Deutsche Bank

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Logo de Deutsche Bank
Repères historiques
Création : 1870
Fiche d’identité
Slogan(s) : « la Passion de la Performance »
Effectif : 78291
Site corporatif : http://www.db.com
Données financières
Chiffre d’affaires : 30,7 milliards d'euros(2007)
Résultat net : 8,7 milliards d'euros (2007)
Consultez la documentation du modèle

Deutsche Bank est la plus importante banque allemande, et occupe le 7e rang des banques européennes par ses fonds propres en 2005.

Banque universelle basée à Francfort-sur-le-Main, ses plus importantes filiales sont à Londres, New-York et Singapour.

La raison initiale ayant présidé à sa fondation en 1870 à Berlin, était de créer une banque internationale pour assister les entreprises allemandes, dont Siemens, dans leur expansion internationale. Présente à Yokohama et Shanghai depuis 1872, les filiales à l'étranger n'ont cessé de se développer depuis, avec une présence dans plus de 75 pays aujourd'hui.

Elle s'est développée par fusions et rachats sur le marché allemand, en particulier durant les années 1914-1929 et 1957, et à l'étranger à partir de 1989, par exemple le LCL en Belgique.

Les années 1990 marquent la véritable internationalisation du groupe, avec son rôle de plus en plus important dans la banque commerciale du à la stratégie osée pour une banque allemande mais réfléchie de banques anglaises (par exemple Morgan Grenfell et américaines (par exemple Bankers Trust. En 2006, Deutsche Bank fait partie incontestablement des 10 banques commerciales les plus importantes.
Deutsche Bank signifie « banque allemande » et « AG » (Aktiengesellschaft) correspond à « Société Anonyme de droit allemand ».
Son sigle est composé du nom de l’établissement en bleu et en caractère « Univers » et d’un carré symbolisant le signe de la sécurité et du contrôle de l’environnement à l’intérieur duquel se trouve un slash qui marque la croissance continue et le développement dynamique.

Le siège de la Deutsche Bank à Francfort
Le siège de la Deutsche Bank à Francfort

Sommaire

[modifier] Données Financières

Données Financières en millions d'euros
Année 2002 2003 2004 2005 2006
Produit net bancaire 24 456 21 490 21 546 26 640 28 008
Ebitda 3 611 3 098 4 038 7 032 9 682
Résultat net Part du groupe 397 1 365 2 472 3 529 5 986
Effectifs 77 442 67 682 65 417 63 427 68 849
Source :'OpesC'

[modifier] Histoire

[modifier] Deutsche bank en Belgique

[modifier] Aujourd'hui

La Deutsche Bank SA (Belgique) est une banque belge spécialisée en services bancaires personnels et privés (personal et private banking). La banque fournit des conseils en matière de planning financier à plus de 180.000 clients en Belgique. Tous les conseillers agréés en planification financière sont des diplômés de l’UAMS (Universiteit Antwerpen Management School) et continuent à suivre des formations régulières afin de rester au courant des évolutions les plus récentes.

En Belgique, la banque se positionne en mettant les banques traditionnelles au défi. La Deutsche Bank et sa direction se félicitent, par exemple, de proposer les services de ses conseillers en planning financier aux clients disposant d’un patrimoine financier de plus de 50.000 euros, alors que les banques traditionnelles réservent ce service au segment du Private Banking, avec un seuil d’entrée généralement fixé à 1 million d’euros. Yves Delacollette, le président dynamique de la banque, s’inspire notamment de Nouvelles Frontières, qui a été le premier voyagiste à rendre accessible aux classes moyennes les voyages en avion, jusqu’alors réservés aux plus fortunés tandis que les autres voyageurs devaient affronter les embouteillages pour se rendre dans le sud. La Deutsche Bank ne se distingue pas seulement par les conseils de qualité qu’elle propose à ceux de ses clients qu’elle considère comme « n’étant pas encore riches, mais presque », mais aussi par son offre de produits d’investissement. La banque a introduit le concept de « l’architecture ouverte » en Belgique. Suivant ce concept, les conseillers proposeront toujours les fonds offrant les meilleures opportunités de rendement tout en correspondant au mieux au profil de risque et à l’horizon de placement du client, et ce quel que soit le gestionnaire de fonds. Ce dernier point est un atout majeur car l’intégration des banques est traditionnellement verticale en Belgique. Cela signifie que les conseillers d’une banque ne proposeront que les fonds de leur propre institution, même si de meilleurs fonds sont disponibles sur le marché. La Deutsche Bank, elle, distribue les fonds de 24 autres banques concurrentes qu’elle qualifie de partenaires.

