sont groupés en sept lignages privilégiés, qui écartent les artisans de la gestion administrative et les offices publiques, à quelques exceptions près. Ces privilèges des sept « lignages de Bruxelles » seront confirmés par le duc dans une charte de 1306.

C'est ainsi que, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, le premier bourgmestre et les sept échevins doivent obligatoirement en faire partie. Les neuf « Nations », regroupant les Doyens des Métiers, ne participent au pouvoir qu'à partir de la seconde moitié du XIVe siècle et au XVe siècle. À partir de la révolution de 1421, les Huit de la Gilde Drapière seront choisis pour moitié parmi les sept lignages de Bruxelles et les Nations.

Au XIVe siècle, la portée de l'autorité du suzerain s'inscrit dans diverses chartes. Ce processus culmine dans la signature de la « Joyeuse Entrée » en 1356. Ce document organise la division du pouvoir entre le duc et les représentants du peuple, les États de Brabant. Trois classes sociales sont représentées: la noblesse, le clergé et le tiers état. Le suzerain ne peut déclarer la guerre, conclure des traités, dévaluer la monnaie ou établir des taxes sans l'autorisation des États de Brabant.

En 1356, après la mort du duc Jean III de Brabant, le comte de Flandre Louis de Male conteste à la duchesse Jeanne de Brabant la succession de son père, dont il a lui-même épousé une autre de ses filles. Au cours de la Guerre de succession de Brabant, les milices bruxelloises sont défaites à Scheut (Anderlecht). La duchesse Jeanne doit s'enfuir de la ville, qu'occupe une garnison flamande. La ville est rapidement reprise grâce à un coup de main audacieux d'Everard t'Serclaes(24 octobre 1356). Après cet épisode, Bruxelles se sent à l'étroit et mal protégée dans ses remparts. La construction de la seconde enceinte commence en 1357 et se termine en 1379. La Ville avait acquis en 1301 le steen (c'est-à-dire une maison en pierre) dit De Meerte, situé sur la Grand-Place, pour en faire une maison échevinale. S'y ajoute en 1327 un steen voisin, Den Wilden Ever. Au début du XVe siècle, ces bâtiments sont devenus inadéquats et de 1402 à 1405, la Ville fait construire sur leur emplacement un véritable Hôtel de Ville, correspondant à l'aile gauche de l'Hôtel de Ville actuel, y compris une tour terminale.

[modifier] De la période bourguignonne à celle des Habsbourg

Au XVe siècle a lieu la nomination du premier bourgmestre bourgeois et de ses conseillers, représentant le peuple pour la première fois.

En 1430, le duc de Bourgogne Philippe le Bon hérite du Brabant. Il autorise l'approfondissement et l'élargissement de la Senne pour faciliter le commerce. Bruxelles devient alors une capitale des Pays-Bas bourguignons. Elle s'impose alors comme centre administratif et culturel, célèbre pour l'architecture de ses églises, son palais et son commerce d'artisanat de luxe. En 1477, Marie de Bourgogne épouse Maximilien d'Autriche. Elle meurt en 1482, laissant son époux et la dynastie des Habsbourg gouverner le Brabant.

En 1488 Bruxelles connaît une cruelle guerre civile et pendant l'été de 1489, une épidémie de peste.

À la mort de Maximilien, sa fille, Marguerite d'Autriche (1480-1530), devient gouverneur général des Pays-Bas en 1507 et déplace la capitale à Malines, où elle élève son neveu, le futur empereur Charles Quint.

[modifier] La domination espagnole, puis autrichienne

Plan de Deventer: Bruxelles en 1555
Plan de Deventer: Bruxelles en 1555

En 1515, l'archiduc Charles d'Autriche, fils de Philipe le Beau, devient à 15 ans souverain de Bourgogne et, à 16 ans, hérite du trône d'Espagne. 1516 marque le début de la domination espagnole sur toute la région. Né à Gand, devenu l'empereur Charles Quint à la suite de son grand-père Maximilien, il favorise les Pays-Bas: il rétablit Bruxelles comme capitale, siège des États généraux des Pays-Bas et des trois conseils du gouvernement, il rallie les Pays-Bas à l'Autriche. Bruxelles abrite pour la première fois une cour et émerge rapidement comme la plus puissante ville brabançonne, dépassant ses rivales Louvain, Malines et Anvers. Bruxelles fleurit et devient une grande ville d'artistes et de scientifiques (Vésale, Mercator). Mais Philippe II d'Espagne succède à Charles Quint, qui abdique en 1555, et déclenche la révolte des Pays-Bas dans un contexte de guerres de religion. Le duc d'Albe fait régner la terreur.

Sous les archiducs Albert et Isabelle au XVIIe siècle, la ville retrouve sa prospérité. Bruxelles participe à l'Union d'Utrecht (1579). Elle sera une république calviniste autonome de 1577 jusqu'en mars 1585, avant d'être reprise définitivement par les Espagnols[4]. Elle est le siège du gouvernement des Pays-Bas espagnols, puis autrichiens.