Il existe différents stades d’architecture ouverte. On distingue d’abord l’architecture ouverte défensive, dans laquelle le conseiller recommande toujours généralement les fonds de sa propre banque et ne propose des fonds d’autres banques ou institutions financières que si le client insiste. L’architecture ouverte offensive, telle que pratiquée par la Deutsche Bank, implique qu’une équipe spécialisée dans la sélection de fonds sonde en permanence l’offre du marché afin de sélectionner les meilleures opportunités, qu’elles proviennent de la banque-même ou non. Qui plus est, cette équipe fera jouer la concurrence entre les différentes institutions financières qui gèrent ces fonds pour obtenir les meilleures conditions. Une fois la sélection opérée, les conseillers préconiseront les meilleurs fonds de manière proactive, moyennant souvent des frais d’entrée réduits. Évidemment, la marge bénéficiaire de la banque est ainsi plus restreinte que pour la vente de fonds « maison », mais le rendement est généralement meilleur pour ses clients.

Enfin, la Deutsche Bank en Belgique est connue pour sa rémunération élevée et permanente des comptes d’épargne et à vue. Dès ses débuts dans les années 90, la banque entendait offrir sur ses comptes d’épargne un taux d’intérêt supérieur d’au moins 30 % aux tarifs des banques traditionnelles en Belgique. Année après année, la banque est restée fidèle à sa résolution. Sans avoir établi le même verdict pour les comptes à vue, la banque propose pour ceux-ci également des taux d’intérêt nettement supérieurs. Alors que les banques traditionnelles paient des intérêts réels négatifs (le taux d’intérêt étant inférieur à l’inflation annuelle), Deutsche Bank propose un taux d’intérêt nettement supérieur à l’inflation, augmentant ainsi le pouvoir d’achat des liquidités déposées sur le compte à vue.

Deutsche Bank dispose d’un réseau de 28 « Financial Centers » établis dans les grandes villes belges.

Outre ses activités de personal banking, la Deutsche Bank propose aussi de nombreux services destinés à ceux qu’on appelle les « High Net Worth Individuals » (HNWI), dans le segment Private Banking. Le seuil d’entrée est fixé à un patrimoine financier minimal de 1 million d’euros. La banque compte près d’un millier de millionnaires en euros et est donc un acteur important de ce secteur, à côté d’UBS ou de la Banque Degroof, par exemple.

Pour plus d’informations, consultez www.deutschebank.be

[modifier] Historique de la Deutsche Bank en Belgique

Au siècle précédent, dans les années quatre-vingts et au début des années nonante, le marché belge était encore dominé par les 7 grandes banques du pays, aussi appelées les « Sept Sœurs »: la Caisse générale d’Épargne et de Retraite, (CGER), la Générale de Banque, le Crédit communal de Belgique, la Belgische Arbeiders Coöperatie / Coopération Ouvrière Belge (BACOB), la Banque Bruxelles Lambert (BBL), la Kredietbank (KB) et la Centrale des Caisses rurales (CERA). Celles-ci ont depuis toutes disparu en fusions ou rachats. La CGER et la Générale de Banque s’appellent désormais Fortis, la BACOB et le Crédit communal ont cédé la place à Dexia, tandis que la KB et la CERA sont devenues KBC et que la BBL devenait ING.

A l’époque, le choix qui s’offrait à l’épargnant belge était relativement limité et les produits et tarifs ne variaient pas beaucoup d’une banque à l’autre. C’est dans un tel climat que la banque a vu le jour.

En 1990, un groupe de jeunes banquiers motivés vient troubler la monotonie du paysage bancaire traditionnel. Et ce au moyen d’un compte épargne à haut rendement de 9% brut, à un moment où toutes les banques traditionnelles ne paient que des intérêts dérisoires à leurs épargnants. Conséquence des conditions excellentes et de la promotion active: de nombreux Belges ouvrent un compte Rendement Plus qui vient compléter celui qu’ils détiennent déjà auprès de l’une des banques traditionnelles. Ces dernières voyaient la banque d’un mauvais œil car elle offrait pour la première fois une véritable alternative à l’épargnant belge. Le compte Rendement Plus rencontre un succès immédiat et la banque, encore sous le nom de « Crédit Lyonnais Belgium », enregistre une très forte progression.

En 1991, la banque est l’une des premières à introduire un call center professionnel en Belgique. La Deutsche Bank met en place cette structure parce qu’elle est convaincue que les épargnants et investisseurs apprécieront les conseils professionnels par téléphone. Le nouveau centre d’appels est un coup dans le mille. Au fil des années suivantes, le centre d’appels sera systématiquement étoffé par des équipes spécialisées .

En 1992, la banque innove à nouveau lorsqu’elle est la première à introduire sur le marché belge le concept d'architecture ouverte. Là où les banques traditionnelles n’autorisent que la vente de leurs propres produits d’investissement (« architecture fermée »), la direction belge de la banque innove en offrant à ses conseillers la possibilité de recommander également ceux d’autres institutions financières s’ils correspondent mieux aux besoins de leur client. En 1995, la part des produits de placement d’autres institutions financières atteint déjà 80%, cas unique dans notre pays.

En 1996, la banque se lance dans l’offre de prêts hypothécaires et d’assurances. Tout comme pour les investissements, elle joue une fois de plus la carte de l’impartialité. Mieux encore, tous les prêts hypothécaires sont des produits de partenaires. Ce qui présente deux avantages non négligeables pour le client de la banque. Tout d’abord, le conseiller financier peut proposer à son client le prêt offrant les meilleures conditions. Ensuite, la banque a intérêt à suivre ce crédit pendant toute sa durée et à contacter son client en cas de possibilité de remboursement anticipé du prêt en cours pour le remplacer par une formule plus avantageuse. Dans les années 2004 et 2005, qui ont connu des taux d’intérêt historiquement faibles pour les emprunts hypothécaires, grâce à la combinaison d’un faible taux d’intérêt du marché et d’une concurrence particulièrement rude entre les banques, la banque a aidé des centaines de clients de façon proactive à réduire la charge des intérêts de leur prêt hypothécaire existant.

1998 est une année charnière pour l’évolution de la banque telle que nous la connaissons aujourd’hui. Vu que les pouvoirs publics français devaient secourir la banque nationale du Crédit Lyonnais, ce qui risquait de fausser le jeu de la concurrence, la Commission européenne décide qu’un certain nombre de filiales étrangères doivent être revendues. Plusieurs candidats se présentent directement pour racheter le Crédit Lyonnais Belgium. C’est finalement à la plus grande banque privée d’Allemagne que revient la banque, qui prend en 1999 le nom de Deutsche Bank SA (Belgique). La direction belge reste en poste et profite du changement d’actionnariat pour favoriser la croissance de la banque.

En 1999, un département Private Banking est créé, qui se concentre spécifiquement sur la clientèle plus aisée de la banque. Les comptes à haut rendement et les conseils personnalisés avaient avec le temps déjà attiré de nombreux Belges fortunés. Plus tard, cette offre s’est élargie avec une division Personal Banking. Contrairement aux banques traditionnelles, ces services collaborent étroitement au sein de la banque.

En 2001, la banque prend à nouveau les devants et est la première à proposer un fonds de levier (« Hedge Fund ») aux investisseurs privés. Les grandes banques traditionnelles suivront l’exemple de la Deutsche Bank.

En 2002, la banque prend pour une courte durée le nom de Deutsche Bank 24, suite à une centralisation européenne des activités de détail dans une filiale séparée du groupe Deutsche Bank. Cette stratégie est finalement abandonnée et la banque opère à nouveau sous le nom déposé de Deutsche Bank.

En 2004, l’année de la « Déclaration libératoire unique » (DLU), la Deutsche Bank prend résolument l’initiative de communiquer à propos de ce qui est communément considéré comme une amnistie fiscale. Vu l’apparente confusion quant à ses modalités, la banque est la première à mettre sur pied une campagne d’information, le premier site Internet, le premier livre interactif et, bien entendu, des conférences pour les éventuels intéressés. Grâce à la banque, le débat sur l’amnistie fiscale a lieu au grand jour.

En 2004, la banque démarre le plus grand programme de formation permanente du monde bancaire belge. 80 collaborateurs deviennent « Conseillers en Planning financier personnel » à la Universiteit Antwerpen Management School. Au bout du compte, ce sont tous les conseillers de la Deutsche Bank qui obtiendront ce diplôme. Plus important encore, ces conseillers retournent chaque année sur les bancs de l’université afin d’affiner encore et d’actualiser leurs connaissances en matière de planification patrimoniale. La banque se profile rapidement en tant que conseiller en gestion de patrimoine par une offre qui, chez les banques traditionnelles, n’est accessible qu’aux clients très riches. La banque contribue ainsi nettement à la démocratisation des conseils en gestion de fortune dans notre pays.