Le 13 août 1695, l'armée française du maréchal de Villeroy bombarde Bruxelles sur ordre de Louis XIV depuis les hauteurs de Koekelberg. Prenant pour cible la flèche de l'Hôtel de Ville, les canons manquent cependant le prestigieux édifice mais rasent les maisons de la Grand-Place et une grande partie de la ville (de 3830 à 5000 bâtiments suivant les sources). Les villes voisines réagissent aussitôt en envoyant vivres et secours.

L'Hôtel de ville sur la Grand-Place de Bruxelles
L'Hôtel de ville sur la Grand-Place de Bruxelles

La reconstruction de la Grand-Place en fait dès lors l'une des plus belles places d'Europe. En 1700, on inaugure le Théâtre sur la Monnoye que le gouverneur Maximilien-Emmanuel de Bavière a fait ériger sur le site de l'ancien hôtel des monnaies.

En 1731, un incendie détruit le palais du Coudenberg. En 1746, les troupes françaises du maréchal de Saxe occupent Bruxelles jusqu'en 1749. Cette année-là, après le retour des Autrichiens, Charles, duc de Lorraine, revient triomphalement à Bruxelles. Il occupe les fonctions de gouverneur général des Pays-Bas jusqu'à sa mort en 1780. En 1774-1775, on procède à d'importants travaux d'urbanisme: après avoir rasé les ruines de l'Ancien palais du Coudenberg, on aménage la Place Royale. Une fois ces travaux achevés, on procède à l'aménagement du Parc Royal à l'emplacement de l'ancienne Warande du Palais du coudenberg. En 1775, l'architecte Fisco avait déjà aménagé la place Saint-Michel dans le quartier de la Rue Neuve.

[modifier] La Révolution brabançonne

La révolution brabançonne de 1789 est déclenchée par la suppression de la Joyeuse-Entrée par l'empereur Joseph II. Le peuple grondait déjà depuis 1787. Après le départ des Autrichiens, les États-Généraux se réunissent à Bruxelles le 7 janvier 1790 et proclament l'indépendance des États-Belgiques-Unis. Celle-ci est de courte durée: le pays est divisé entre partisans de François Vonck, un avocat progressiste et ceux d'Henri van der Noot, un avocat conservateur. Le 10 décembre 1790, le régime autrichien est rétabli.

[modifier] Le régime français

Après la bataille de Jemappes, les Français entrent à Bruxelles et le rattachement à la France est proclamé le 1er mars 1793. Accueillis en libérateurs, les révolutionnaires se sont rapidement rendus impopulaires: à Bruxelles, ils saccagent plusieurs églises, dont celle de Sainte-Gudule. Après la défaite française à la bataille de Neerwinden, le retour des Autrichiens à Bruxelles est accueilli dans la liesse générale: l'empereur François II vient lui-même à Bruxelles prêter serment à la Joyeuse-Entrée devant les métiers et les Serments de la ville. Après la bataille de Fleurus (26 juin 1794), les Autrichiens sont définitivement chassés du pays et l'occupation française se fait plus dure.

À Bruxelles, tous les privilèges et les institutions traditionnelles de l'Ancien Régime sont supprimées. La Cuve de Bruxelles, le lien de franchise qui unit la ville aux villages qui l’entourent depuis les XIIIe et XIVe siècles est abolie de manière unilatérale en 1795 (14 fructidor an III) par décret du Comité de salut public de la République française. Les communes limitrophes de l’ancienne ville de Bruxelles sont constituées et délimitées durant les années suivantes. Bruxelles devient le chef-lieu du département de la Dyle et reçoit un conseil municipal élu, pour la première fois, de manière démocratique.

Bruxelles est, à l’époque française (particulièrement sous le Consulat et plus encore sous le Premier Empire), le théâtre d’une croissance économique remarquable, surtout dans les domaines du textile et de la chimie. Le Blocus continental, imposé par Napoléon Ier à l’Angleterre va avoir pour effet de doper la production bruxelloise en effaçant la concurrence anglaise en Europe. L’opulence de la cité et de ses firmes textiles sera anéanti suite à la défaite française de Waterloo[5].

En 1801, le Premier Consul Bonaparte fonde le Musée des Beaux-Arts de Bruxelles (qui deviendra les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique en 1927) et reçoit de nombreuses œuvres en provenance du Louvre.