En 2005, Deutsche Bank SA, la banque des clients privés, décide de quitter le syndicat des banques belges (ABB, Association des Banques belges) suite à une divergence d’opinion fondamentale portant sur le traitement des comptes épargne réglementés. Deutsche Bank SA, qui se constitue dans le débat – à l’instar de Test-Achats, e.a. – en tant que défenseur des intérêts de l’épargnant, plaide pour plus de transparence, tandis que le groupement d’intérêt des banques préfère ne rien changer. La banque d’affaires de Deutsche Bank, qui se situe au sein d’une autre entité juridique, reste cependant membre de l’ABB. En 2005 et 2006, le débat continue de faire rage. Finalement, un certain nombre de méthodes de calcul compliquées, comme celles pour les dates valeur, sont simplifiées pour plus de transparence.

La même année, la banque innove avec une offre globale pour les questions financières de tous les jours. Le programme Titanium, qui intègre carte de débit et de crédit, permet au client de la banque d’utiliser au maximum son argent, et ce aux conditions les plus intéressantes du marché. La banque prend cette initiative en réaction aux tarifs fort peu avantageux qui sont appliqués sur les comptes à vue des banques traditionnelles.

En 2006, la banque passe pour la première fois le cap des 10 milliards d’euros d’actifs sous gestion, notamment grâce à une croissance considérable du Personal & Private Banking, qui justifie l’ouverture de Financial Centers supplémentaires.

En 2007, Deutsche Bank lance « db m@x » une solution complète pour le client qui mène surtout ses opérations bancaires sur Internet. La formule db m@x associe un compte à vue et un compte d’épargne, offrant tous deux un taux d’intérêt parmi les plus élevés du marché, à des cartes de crédit et de débit gratuites, ainsi qu’à l’accès à la négociation de titres en ligne aux tarifs les plus bas de Belgique. Cette offre fait de la Deutsche Bank la seule banque équipée d’un réseau d’agences qui pratique les mêmes tarifs réduits que les courtiers qui sont uniquement en ligne. Le lancement de db m@x coïncide avec la croissance constante du nombre de Belges préférant les opérations bancaires sécurisées et conviviales en ligne, que de nombreux ménages complètent par une visite annuelle à leur conseiller en agence. C’est entre autres grâce à db m@x que Deutsche Bank a pu franchir le cap des 11 milliards d’actifs sous gestion dès le premier semestre 2007.

Parallèlement au lancement de db m@x, Deutsche Bank continue d’étoffer son réseau de conseillers.

[modifier] Deutsche Bank en France

Ouverture d’un bureau de représentation à Paris en 1970, transformé en succursale de Deutsche Bank AG en 1977.

Deutsche Bank obtient le statut de Spécialiste en Valeurs du Trésor en 1992, en même temps que se développent les activités de banque d’investissement à Paris.

Deutsche Equities SA, filiale de courtage actions de Deutsche Bank en France, démarre ses activités en 1994. Celle-ci est absorbée par Deutsche Bank AG fin 2001.

Deutsche Bank est aujourd’hui présente en France sur les activités de banque d’investissement et de financement, d’Asset Management et de gestion de fortune (Private Wealth Management)

Deutsche Bank en France est aujourd’hui considérée par ses clients et ses pairs comme l’un des acteurs majeurs de la place de Paris sur les marchés de taux, change et actions.


[modifier] Deutsche Bank dans le monde

Implantée aujourd'hui dans 73 pays, Deutsche Bank a développé sa présence à l'international très rapidement après sa création.

La banque est donc présente:

  • au Japon depuis 1872
  • à Shanghai depuis 1872
  • au Royaume-Uni depuis 1873
  • aux États-Unis depuis 1880
  • en Russie depuis 1881
  • au Brésil depuis 1911
  • en Suisse depuis 1961

Deutsche Bank est la première banque allemande, mais aussi la banque étrangère N°1 en Italie et N°2 en Espagne.

[modifier] Management Board & Group Executive Committee

Comité Exécutif du Groupe (au 21/09/2006)
Management Board Business Heads of Group Divisions
Name Since Position Name Since Position
Josef Ackermann 1996 Chairman of the executive committee & GEC Michael Cohrs 2002 Head of Global Banking
Hugo Bänziger 2006 Chief Risk Officer Jürgen Fitschen 2002 Head of Regional Management
Tessen von Heydebreck 1994 Chief Administrative Officer Anshu Jain 2003 Head of Global Markets
Anthony Di Iorio 2006 Chief Financial Officer Rainer Neske 2003 Head of Private & Business Clients
Hermann-Josef Lamberti 1999 Chief Operating Officer Kevin Parker 2002 Head of Asset Management
Pierre de Weck 2002 Head of Private Wealth Management


Siège social : Francfort-sur-le-Main

[modifier] Conseil de surveillance

Deutsche Bank Supervisory Board

Dr. Clemens Börsig Chairman

Heidrun Förster*; Deputy Chairperson

Dr. Karl-Gerhard Eick; Deputy Chairman of the Board of Managing Directors of Deutsche Telekom AG

Ulrich Hartmann; Chairman of the Supervisory Board of E.ON AG

Gerd Herzberg*; Vice Président of ver.di Vereinte Dienstleistungsgewerkschaft

Sabine Horn*; Deutsche Bank AG

Rolf Hunck*; Deutsche Bank AG

Sir Peter Job

Henning Kagermann; Chairman and CEO of SAP AG

Ulrich Kaufmann*; Deutsche Bank AG

Peter Kazmierczak*; Deutsche Bank AG

Prof. Dr. Paul Kirchhof; University professor Ruprecht-Karls-Universität Heidelberg

Maurice Lévy; Chairman and Chief Executive Officer, Publicis Groupe S.A.

Henriette Mark*; Deutsche Bank AG

Prof. Dr. jur. Dr.-Ing. E.h. Heinrich von Pierer; Chairman of the Supervisory Board of Siemens AG

Gabriele Platscher*; Deutsche Bank Privat- und Geschäftskunden AG

Karin Ruck*; Deutsche Bank AG

Dr. Theo Siegert; Managing Partner of de Haen Carstanjen & Söhne

Tilman Todenhöfer; Managing Partner of Robert Bosch Industrietreuhand KG

Dipl.-Ing. Dr.-Ing. E.h. Jürgen Weber; Chairman of the Supervisory Board of Deutsche Lufthansa AG

Dipl.-lng. Albrecht Woeste; Chairman of the Supervisory Board and Shareholders' Committee of Henkel KGaA

Leo Wunderlich*; Deutsche Bank AG

[modifier] Entreprise citoyenne

Deutsche Bank et ses fondations à travers le monde se concentrent sur de nombreux projets et initiatives dans les domaines de l’éducation, l’art, la musique et le développement social et solidaire. Ces projets ont tous un but commun : permettre à chacun de réaliser son potentiel et d’atteindre ses objectifs, quels qu’ils soient.

Deutsche Bank a également pour ambition d’initier les jeunes à la grande diversité de la musique classique et contemporaine, et de permettre aux musiciens talentueux d’être écoutés. Deutsche Bank, partenaire exclusif de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, est également Grand Partenaire du Festival d’Aix-en-Provence.


« Nous sommes convaincus qu’il n’y a aucune contradiction entre la compétitivité internationale d’une entreprise et sa capacité à assumer ses responsabilités sociétales. Bien au contraire, nous croyons que nul ne peut ni ne doit négliger ces responsabilités. ».

Dr. Josef Ackermann, Chairman of the Management Board. 


Deutsche Bank a reçu le "Golden Peacock Global Award for Corporate Social Responsibility", qui honore l’engagement à long terme des entreprises citoyennes.

[modifier] Récompenses

PALMARÈS 2006 DES SPÉCIALISTES EN VALEURS DU TRÉSOR (SVT)

Classement général: Deutsche Bank 4e

Qualité des services Deutsche Bank 2e ex-aequo


IFR, Review of the Year, December 2006

  • Derivatives House of the Year
  • Investment-Grade Corporate Bond
  • House of the Year
  • Covered Bond House of the Year

IFR Asia, Review of the Year, December 2006

  • Bond House of the Year
  • Derivatives House of the Year

Insurance Asset Manager, September 2006

  • DeAM ranked No.1 third-party insurance asset manager

Euromoney, Awards for Excellence, July 2006

  • Best Investment Grade Debt House
  • Best Risk Management House
  • Emerging Markets Best Debt House

EuroProperty/INREV, May 2006

  • RREEF Ranked No.1 Global Real Estate Fund Manager by AuM

Trade Finance, Awards for Excellence, June 2006

  • Best Trade Documentation Bank
  • Best Forfaiting Institution

Euromoney, FX Poll, May 2006

  • No.1 Provider of FX Services

Standard & Poor's Fund Awards, March 2006

  • Best performing mutual fund company — Large 5 & 10 years: DWS/Germany
  • Best performing mutual fund company — Large 10 years: DWS/Austria
  • Best performing mutual fund company — Large 10 years: DWS/Switzerland

[modifier] Données boursières

[modifier] Actionnariat

2005 : Flottant 100%. Deutsche Bank compte plus de 400 000 actionnaires, dont aucun ne détient plus de 5% du capital. La capitalisation boursière atteignait 53,2 milliards d'euros au 31 décembre 2006.

[modifier] voir aussi

Articles connexes

Liens externes