Entre 1794 et 1830, la future Belgique fait partie d'une entité plus vaste : d'abord la France, puis, après la défaite de Napoléon à Waterloo en 1815, suite au Congrès de Vienne, le Royaume-Uni des Pays-Bas. Après 1815, Guillaume Ier d'Orange est nommé roi des Pays-Bas et roi de Belgique. Bruxelles est, avec La Haye, la capitale du nouveau pays. Le style autoritaire du nouveau monarque engendre le mécontentement. Dans la nuit du 24 au 25 août 1830, les Belges mènent leur révolution. Bruxelles compte 100 000 habitants. La révolution débute à Bruxelles, au cours d'une représentation de La Muette de Portici au Théâtre de la Monnaie, et gagne vite les provinces. Le 21 juillet 1831, le roi de la nouvelle nation indépendante est Léopold Ier de Saxe-Cobourg. Il porte le titre de Roi des Belges.

[modifier] Bruxelles capitale du royaume de Belgique

Quand, en 1830, Bruxelles devient la capitale de la Belgique indépendante, elle attire une nouvelle population administrative, tandis que les faubourgs industrialisés connaissent une grande densification démographique. Bruxelles accueille aussi beaucoup de réfugiés français et de francophones du sud du pays, recherchés pour peupler les administrations de ce jeune État où le pouvoir politique était aux mains de la haute bourgeoisie francophone, alors que la majorité des Belges parle l'un ou l'autre patois local. Un processus de lente francisation des masses populaires s'y met en route, le français étant jusqu'alors essentiellement la langue de la cour et des employeurs.

Le 20 novembre 1834 y est fondée l'Université libre de Belgique, qui deviendra rapidement l'Université libre de Bruxelles.

De gigantesques travaux confèrent à Bruxelles son statut de capitale: édification des Galeries royales Saint-Hubert (1846), voûtement de la Senne (1867-1871), construction du Palais de Justice (1866-1883) et du Parc du Cinquantenaire (1880). De nouveaux quartiers sont dessinés et font l'objet d'un plan d'urbanisme révolutionnaire. Sous l'impulsion de Victor Horta, de superbes demeures Art Nouveau s'érigent au début du XXe siècle. Bruxelles connaît alors un important retentissement culturel.

[modifier] Un rôle international

À la pointe de l'Europe, Bruxelles est une cité multiculturelle et cosmopolite. Comme la majorité de l'Europe, la Belgique passe du boom économique des années 1960 à la récession des années 1970-1980. Durant ces décennies, Bruxelles renforce son rôle de capitale de l'Europe. En 1958, elle devient le siège de la Communauté européenne. L'OTAN s'installe à Evere en 1967. Plus d'un millier d'organismes internationaux y ont aujourd'hui leur siège social. Bruxelles possède le plus grand nombre de diplomates après New-York (12 000). Plus de 30 % de la population bruxelloise est étrangère.

[modifier] Un nouveau statut régional

L'histoire de la Belgique dans la dernière moitié du XXe siècle est dominée par l'incessant débat linguistique entre néerlandophones et francophones. Entre 1970 et 1994, la Constitution est remaniée, créant un État fédéral à trois régions : la Région flamande, néerlandophone ; la Région wallonne, francophone et germanophone ; la Région de Bruxelles-Capitale, bilingue. Cette modification donne également naissance à trois communautés culturelles : la Communauté flamande, la Communauté française et la Communauté germanophone.

En 1989, Bruxelles reçoit les différentes institutions propres à son statut de région. Au-delà d'une simple agglomération, elle est depuis lors dotée d'un pouvoir d'ordonnances et de son propre Parlement et Gouvernement, ainsi que de diverses institutions spécifiques qui s'occupent des compétences communautaires dans la région :

Bruxelles reste ainsi une région bilingue assurant une protection de la minorité linguistique néerlandophone[6].

[modifier] Bibliographie

  • Louis Verniers, Un millénaire d'histoire de Bruxelles. Des origines à 1830, Editions A. De Boeck, Bruxelles, 1965
  • Marcel Vanhamme, Bruxelles. De bourg rural à cité mondiale, Mercurius, Anvers-Bruxelles, 1968
  • Mina Martens (dir.), Histoire de Bruxelles, Toulouse, Privat, 1976
  • Georges-Henri Dumont, Histoire de Bruxelles. Biographie de Bruxelles, Le Cri édition, Bruxelles, 1997
  • Christian Dessouroux, Espaces partagés, espaces disputés. Bruxelles, une capitale et ses habitants, Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale, 2008

[modifier] Notes

  1. L'autre candidat serait Bruchsal, près de Karlsruhe en Allemagne.
  2. Michel de Coster, Les enjeux des conflits linguistiques : Le français à l'épreuve des modèles belge, suisse et canadien, L'Harmattan, 2007, p.113
  3. Voir l'article sur le port de Bruxelles.
  4. Voir Histoire du protestantisme en Belgique et à Uccle et Histoire de la République calviniste.
  5. Claire Billen, Bruxelles capitale ?, in les Grands mythes de l'histoire de Belgique de Flandre et de Wallonie sous la direction d'Anne Morelli, Evo-histoire, Bruxelles, 1995, p.225.
  6. Voir l'article sur les problèmes communautaires en Belgique.

[modifier] Articles connexes

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